Michel Barnier, nommé Premier ministre le 5 septembre dernier, a soumis ce jeudi 19 septembre au Président de la République, une liste de ministres devant composer le nouveau gouvernement tant attendu depuis le 7 juillet dernier, au lendemain des législatives partielles. Sur cette liste figurent les noms de 38 ministres dont 16 de plein exercice. Il s’agit, selon Matignon, d’un gouvernement paritaire avec 19 hommes et 19 femmes.
Parmi les ministres de plein exercice pressentis, on retrouve 7 Macronistes, 3 Républicains, 2 MoDem et 1 représentant des partis Horizons et UDI. Laurent Wauquiez (LR) avait été pressenti pour Bercy mais il a refusé, sans doute pour mieux se préparer pour la présidentielle de 2027. Cette liste est actuellement en cours de validation par Emmanuel Macron. Michel Barnier s’est donné jusqu’à ce dimanche pour la rendre officielle et publique, après accord du chef de l’Etat.
Hold-up macroniste sur le nouveau gouvernement
En clair, la France devrait avoir un nouveau gouvernement avant ce dimanche 22 septembre. Nouveau gouvernement ou remaniement ? C’est la question qu’on est en droit de se poser quand on regarde de plus près sa composition où les Macronistes, notamment chez les ministres de pleine exercice, se payent une grosse part du gâteau gouvernemental. Une première mouture avait déjà été présentée en début de semaine par le Premier ministre mais Emmanuel Macron l’avait considérée comme étant « trop orientée LR ». Cette deuxième mouture devrait lui convenir étant donné que les Macronistes sont bien placés. On pourrait même parler de hold-up Macroniste.
Au final, Macron réussit un coup de maître politique. Grande perdante des Européennes et des législatives, la Macronie parvient malgré tout, par un tour de passe-passe de son VRP, à se hisser en tête du classement gouvernemental alors qu’Ensemble pour la République (Renaissance) aujourd’hui mené par Gabriel Attal ne compte que 97 députés à l’Assemblée nationale loin derrière les 176 parlementaires du Nouveau Front Populaire (NFP) composé de LFI, du PS et des Ecologistes. Rappelez-vous des résultats des dernières législatives : 126 députés pour le Rassemblement National (RN); 97 donc pour Ensemble pour la République; 72 pour La France Insoumise (LFI); 66 pour le Parti Socialiste (PS); 38 pour le Groupe Ecologiste et Social; 36 pour les Démocrates (MoDem); 31 pour Horizons et Indépendants; 47 pour la Droite républicaine (LR); 16 pour le groupe « A droite ! » (partisans d’Eric Ciotti qui s’est rapproché du RN); 22 pour Libertés, Indépendants, Outre-Mer et Territoires (LIOT) et 17 pour Gauche démocrate et républicaine (GDR).
Macron a atteint son objectif. Avec la bénédiction du RN, il arrive à imposer un gouvernement composé d’un bloc central (Macronie, MoDem, Horizons) et LR; Un gouvernement qui exclut notamment le NFP. On pourra dire ce que l’on veut, les insoumis pourront sauter en l’air comme ils veulent, mais il faut reconnaître que le Macron en question, qu’on l’aime ou pas, reste un fin stratège politique. C’est lui le patron ! C’est ce qu’il vient encore de démontrer avec la composition de ce nouveau gouvernement.
Mais d’ici à 2027, son chemin sera parsemé d’embûches. Je ne parle pas de la proposition de destitution faite par LFI qui, n’en déplaise à Melenchon, même si elle a été validée par le bureau de l’Assemblée nationale cette semaine, ne risque pas d’aboutir. Le Sénat est à droite et plusieurs socialistes parmi lesquels François Hollande ont déjà laissé entendre qu’ils ne la voteront pas. Je pense surtout à la situation économique et sociale du pays. La population attend beaucoup de ce gouvernement. Lequel n’aura pas énormément de marges de manœuvres. Il envisage même d’augmenter les impôts (« plus de justice fiscale », a dit Barnier). Le Premier ministre a trois semaines pour boucler le budget de la France et il lui faudra trouver 20 milliards d’euros d’économies par an. La partie ne sera pas de tout repos pour lui. Ni pour ses ministres. Ça pète déjà en Martinique où la population manifeste contre la vie chère (voir ci-dessous).
Le nouveau ministre délégué pressenti pour les Outre-mers, à savoir le sénateur « LR » du Rhône, François-Noël Buffet, aura du pain sur la planche.
Affaire présumée de corruption : pots-de-vin ou commissions ?
On passe à un tout autre sujet à présent : l’affaire présumée de corruption. Je le dis d’emblée, ne comptez pas sur moi pour achever des chevaux déjà blessés. En clair, ce n’est pas parce que François Caillé, Nelly Darouèche et David Vital ont fait les grands titres des médias locaux (y compris celui pour lequel je bosse), que je vais à mon tour les assommer. Je ne suis ni flic, ni juge, laissons donc la justice faire son travail !
Pourquoi cette introduction un peu directe ? Parce que depuis que François Caillé, l’homme d’affaires dionysien, Nelly Darouèche, la directrice générale du Groupe Caillé et David Vital ont été interpellés et placés en garde à vue – ils ont été libéré depuis mardi soir -, on entend des vertes et des pas mûres et ils sont pointés du doigt comme étant les plus grands bandits de la planète.
Je ne connais pas encore tous les tenants et les aboutissants de cette affaire présumée de corruption, mais il serait maladroit de tirer des conclusions hâtives tant que les enquêteurs n’auront pas fait leur job. Au stade actuel de l’enquête, on sait, comme l’ont écrit certains médias et notamment Imaz Press (faut rendre à César ce qui appartient à César), que François Caillé a reconnu avoir demandé que de l’argent en espèces soit donné à David Vital, son « homme à tout faire », dans le cadre d’une attribution pas très catholique de marchés publics pour la branche automobiles du Groupe Caillé, sans pour autant se préoccuper de savoir si cet argent était reversé ou non à des tiers.
Lors de son audition au commissariat de Malartic, Nelly Darouèche aurait reconnu quant à elle avoir donné, à la demande de François Caillé, de l’argent à David Vital toujours à propos desdits marchés publics suspects. Et, enfin, David Vital a reconnu pour sa part des faits supposés de corruption, de favoritisme, de trafic d’influence, d’abus de biens sociaux et de blanchiment. Ça c’est ce que l’on sait pour le moment et ce qui a été écrit dans les différents médias de la presse locale.
On l’a dit, l’enquête n’est pas terminée. Elle a débuté depuis quelques mois. Les policiers de la brigade financière de Malartic se concentrent surtout sur le volet relatif aux marchés publics passés avec certaines collectivités locales parmi lesquelles celle de Saint-Paul. Pour éviter tout « ladilafé », précisons que l’actuel maire Emmanuel Séraphin n’est strictement pour rien dans cette affaire, qu’il n’était pas au courant et que tout ce qui se passait au niveau de la commission d’appels d’offres et, surtout, au niveau d’un responsable, fonctionnaire territorial. Un cadre qui avait repris son travail à la mairie de Saint-Paul, après trois années d’arrêt. C’est lui qui était en lien avec David Vital et qui aurait communiqué toutes les informations relatives à la composition de la commission permanente. La suite, on la connaît. Le Groupe Caillé a remporté le marché.
Mais là où ça a foiré, c’est que l’employé communal n’aurait pas obtenu, comme convenu, son « dû ». Le Groupe Caillé lui aurait promis un travail. Cela ne s’est pas fait non plus. D’ailleurs, dans le cadre des auditions, l’agent communal a reconnu les faits, c’est-à-dire d’avoir transmis illégalement des informations confidentielles au Groupe Caillé via David Vital, mais il insiste sur le fait qu’il n’a pas touché de pot-de-vin. Notons que cet employé avait déjà été placé en garde à vue en juillet dernier.
D’après mes informations, devant les policiers qui l’ont auditionné, David Vital a tout pris sur lui. Il a reconnu avoir empoché l’argent – il y en aurait pour 50 000 à 60 000 euros – mais pas de l’avoir redistribuer à qui que ce soit, pas même à l’agent communal de la mairie de Saint-Paul. Autrement dit, pas de pots-de-vin versés à ses interlocuteurs dans les collectivités, y compris Saint-Paul. En revanche, David Vital aurait pris cet argent en guise de commissions pour le travail de « lobbying » qu’il a mené en faveur du Groupe Caillé auprès de la commune de Saint-Paul et de certaines collectivités de droite où le groupe a obtenu des marchés, toujours dans la branche automobile. Sans doute a-t-il voulu faire comprendre aux policiers que tout travail mérite salaire et que ce que certains qualifient de pots-de-vin, lui le voit comme des « commissions », comme une rémunération pour service rendu. Le dernier mot reviendra à la justice.
Perquisitions à Air Austral et chez un cadre de la Région
Rappelons qu’une commission (à ne pas confondre avec rétro commission) est une rémunération légale qu’un intermédiaire ou agent reçoit pour avoir facilité une transaction ou un contrat. En principe, elle doit être déclarée et elle fait partie d’un accord formel, alors qu’un pot-de-vin est un paiement illégal, souvent caché, pour obtenir un avantage indu, comme l’octroi d’un contrat ou une faveur. Il vise à corrompre un décideur pour contourner les règles. Il faudra attendre la fin des investigations pour savoir s’il y a eu ou non corruption et trafic d’influence. Les différents protagonistes pourront être reconvoqués par les enquêteurs si besoin.
L’on sait aussi qu’au fil de leur enquête, les policiers ont procédé à quatre perquisitions : la première, en juin dernier, chez David Vital, une chez un fonctionnaire de la Région, une autre chez Air Austral et la dernière, c’était lundi dernier, au sein de la société Caillé, rue de la Victoire. Chez Air Austral ? Parce que la société de David Vital avait travaillé avec la compagnie aérienne durant au moins 7 années pour diverses prestations du temps de Marie-Joseph Malé (ancien directeur général) et de Dominique Dufour (ancien secrétaire général). En parlant d’Air Austral, je voulais aussi vous signaler que les jours de l’actuel président du directoire, Joseph Bréma, seraient comptés. Le conseil d’administration de la compagnie prévoit un « renouvellement » pour le mois d’octobre prochain.
Perquisition également chez un cadre de la Région ? Parce qu’il avait été dit que sous la mandature de Didier Robert, la société de David Vital (qui est aussi un proche de l’ancien président de Région) avait bénéficié des fonds Feder. Des accusations qui ne tiendraient pas la route, au stade actuel de l’enquête policière.
Une enquête qui se poursuit. Selon toute vraisemblance, cette affaire devrait finir devant le tribunal correctionnel où les différents protagonistes seraient appelés à s’expliquer pour éviter, autant que faire se peut, le chemin de Domenjod. Le tribunal correction où devraient également comparaître d’autres personnes (qui n’ont rien à voir avec cette affaire), parmi lesquelles des élus, pour avoir bénéficié de « kilos de letchis et de mangues » dans le cadre de l’extension d’un grand centre commercial.
Tout cela pour vous dire, même si je n’y adhère évidemment pas, que dans le milieu des affaires, du business comme on dit, on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre. Personne n’a de leçon à donner à personne. Ce sont des procédés qui sont vieux comme le monde. Sauf que certains le font intelligemment, parfois avec la complicité des plus hauts fonctionnaires de l’Etat et des magistrats (si, si ça a existé même à la Réunion à une époque, je pense notamment à l’époque de la saisie des émetteurs de Télé Free Dom, rappelez-vous de cet ancien procureur de la République magouilleur et de cet homme d’affaires qui avait corrompu les membres de la CDCA pour obtenir l’autorisation d’implanter ses grandes surfaces commerciales), d’autres sont un peu plus « gros doigt ». On aura l’occasion d’y revenir. Pour l’instant, Caillé, Vital et consorts se tiennent à carreau et à la disposition de la justice.
Vie chère : pourquoi ça pète en Martinique !
Ce n’est pas la première fois. Ça commence toujours par les Antilles. Nul doute que notre préfet Jérôme Filippini doit prier pour que ces violences urbaines n’arrivent pas jusqu’à chez nous, à la Réunion, où la vie n’est pas moins chère. Comme ce fut le cas en Guadeloupe, c’est la Martinique qui est aujourd’hui touchée par cette vague de violences. Mais tous les Dom sont logés à la même enseigne en matière de vie chère. Ces violences sont en effet un reflet des frustrations sociales et économiques profondes dans ce département français d’outre-mer. Comme dans d’autres territoires d’outre-mer, la Martinique fait face à un coût de la vie qui est particulièrement élevé, et qui pèse lourdement sur la population, surtout les ménages les plus modestes. Plusieurs facteurs expliquent ces tensions et les violences qui en découlent. Il y a donc le coût de la vie élevé, comme à la Réunion. La Martinique, en tant qu’île, dépend largement des importations pour une grande partie de ses biens de consommation. Cela entraîne des prix plus élevés qu’en métropole, notamment pour les produits alimentaires, l’essence, les biens de première nécessité et les services. Cette situation est exacerbée par des monopoles ou oligopoles dans certains secteurs, ainsi que par les coûts de transport et les taxes spécifiques. Autre facteur : les inégalités sociales et économiques. La Martinique fait face à des disparités économiques importantes. Une partie de la population est touchée par le chômage et la précarité, tandis qu’une minorité bénéficie d’une certaine prospérité, souvent liée à des liens économiques historiques. Cette dualité économique engendre un sentiment d’injustice sociale et alimente la colère.
Ces dernières années, il y a eu plusieurs mouvements sociaux en Martinique (comme en Guadeloupe), en particulier autour de la question de la vie chère. Les syndicats, les collectifs citoyens et d’autres organisations ont souvent organisé des grèves, des blocages de routes et des manifestations pour exiger une baisse des prix, des augmentations salariales et des mesures pour améliorer le pouvoir d’achat. Il faut aussi se rappeler que ces manifestations contre la vie chère ont parfois dégénéré en violences, notamment en raison de l’accumulation des frustrations face à l’absence de réponses perçues comme adéquates de la part des autorités. On a assisté à des scènes de barricades, de confrontations avec les forces de l’ordre et de pillages dans certains cas, ce qui témoigne de la gravité du malaise social.
Les gouvernements précédents (il n’y en a plus depuis deux mois) ont tenté à plusieurs reprises d’apporter des réponses, avec des négociations autour de « boucliers qualité-prix », des aides ponctuelles et des mesures pour limiter certains coûts. Cependant, ces solutions sont souvent perçues comme insuffisantes pour régler les problèmes structurels, d’autant plus que les coûts des produits de première nécessité restent très élevés par rapport aux revenus locaux, par rapport à l’octroi de mer aussi dont certains soutiennent qu’il renchérit les prix.
Enfin, dans ces violences qui secouent assez fréquemment les départements français d’Amérique (et un peu moins la Réunion), il faut aussi prendre en considération Le contexte historique et colonial. Il est également important de comprendre que la question de la vie chère et des violences en Martinique (qui pourrait se propager aux autres régions ultramarines) s’inscrit dans un contexte plus large de relations historiques complexes entre la métropole et l’île. Beaucoup de Martiniquais voient dans ces inégalités et difficultés économiques les traces d’un héritage colonial qui perdure, avec une dépendance économique forte vis-à-vis de la France métropolitaine. Ces mouvements sociaux témoignent d’une demande pressante de réformes structurelles et de justice sociale dans l’île.
En parlant d’héritage colonial… Médiapart a consacré cette semaine un article à l’ancien Pdg du JIR, journal qui, comme vous le savez, a été liquidé le 30 juillet dernier. Un article rappelant que cet ancien Pdg touchait 20 000 euros par mois. Tant mieux pour lui ! Mais pour tout vous dire, moi je n’ai jamais compris comment un journal en redressement judiciaire avec un déficit frôlant les 10 millions d’euros, un journal qui ne cessait de virer des salariés afin de faire des économies, pouvait se permettre, dans le même temps, de payer un Pdg 20 000 euros par mois tout en lui achetant une berline de fonction toute neuve (une BMW) à son arrivée et lui payer un logement de fonction coûtant la peau des fesses. Je ne parle pas des autres avantages. Moi, quand j’étais rédacteur en chef-directeur de la rédaction du JIR, je touchais 5 600 euros nets mensuels, j’avais une Toyota Prius un tantinet cabossante et zéro logement de fonction. Mais ce n’est pas grave, ça m’allait très bien. Le Réunionnais, « marmaille la cour » que je suis, peut être fier de n’avoir jamais coulé un journal. Attention, je ne dis pas que d’autres l’ont fait intentionnellement !
On termine, en allant bat’ un caré dans les hauts, histoire de prendre un peu l’air frais des Avirons. Mais on me dit qu’au sein de l’équipe municipale majoritaire, l’air ne serait pas si sain que ça. Il y a même du règlement de compte dans l’air. Le conseil municipal qui se réunit ce vendredi après-midi sous la houlette du maire Eric Ferrère a prévu à l’ordre du jour le « coupage de tête » de la deuxième adjointe Line Rose Baillif. Le maire supprime son poste d’adjointe et répartira les indemnités qui seront récupérées entre lui et les autres adjoints. Ce qui n’est pas sans provoquer quelques grincements de dents au sein de l’équipe où certains rêvaient d’un poste d’adjoint. Je rappelle que Line Rose Baillif était la suppléante du candidat Cyrille Hamilcaro lors des dernières législatives partielles dans la 7ème circonscription. Ce qui lui vaut aujourd’hui son « exécution » par Eric Ferrère et le conseil municipal alors qu’avant ça, Ferrère et Baillif étaient comme cul et chemise. Ah, la politique !
zot la fé barrage RN. alors goura ou .
bin comme toujours zot i fé barrage au RN . alors journalistes et le reste d couyons goutanou
Reste que vos yeux pour pleurer macron à entuber tout le monde .
Écouter encore. Faire barrage au rn goutte aster moins mi rit .
Na supporte avec .
Qu en serait-il, si c était Mélenchon ,le ko.
Nos impôts passent a payer les incompétences des décideurs de certaines administrations même au plus haut lieu ! Il faut comprendre qu’a chacun de ces satellites profitent de leur propre intérêt ! Imaginez vous la perte et le vol manifeste ou aucun contrôle s’établit dans ces doublons où on peut s’aventurer sans scrupule !
Faites vous chiez les méninges le tout c’est de ne pas chier dans son froc ! Allez les bleus blanc rouge continuez de vous farcir le portefeuille ! C’est vrai qu’un cercueil c’est un gros budget ce jour ! Mais on m’a suggérer une location a long terme ! Merci Bernard mon financier !
le patron c ou po raconte d connri
Non, effectivement au vu de la composition du gouvernement, c’est Macron qui a gagné (pas les élections bien sûr) puisqu’il a donne son accord sur les nominations envisagées, impose ses propres camarades tout en faisant plaisir au RN. Faut croire que MC Kinsey l’a bien conseillé. Au final, tu sors gagnant des élections que t’as perdues.
Le maire des Avirons a fait comme son grand camarade Mathieu Hoarau à l’Etang Salé.
Autant rester zen , et attendre la bonne vague ! C’est étang sale on aime bien surfer ! Le prospect il faut l’exploiter mais son choix il faudra le deviner chef de groupe !
Plus de 28 millions d’euros pour la dissolution de l’Assemblée Nationale… C’est ce que nous coûte le caprice de Macron. Il va faire des économies et augmenter les impôts mais lui, il dilapide notre argent! Nous devons nous réveiller!
Avec la plume aux fesses ? Ils m’ont tout raser
Nos impôts passent a payer les incompétences des décideurs de certaines administrations même au plus haut lieu ! Il faut comprendre qu’a chacun de ces satellites profitent de leur propre intérêt ! Imaginez vous la perte et le vol manifeste ou aucun contrôle s’établit dans ces doublons où on peut s’aventurer sans scrupule !
L’Union Européenne a autorisé l’usage de ses armes de guerre sur le territoire de la Russie, il y a deux jours! La Russie a indiqué qu’elle peut riposter par armes nucléaires et qu’elle peut atteindre Strasbourg! Ce n’est pas par hasard que Lecornu, le grand ami de Macron, est maintenu à la Défense!
Macron n’est patron de rien! C’est l’Europe qui nous gouverne! Ce n’est qu’une mascarade et le pire est à venir!
Le gouvernement des perdants. Les partis qui ont perdu les législatives gouvernent! Je suis d’accord avec Perceval et Ratenon. Macron doit démissionner! Et on appelle ça la démocratie!
Et ces 2 clowns leur parti LFI ils ont gagné les élections ? Allez tir un feuille pou zot.
Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas LR qui a gagné : 5%! Et pourtant le Premier Ministre est LR!
Oui, ils ont été réélus.
C’est des comiques ces députées ! Ils sont comme le toutou bourbon , ils aboient grave et en face c’est l’écho ! La moustache du Parisot couvre les signes de l’hilarité de leur lèvre en écoutant leur homélie !
La France a une dette de 3000 milliards d’euros et on va faire un gouvernement de plus de 38 ministres bien payés… du n’importe quoi !
Nena un bougue….habite saint denis.et travaille dans l est…..
Chef.
Son ki doit moudre poivre….
Un grand manipulateur et magouilleur……
Donne le nom LOL ?
Le groupe qui est arrivé en premier est le nouveau front populaire, de gauche et nous avons un gouvernement macroniste et de droite! Il aurait fallu faire un remaniemnt au lieu de dissoudre l’Assemblée Nationale! Cette dissolution a coûté plus de 28 millions d’euros à la France! C’est un scandale!
L’imposteur, c’est Macron! Il nous demande de payer plus d’impôts et gaspille notre argent par des dépenses inconsidérées!
Ce n’est pas une démocratie! Le peuple a choisi la gauche et l’extrême droite et en aucun cas, le Macronisme! C’est comme à Saint Benoît, le peuple a choisi Selly, homme de gauche et il mène une politique de droite! C’est peut-être pour ça qu’il est ami avec Macron et Lecornu! Qui se ressemble, s’assemble!
LE RN est le premier parti de France….
NFP, à fait un hold up de Com ! Si on doit considérer les groupes ou assemblage de partis… NFP a quand même perdu face à la droite….CQFD
Marmaille la kour à 6.000 euros par mois.
Na pwin figir vréman
Si Montrouge, ti gars la kour a fait les études de journalisme qui lui donnent droit à ce salaire, en quoi ça vous dérange? Là où c’est un problème, c’est quand na point le niveau et i touche la cagnotte! Comme le bagagiste de la SPL estival ou la DGS de la commune de Saint Benoît!
Lol Montrouge. Quand c’est les autres communes le maire est responsable de tout.
À Saint-Paul Séraphin savait rien, il n’y est pour rien…
le maire de saint paul non élu par la population est innocent. il ne voit rien, n’entend rien et ne comprend rien…. comment y faut dire à zot ça….
Vital incarne l’escroc parfait, se vantant sans cesse de ses relations et de son train de vie luxueux acquis par des moyens douteux. Il se pavanait en Porsche prêtée par François Caillé, clamait haut et fort qu’il « plaçait du champagne » pour lui, et profitait d’un emploi fictif à la Région, offert par Didier Robert, avec qui il jouait au poker. Ses voyages somptueux à Las Vegas, ses séjours au Fouquet’s Barrière à Paris, et les avantages offerts à sa famille, tels que le poste de son ex-femme en classe premium ou celui de son fils à l’aéroport, révèlent une mécanique bien huilée d’influences et de faveurs.
Ces individus, mêlés aux hautes sphères ( paraît- il et selon ces dires lui-même que les anciens magistrats mangeaient sur sa table), prospèrent dans l’ombre de trafics divers. Pourtant, lorsqu’on est dans le pétrin, ces relations si précieuses se dissipent rapidement. Aujourd’hui désillusion et honte car au grand jour, les réunionnais voient votre vrai visage.
exactement depuis jeune c un vantard qui raconter d etre le manager de victor zvunka et domique veleilex ancien entraineur de st pierre . un ancien ( petit gardien ) de but de la patriot financé déja a l époque par la famille caillé et le pére au affaire de la ligue de foot
La paix sociale y faut tenir à li comme y peut. Peut importe comment. Y tiens à un fil. A garde comment la fine arriver par l’autre côté semb Bibi taleur va propage su toute le proche Orient. Là si toutes les Dom y donne le mot et le LFI ek z’arrête que la reste coincé dan lo gosier y remette un couche… lé comme un forteresse lé assailli su toute les fronts elle y demande renfort. Toussa va termine comment ? La paix sociale c’est le rôle de cet lé en l’air pou que cet lé en bas y prends l’exemple dessus. C’est à zot de donne le bon exemple. Ces derniers temps la eu trop dérapages.