Le patron du St Alexis répond. On a payé 400€ pour un week end dans un 4 étoiles : « minable »

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Ce couple, terriblement frustré d’avoir passé un sale week end, raconte son histoire sur Free Dom. Ils ont vécu une mauvaise aventure dans un hôtel pourtant affichant plusieurs étoiles.

Ce couple est séduit par une suite… et se décide de faire une petite folie : 400 euros la nuit.

Pour commencer la boisson de bienvenue est juste imbuvable, car « périmée » déclarent-ils…

Ils prennent possession de la chambre, et veulent profiter de la piscine. Déconvenue supplémentaire : elle ne serait pas entretenue, donc impossible d’y mettre l’orteil !

Quant à la nourriture : elle n’était clairement pas bonne. Du coup, ce couple, dépité, décide (c’est un comble à 400 euros le week end) de se faire… livrer à manger, et là, véto du propriétaire des lieux. « C’est vraiment pas classe comme attitude, leur aurait on dit, de ne pas manger à l’hôtel quand on est en suite, les livraisons sont interdites dans l’établissement ».

Voici leur témoignage : 

Le patron de l’hôtel concerné a tenu à répondre à cette dame par le biais d’un droit de réponse qui nous est parvenu le 23 février.

« Madame,
Vous avez choisi de tremper votre plume dans le sang, ce sang impur dont s’abreuvent désormais de
plus en plus de « followers » des réseaux sociaux.
Certes vous m’aviez prévenu, me précisant que vous aviez la faculté de démolir qui vous vouliez dans
tous les médias et sur tous les réseaux sociaux, et que vous n’alliez pas vous en priver.
Il semble, en outre, que vous en ayez fait votre métier.
Mais dans votre acharnement à invectiver et détruire, vous ne réalisez pas-même que vous accusez
publiquement votre conjoint d’un délit sanctionné par le Code pénal, révélateur d’un état d’esprit
bien malsain !
Je m’attendais certes à une réaction de votre part, bien qu’il m’ait semblé que vous aviez compris les
raisons de ma colère : « mi comprend…, mi comprend a ou…, mi comprend mieux… ». Je cite votre
conjoint, vous pouvez vérifier dans votre enregistrement effectué à mon insu.
Mais je ne peux pas vous laisser répandre votre venin, comme vous l’avez fait un peu partout toute la
journée, sans réagir : qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son, dit-on. Permettez-moi,
Madame, de rajouter, sinon une cloche, du moins un son. Vos « followers » ont peut-être aussi le
droit d’entendre la réponse de « l’accusé ».
1° Je ne vous ai pas agressée verbalement, ainsi que votre conjoint, qui n’était d’ailleurs pas avec
vous, du moins à l’instant où nous avons fait … connaissance !
2° Oui, je me suis énervé ce soir-là. A tel point que j’ai eu du mal à m’endormir un peu plus tard. Et
vous savez que ce n’était pas après vous, mais après la personne de l’entreprise « Sushi d’Art » (selon
vous), prise en flagrant délit d’acte de commerce déloyal, tranquillement installée dans sa voiture sur
le parking de l’hôtel et à laquelle vous étiez en train de régler par carte bleue le sac de sushis et
autres victuailles que ce restaurateur sans scrupule venait de vous livrer.
3° C’est vous qui vous êtes mise à crier après moi, alors que je ne m’en prenais aucunement à vous et
vous déclarais, au contraire, que vous n’y étiez pour rien. Votre conjoint qui se tenait d’abord à
distance est venu vers nous, grand gaillard roulant des mécaniques et me demandant, menaçant,
quel était mon problème.
La discussion s’est prolongée parce que vous-même, au moins aussi en colère que moi, ne vouliez pas
m’entendre. Je n’ai eu de cesse de vous dire que je n’en avais pas après vous – ceci doit être aussi
dans votre enregistrement – avant que vous ne vous calmiez à votre tour, me laissant enfin la
possibilité de vous donner les raisons de ma colère, incluant, pêle-mêle, le manque de savoir-vivre de
certains clients, dont effectivement des clients locaux, et leur mépris envers l’établissement et son
personnel chargé d’enlever les restes et de nettoyer, la faute professionnelle du restaurateur
concerné, enfin, et surtout, le risque sanitaire que présente une livraison de nourriture extérieure,
avec les responsabilités qui pourraient en résulter. »

3 Commentaires

  1. Manque de savoir vivre des clients « locaux »…tous les reunionnais devrais boycotter le SAINT ALEXIS à SAINT GILLES,les touristes savent mieux vivre que les locaux apparemment.
    Servir une boissons périmée et une mauvaise nourriture à 400 euros le week-end n’est ce pas abuser monsieur le directeur ?
    C’est certainement le client bien sûr et toujours qui manquait de savoir vivre et aurais du fermer sa bouche concernant votre établissement..
    Vous évoquez le risque d’une crise sanitaire,n’y a t’il pas un risque de crise sanitaire à faire ingérer à vos client des boissons périmées?
    N’y a t’il pas un risque sanitaire lorsque vous laisser du limon pousser dans votre piscine?
    Vous avez vous monsieur un manque de savoir être et à 400 euros le week-end locaux comme vous le dites si bien et touriste peuvent trouver mieux que votre hôtel avec des gens bien.olus accueillant que vous,il suffit de chercher….SAINT ALEXIS A SAINT GILLES BOYCOTTE SA

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