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Covid-19 : plein succès pour le centre de vaccination éphémère de Bras-Panon ! (VIDÉOS)

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En collaboration avec l’ARS (Agence Régionale de Santé), la municipalité de Bras-Panon a installé, le temps d’une journée, ce mercredi 25 août 2021,  un centre éphémère de vaccination sur le champ de foire,. Cette annonce avait été faite par le maire Jeannick Atchapa lors du conseil municipal de juillet dernier. Jeannick Atchapa souhaitait pouvoir installer ce genre de structure dans tous les quartiers de la commune et ce, sur deux journées. Mais pour des problèmes d’organisation, l’ARS n’a donné son autorisation que pour une seule journée, au centre-ville. Le public a répondu présent à l’appel de la municipalité. D’où la satisfaction de Charles Maillot, adjoint au maire. Il est au micro d’Yves Mont-Rouge :

Afin de permettre au plus grand nombre de se déplacer jusqu’au centre-ville pour  se faire vacciner, la municipalité de Bras-Panon a mis en place des navettes gratuites dans tous les quartiers, de 7 heures à 16 heures. C’est que nous explique Charles Maillot. Tout en précisant que cette organisation sera de nouveau d’actualité le 15 septembre prochain lors de la journée consacrée à l’injection de la 2ème dose.

Rappelons que la vaccination s’est déroulée dans trois box sur le champ de foire, derrière la mairie du centre-ville, de 8 heures à 17 heures. Sur rendez-vous, mais également de façon libre. La mairie a mis tous les moyens en place afin de faciliter l’orientation des personnes venues se faire vacciner . Le maire Jeannick Atchapa étant pris toute la journée sur Saint-Denis, c’est son adjoint Charles Maillot qui a veillé au bon déroulement de la journée, accompagné de Carole Sin Lee Sou, élue du conseil municipal. Sans oublier les employés communaux. (Notre photo ci-dessous)

 

Tout comme son adjoint, le maire est lui aussi d’autant plus satisfait que parmi le personnel médical présent pour vacciner les nombreuses se trouvent des Panonnais à l’instar des infirmiers Armand Seva, Corinne Béhu. Sans compter des jeunes comme Cassandra Turpin (infirmière), ainsi que des médecins : Yasmine Mogalia-Sibilla (généraliste), Nicolas Seva (interne au GHER de Saint-Benoit). A noter aussi la présence de la panonnaise Murielle Seva (médecin généraliste dans le Val de Marne) et de son mari Paul Chiron, médecine urologue  au sein de l’Armée. Le couple, actuellement en vacances, a bien voulu mettre la main à la pâte en participant à cette journée de vaccination.

De gauche à droite : le Dr Paul Chiron (urologue), son épouse Murielle Seva (médecin généraliste), l’infirmier bien connu à Bras-Panon Armand Seva, le maire Jeannick Atchapa et Yasmine Mogalia-Sibilla (médecin généraliste). Crédit Photos : Yves Mont-Rouge).

Rendez-vous au 15 septembre prochain pour la deuxième dose !

 

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

10 Commentaires

  1. on pourrai aussi envisager autre chose que l’injection expérimentale par prudence ? :

    Une prudence particulière sera de mise en ce qui concerne la vaccination potentielle à grande échelle des enfants, avant qu’il n’y ait des données réelles sur l’innocuité ou l’efficacité de ces vaccins dans les essais pédiatriques qui ne font que commencer. »

    C’est tout simplement du bon sens, de l’éthique et tout d’abord un peu de recherche bibliographique puisque sa lettre est étayée de publications.

    Ce qui est plus grave encore, c’est que la toxicité de la spike seule (comme dans les vaccins) est connue depuis plus de dix ans (Chen IY et al., 2010) avec le SARS-CoV1 ! Et la protéine spike du SARS-CoV-1 est identique à 76-78% à celle du SARS-CoV-2 (Wan Y et al., 2021). Ainsi, des études in vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 aggravait l’insuffisance pulmonaire aiguëe par des voies inflammatoires similaires au SARS-CoV2 (Kuba K et al., 2005) (Patra T et al., 2020).

    Encore pire, des études remontant aussi à l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 ont montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes et en particulier dans le poumon et le foie (Czub M et al., 2005) (Weingartl H et al., 2004).
    Dans ces études in vivo chez le furet, non seulement la vaccination n’a pas empêché l’infection mais les animaux vaccinés ont présenté des réponses inflammatoires significativement plus fortes que les animaux témoins et une nécrose focale dans le tissu hépatique ! »

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