Plus de pass sanitaire pour les personnes fragiles sans 3ème dose ?

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Ces bruits de couloir suscitent déjà la polémique. D’après le Canard Enchaîné, le gouvernement n’exclut pas de supprimer les avantages du pass sanitaire aux plus de 65 ans et aux personnes fragiles qui ne feraient pas la troisième dose de vaccin contre la Covid-19.

La campagne de rappel a débuté le 1er septembre 2021. Et depuis, les personnes fragiles ne se bousculent pas pour recevoir une nouvelle injection. Or, selon les experts, la France pourrait ne pas échapper à une cinquième vague épidémique entre novembre et janvier. Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a d’ailleurs annoncé un « risque non négligeable de reprise de l’épidémie. (…) C’est vraisemblable. Ce qui fait qu’elle se passera comme la quatrième vague, c’est que nos personnes vulnérables ne perdent pas leurs anticorps. »

Le gouvernement entend donc jouer sur les avantages du pass sanitaire pour encourager les plus fragiles à faire leur dose de rappel.

4 Commentaires

  1. Arrêtez avec des mots comme  » polémique  » dans ce genre d’articles.
    Il est tout à fait naturel de faire jouer le Pass pour réussir cette campagne de 3ème dose, et ceux qui sont pas d’accord doivent à un moment donné comprendre et admettre qu’ils ne sont que des complotistes et ne méritent pas d’être en France.

    • Tout d’suite le terme de complotisme ! Vous y allez un peu fort tout d’ même ! On ne peut plus avancer quoi que ce soit sans ce mot de « complot ». Tu vas plus faire tes courses au coin de la rue si tu vis en mode parano…

  2. « La vaccination est considérée comme l’approche ultime contre la Covid-19
    Ce travail démontre pourtant que la vaccination n’est pas corrélée à une baisse des nouveaux cas
    De façon étonnante, une légère augmentation de cas Covid-19 semble associée à des taux de vaccination élevés »

    *La lecture de ce graphique est la suivante : chaque point représente un pays, par exemple Israël, le point bleu clair en haut à droite. La position de ce point indique :

    1) le nombre de cas par million d’habitant pour ce pays, lu sur l’axe vertical (environ 6250 pour Israël) ;

    2) le taux de vaccination de ce pays, visible sur l’axe horizontal (environ 62 % pour Israël).

    Ceci nous indique que pour Israël, en dépit d’un taux de vaccination très élevé, on dénombre une hausse de cas Covid-19 très importante. Par contre, on voit clairement tout en bas à gauche du graphique que plus de 10 pays sont très peu vaccinés, et n’ont pas d’augmentation notable des cas Covid-19.

    Il est possible de déterminer mathématiquement la relation qui existe entre le nombre de nouveaux cas et le taux de «vaccination» à partir de l’ensemble de tous les points/pays présents sur la figure. C’est ce qui est représenté par la ligne droite sur le graphique. Si la vaccination permettait de diminuer le nombre de cas, alors on observerait une ligne descendante de la gauche vers la droite. Ce n’est pas ce que les auteurs observent. Paradoxalement, la ligne calculée est en fait croissante, indiquant une augmentation du nombre de cas Covid-19 avec l’augmentation du taux de vaccination. Ceci est évidemment complètement inattendu et contre-intuitif, et est probablement le résultat de l’effet « ADE », pour « Antibody-Dependant Enhancement”, décrit par ailleurs sur le site ReinfoCovid [2, 3].

    Conclusion:
    Au vu de ce travail, qui présente également des données analogues pour la situation actuelle à travers les USA, le bien-fondé de la campagne de vaccination semble ne pas aller de soi. Nombreux sont aujourd’hui les scientifiques qui pensent que non seulement l’efficacité de la vaccination est, dans le meilleur des cas, transitoire [4], mais qu’en plus elle pourrait être néfaste [5]. Tout ceci indique que la notion de «vaccination altruiste » présentée par nos politiques comme incitation à se faire vacciner semble être une vue de l’esprit.

    L’avenir et l’étude des données observationnelles permettront de clarifier la situation. D’ici là, le bon sens voudrait que l’OMS commence à inciter les pays récalcitrants à améliorer leurs offres de soins précoces [6], efficaces pour limiter l’impact de cette maladie qui affecte très majoritairement les plus fragiles. »

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