Pour l’année 2025, les budgets de l’Assemblée nationale et du Sénat vont connaître une légère augmentation.
Le budget de l’Assemblée nationale devrait s’élever à environ 627 millions d’euros, avec une hausse de 10 millions par rapport à 2024. Cette augmentation est principalement liée à la hausse des coûts de fonctionnement et à l’ajustement des salaires du personnel parlementaire.
Du côté du Sénat, son budget pour 2025 est estimé à 335,978 millions d’euros, répartis entre 315,192 millions pour les charges de fonctionnement et 20,786 millions pour les investissements. Cette hausse vise notamment à maintenir les infrastructures et moderniser les équipements numériques.
Les dépenses de l’Assemblée nationale et du Sénat sont indispensables pour assurer le bon fonctionnement des institutions législatives, car elles couvrent plusieurs aspects essentiels. Ces dépenses incluent, entre autres, les salaires des parlementaires et du personnel, l’entretien des infrastructures, les dépenses liées à la sécurité, ainsi que les investissements nécessaires pour moderniser les outils numériques et les équipements. Ces fonds permettent aussi d’organiser les sessions parlementaires, de soutenir le travail législatif et d’assurer la transparence et l’accessibilité des activités législatives au grand public.
Cependant, ces dépenses suscitent des débats, notamment en raison du contexte de rigueur budgétaire que traverse la France. En effet, dans une période marquée par un déficit public élevé et des efforts de réduction des dépenses publiques, beaucoup se demandent si les institutions parlementaires devraient également participer à l’effort national de réduction des coûts. Certains estiment que les législatures doivent optimiser leurs dépenses et réduire les dépenses non essentielles, surtout lorsque des coupes budgétaires affectent d’autres secteurs comme la santé, l’éducation ou la sécurité sociale.
Ce débat reflète une tension entre la nécessité de maintenir des institutions performantes et la volonté de respecter les objectifs de réduction du déficit public, ce qui rend la question des budgets parlementaires politiquement sensible.
allez dire sak i crève de faim de serrer encore un peu la ceinture pour cette légère augmentation du budget au sénat et à l’assemblée nationale ( ou i mange très bien déjà pour pas cher).C’est scandaleux , l’effort c’est pour tout le monde, i doit être surtout pour sak i profite a fond et i contribue peu ( les revenus du capital) mais c’est pas le cas.
allez dire sak i crève de faim de serrer encore un peu la ceinture pour cette légère augmentation du budget au sénat et à l’assemblée nationale ( ou i mange très bien déjà pour pas cher).C’est scandaleux , l’effort c’est pour tout le monde, i doit être surtout pour sak i profite a fond et i contribue peu ( les revenus du capital) mais c’est pas le cas.
On ne prête qu’aux riches !!!! je dirais même plus : on ne donne qu’aux riches !!!!
trop de privilèges générés par le système , il faudrait remanier tout cela !!! mais ça c’est une autre histoire !!!
Écœurant et contradiction avec ce qui se passe de qui se moque t’on ?