La rentrée de janvier dans l’Académie de La Réunion sera marquée par l’arrivée de 250 nouveaux élèves, en grande majorité originaires de Mayotte. Cette situation soulève de nombreuses questions quant à leur accueil et à l’impact sur le système éducatif local déjà sous tension.
Selon le communiqué de presse de Céline Sitouze, 8ème Vice-Présidente de la Région Réunion, ces 250 enfants seront « positionnés dans des classes déjà surchargées », sans création de nouvelles salles de classe. Cela soulève des inquiétudes quant à la capacité des enseignants à prendre en charge ces nouveaux arrivants tout en assurant le programme pour leurs élèves présents depuis le début de l’année.
« Comment ces enfants vont-ils s’adapter après un tel traumatisme sur un territoire inconnu avec une culture différente ? », s’interroge Céline Sitouze. Le déracinement et le changement brutal de contexte scolaire et culturel risquent d’avoir un impact important sur le bien-être et l’apprentissage de ces élèves.
Par ailleurs, la question du logement de ces familles est également préoccupante. Avec « de très grandes difficultés à loger les familles réunionnaises » en attente de logements sociaux, il serait « injuste que leurs demandes soient repoussées pour loger des familles encore plus sinistrées », souligne la vice-présidente.
Enfin, le financement de cette arrivée massive d’élèves supplémentaires n’est pas encore clairement établi. Qui prendra en charge les coûts liés au matériel scolaire, au transport et à la restauration ? Les collectivités territoriales seront-elles en mesure d’absorber cette charge ?
Céline Sitouze pointe du doigt la responsabilité de l’État, estimant que « Mayotte est une terre française » et que l’État « ne l’a jamais pas été pour le plus jeune de ses départements ». Elle souligne que le manque d’investissements à Mayotte a contribué à aggraver les dommages du cyclone Chido.
y arrange bien la région et tte l’administration coloniale de la Réunion,les nouveaux logements en construction au tampon près de 900 appartements d’après zot sera pour qui la pa pou kreole en tt cas, la violence dans nos rues et les élus y fait les autruches, où bien y fait semblant plaidé la koz des reyoné, kreoles continue avoir le zye fermé continue vivent dans le mensonge de nos élus goyave de France et complices de ce système colonialiste
Tant que le personnel enseignant, la population réunionnaise et les politiques réunionnais ne réagiront pas collectivement pour mettre un terme à tout ça, la Réunion continuera à être le bouche trou de l’Etat pour régler les problèmes de Mayotte. Hier, les mineurs isolés des rues de Mayotte et les prisonniers de la prison de Majicavo. Aujourd’hui, 250 élèves alors que nos classes sont surchargées. Et demain ? Le grand remplacement est sans doute un sentiment !
Ile de la Réunion, terre mahoraise !!
la 25 ème commune, Fayard lé la
Ok y soulève problème mais c’est kossa la solution ? Faudra fait avec. Prendre patience su deux ans le temps y remettre Mayotte su les rails. Ou dépends de la France, la France y dit « bef vole » ou lé obligé vole ensemble. La bien construit un geôle la Run pou mette bana dedans est ce que nous la dit non. Nous lé amarré. Nous la eu peur prendre nout courage à deux mains dan temps nout grand papa demande l’indépendance astaire lé cuit. Z’enfant lé pou rien. Y sar pas reproche à zot quoi que ce soit. Parents na le droit porte plainte. En france na des enfants lé déracinés à peine y gaigne cause français la commune y trouve pas un adulte comme de zot communauté pou fait apprendre la langue. Partout la pou popériser. Retenez bien malgré ce chamboulement que tous les enfants du monde sont beau et dan un pays où zot na la sécurité à manger merci à tous ces pays qui peuvent redonne à zot le sourire où garçon et filles y jouent ensemble. Dan zot éclat de rire ou retrouve un peu de out enfance. Nous la connu que l’insouciance. Tandis que zot non.