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Saint-Denis : renforcer la sécurité « ensemble, pas à pas »

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Face aux violences qui touchent certains quartiers de Saint-Denis, la maire Éricka Bareigts et le préfet de La Réunion, Patrice Latron, rappellent que « la solution ne peut être que collective ». Associations, médiateurs, forces de l’ordre et services de l’État unissent leurs efforts pour calmer les tensions et proposer des réponses concrètes.

Des actions sont déjà en cours sur le terrain, et ça commence à se voir. Les Groupements de Partenariats Opérationnels (GPO) jouent un rôle clé en regroupant les forces locales pour mieux agir ensemble. Petit à petit, des résultats apparaissent, preuve qu’ »avec une bonne organisation, on peut faire bouger les choses ».

Certains secteurs de la ville ont été désignés comme zones d’intervention prioritaire. Ce statut, décidé par la procureure de la République, permet de concentrer les efforts là où ils sont le plus nécessaires, avec des actions sécuritaires mais aussi éducatives pour construire un climat plus apaisé.

Si rien ne se règle du jour au lendemain, l’objectif est clair : « des quartiers plus sûrs, plus solidaires, et où il fait bon vivre ». La mairie de Saint-Denis appelle chacun à continuer dans cette dynamique collective.

Ensemble, on peut vraiment faire la différence.

9 Commentaires

  1. Que fait le directeur de la CAF pour remédier à tout ça ????
    avoir permis pendant des années avec une simple attestation que des pseudo familles perçoivent des milliers d’euros pour accueillir des mineurs qui du coup se retrouvent à la rue avec tout ce que cela engendre !!!!
    violence , vols , caillassage , trafic de drogue , prostitution etc….le directeur de la CAF doit donner des explications à la population !!! c’est très très grave , c’est de la maltraitance permise à cause des manquements des institutions !!!

    • De zéro à 1ooo jours li. Pas à pas. En même temps l’insécurité la pas tombe su le créole du jour au lendemain mais pou déboule su nous sans que nous comprends comme carapates su tétés bef de là vraiment na eu qu’un pas. Elle la grandit la Run elle la bien vu tout ça. Groupage la pas bon. Dan les haut la possession n’avait un famille à cet époque té rode pas nous lé noir zot aussi té sar pas pli loin. Mayotte comore nous té connaît même pas oussa té situé. Un famille des plus ordinaire. Parents et enfants. Tranquille. Nous la fait camarade avec. Mme Ali. Elle la retrouve à elle seule avec ses 5 enfants elle té pas rejetée par nous. Dan les hauts la vie té dure pou cet té travail pas. Les enfants la toujours été respectable. Pou dire que quand na un famille ici et là lé bon mais c’est quand y vient par clan y dégénère. Partout lé pareil pas rienk qu’à la reynion. Zot que la fait z’étude y devrait connaître ça. Parce son ti « pas à pas » le zour que le vrai baisement la péter c’est pas si va laisse à nous le temps couri. Y prends toussa en bon enfant mais vivre un jour dan ces quartiers pou voir le quotidien de ces habitants na que zot y peut supporte toussa.

  2. Bareigts ne danse pas le Maloya avec ce préfet-là? Pas à son goût?
    La sécurité! D’un côté, on ouvre les aéroports et de l’autre, on prend des mesurettes pour sécuriser! Que les délinquants se concentrent sur ceux qui promettent des contrats et qui leur font des promesses non tenues à chaque élection et qu’ils laissent les bons citoyens en paix!

  3. Gros lol dans la cité Hyacinthe 2 gang d’étrangers venu d’autres quartiers foute le bordel ça balance des bouteilles et des cailloux à tout va, avec les sabres et autre arme, tout ça à côté d’une école maternelle les flics arrivent quand c finit( ils doivent avoir des guetteurs) ils en ont rien à faire des voitures garer qui reçoit les galets, les maisons des habitants aussi y on droit. Toute les semaines même merde. Pou commencé devenir un FAYARD 2 mon pauvre cité.

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