Suite aux incidents survenus ces derniers jours, la Ville de Saint-Denis souhaite rappeler son engagement en faveur d’un environnement serein et sécurisé pour tous.tes, affirmant sa volonté de rester l’une des villes les plus sûres de France.
Ce dimanche soir, un homme a été victime d’une attaque par un homme armé au Barachois, dans le cadre d’une vengeance personnelle selon les éléments rapportés par la presse. Grièvement blessé au thorax, il a malheureusement succombé à ses blessures malgré l’intervention rapide des secours. La mairie adresse ses meilleures pensées à ses proches et aux riverain.ne.s traumatisé.e.s par cet événement tragique.
Le 2 novembre dernier, des commerces du centre-ville, rue Juliette Dodu, ont également été victimes de dégradations causées par une personne atteinte de troubles psychologiques. Il s’agit de personnes qui n’ont rien à faire dans les espaces publics et doivent être suivies dans des établissements adaptés à leur maladie. C’est pourquoi nous réitérons l’absolue nécessité de donner des moyens à l’hôpital public et aux associations de tutelles pour que cette prise en charge soit effective pour la sécurité de tous.tes. La Ville de Saint-Denis condamne fermement ces actes et exprime son soutien aux commerçant.e.s affecté.e.s.
Depuis 2020, les efforts de la Ville se sont traduits par un renforcement important des dispositifs de sécurité : le nombre de caméras de vidéosurveillance est passé de 54 en 2020 à 103 aujourd’hui, dont 53 concentrées dans le centre-ville. Dans le même élan, des programmes de médiation dans les quartiers, avec une présence accrue d’intervenant.e.s de proximité pour favoriser le dialogue et la prévention, ont également été confortés. La ville compte désormais 67 médiateurs, dont 8 dédiés au centre-ville, ainsi que 22 médiateurs de nuit, dont 12 également affectés au centre-ville.
La Ville de Saint-Denis travaille en étroite collaboration avec la Police nationale, notamment dans le cadre de groupements de partenariats opérationnels (GPO), pour garantir un climat de sécurité optimal. Des patrouilles communes assurent une surveillance régulière et une présence visible dans les secteurs sensibles.
Grâce à cette coopération, la soirée d’Halloween a été marquée par peu d’incidents. Sur le terrain, la présence des médiateurs, en collaboration avec la police municipale et la Police nationale, a montré son efficacité, avant et surtout pendant la soirée. Par ces actions, Saint-Denis réaffirme son ambition de construire une ville où chaque citoyen.ne peut vivre en toute sécurité.
continuez à loger ces délinquants qui arrivent !!!! l’avenir nous dira la suite !!!! pauvre Réunion !!!!
Quel sécurité !
La police i arrêt pas zot i garde seulement
Mon garçon i vient fé agressé à li à soir la
tt suite la. Par un ban i marche en troupo zot
Mon zenfan lé lopital la , ban la moucate ar tourne zot peî si gagne pas vive parmi créole. Vient tt seul ek la main i gagne pas.
Mi sorte CHU .
Di Mme la maire arrêt prend domoune pou couillon dont.
Son blabla li garde pou li
les agents médiateur ils vont bosse de nuit car ce sont de ti jeunes pour votre ville à besoin police municipale police nationale ou bac
trop de logements sociaux au coeur de la ville
st denis se mutile et en communication ne trouve que des pansements à appliquer
Arrêtez, les délinquants constituent l’électorat de Madame Bareigts! elle a besoin d’eux pour se faire réélire! c’est comme son pote Selly qui livre des cartons de poulet et embauche la famille des délinquants. Il faut arrêter de prendre la population pour des couillons, de faire la fête pour boucher les yeux et croire que les citoyens vous approuvent! Regardez le facebook de Saint Benoît et le vampire d’halloween qui au lieu de fêter Dipavali, a fêté le satanisme.
Nous la fine rentre dan un phase la violence que domoun y en fout asteur. Y dit la peur va change de camp, mais zot na pu peur de rien. Zot donne la mort comme ça par jeu par ennui zot croit pu en aucun valeur. Zot na pu peur ni de la loi divine et encore moins de cet des hommes. Ils voguent entre deux monde zot na même pu peur d’être « pourchasser » par l’âme du mort en question. Fine arrive quoué ça bande jeune coma en quoué y peut qualifier à zot ? Même qui remettra la peine de mort y arrêtera pas zot. Nous traversons un siècle terrible.
Arrête construire logement pour mettre n’importe qui dedans !!!! plus i construit plus néna délinquance ! Stop !!!!