En Seine-Maritime, dans la petite commune de Goderville, Frédéric Carlière, le maire a contacté la gendarmerie après avoir mené son enquête personnelle.
Certains enfants n’avaient droit qu’à un demi-burger ou un demi-cordon-bleu. D’autres étaient carrément privés de plat principal, selon nos confères de Paris-Normandie.
Les parents étaient étonnés de constater que leurs enfants ne mangeaient pas à leur faim à la restauration scolaire.
Le lundi 13 septembre 2021, les gendarmes ont surpris deux cantinières, employées par la mairie avec des sac remplis de cordons-bleus. Ceux-là mêmes qu’on n’avait servis qu’à moitié aux enfants à midi !
Un petit manège durait depuis plusieurs mois. Trois cantinières ont été convoquées par la justice pour une composition pénale. Elles vont, par ailleurs, passer en conseil de discipline. Deux d’entre elles ont vu leur contrat suspendu. La troisième n’a pas été renouvelée, selon Bruno Dieudonné, le procureur de la République du Havre.
Et vous croyez qu’ici cela ne se fait pas ?
Oui tout à fait même pratique sauf qu ici on dénonce pas ni licenciement car ce sont des nervis du maire
La réunion aussi pareille les personnelles qui la cantine avec des sac très plein de repas que les parents paye pour leur enfants
La reunion aussi nena ça ya qua voir la quantité de denrée qu elles emmènent chez elles.
Oui je confirme aussi ! A la réunion sa existe depuis toujours, et dans toutes les communes…
C’est pour ça qu’il y a plein de baleines chez les cantinières … elles se goinfrent !
En même temps pour la santé, mieux vaut la moitié d’un cordon bleu !
Bien vu !
À voir les commentaires, on constate qu’il n’y a Un bardot, MAIS des bardots, il faut toujours qu’ils trouvent une réplique réunionnaise.
Je ne crois pas que les français font pareils
C’est humain de se servir soit après les autres !!!! C’est d’actualité à aujourd’hui !!!
Pas pour rien que Monsieur le Maire a mené sa propre enquête. Elles auraient dû se méfier. Une bande de gourdasse. Allez-y pointer mnt. C’est strictement interdit de rapporter des denrées alimentaires chez soi. Uniquement dans un but sanitaire. Partez la conscience tranquille après votre travail ce n’est point trop demander. Et donner à manger à ces enfants la plupart attendent un repas équilibré parce que chez eux ils ne mangent pas à leur faim ou très mal. (Ce sera un autre débat pour le gaspillage alimentaire dans les cantines)
maintenant après la chasse aux infirmières , c’est la chasse aux cantinières….
Cet article ne dit pas forcément la vérité et évidement les journalistes sont content….
L’histoire me semble vraiment très grosse et plus il y a d’article plus y a de mensonge…
Les dames sont salies alors que vraiment il n’y a rien de vrai.
Effectivement il fallait faire du propre dans la commune c’est fait mais salement.
Nous avons tous mangé à la cantine pour savoir que c’est vraiment pas top les repas et que oui à 16h30 nous avions faim.
Cela prend des proportions énormes…
En octobre 2021, trois femmes ont été jetées en pâture à l’opinion comme des affameuses, et d’une méchante espèce, celle qui s’en prend aux enfants. A Goderville en Seine-Maritime, trois employées de l’école, deux cantinières et une assistante, coupaient les hamburgers en deux et s’accaparaient les yaourts et les kiwis des mouflets… Les petits avaient faim, les familles se plaignaient, cela faisait des mois que cela durait. Le scandale occupa l’actualité le temps de quelques flashes radio, journaux télévisés, et l’on passa à autre chose, les sujets ne manquent pas pour les media de notre pays en crise. Mais quand la lumière s’éloigne, la souffrance reste -celle de ces trois femmes d’abord, qui n’ont plus de travail, qu’on nous a dit coupable sans que jamais jusqu’à aujourd’hui, on puisse entendre leur voix, leur défense, leur dignité… Elles ont bien voulu nous parler, elles sont avec nous aujourd’hui. Voici les cantinières de Goderville. (FRANCE INTER le 16/07/2022 en podcast aussi)
Bravo, pour votre reportage qui rétabli la vérité pour ces trois employées, mais n’effacera pas le traumatisme qu’elles ont subi.