Depuis 9 mois, une mère de famille vit dans un logement neuf de la SHMR à Deux Rives, Sainte-Suzanne, avec ses deux enfants âgés de 1 et 2 ans. Malheureusement pour la petite famille, l’appartement est envahi d’infiltrations et de moisissures, ce qui affecte énormément leur santé.
« Le bébé est malade, il fait des crises et n’arrive plus à dormir. Quant à la mère de famille, elle est asthmatique et ses conditions d’hébergement ont fait empirer son état. » Cependant, leur situation ne semble pas assez catastrophique pour le bailleur social ainsi que l’assistante sociale de la famille, qui considèrent que leurs problèmes de santé ne nécessitent pas un changement urgent de domicile. Cette famille a tenu à pousser un coup de gueule en nous faisant parvenir les photos de leur appartement :
Bonjour nous aussi dans le même ka la semac le portail ouvert les gens viennent esquoite le parking sous sol fatiguée téléphone la semac pour le logement i atent quand aura un mort
Allé travail et quitte logement sociaux, voila une vrai solution au lieu de se plaindre que freedom
Malade ou pas . Personne i devrai vive dan un logement comme sa
Ben quoi repasser une peinture
Demenagez
Bougez vous
Sinon vs voulez des ti fours ? Champagne ?
bonjour.
plus haut une personne écrit.
allez travaille et quitte logement social.
Mais DANE 6.
Savez vous que beaucoup d entre nous travaillons mais hélas ;il n est pas possible à tout le monde qui travaille d habiter ailleurs que dans un logement social .
leur salaire ne leur permet d habiter ailleurs.
qui plus est ils payent tout de même leur loyer bien qu ils perçoivent l aide au logement.
de plus il est dans l intérêt de la Semac d intervenir pour faire les travaux.nous sommes toujours des humains que j sache. chacun a ses responsabilités. tout à fait normal qu elle en a marre.
eh qu elle a poussé son.coup de gueule. ayez un peu de bon sens s il vous plait
bonjour.
plus haut une personne écrit.
allez travaille et quitte logement social.
Mais DANE 6.
Savez vous que beaucoup d entre nous travaillons mais hélas ;il n est pas possible à tout le monde qui travaille d habiter ailleurs que dans un logement social .
leur salaire ne leur permet d habiter ailleurs.
qui plus est ils payent tout de même leur loyer bien qu ils perçoivent l aide au logement.
de plus il est dans l intérêt de la Semac d intervenir pour faire les travaux.nous sommes toujours des humains que j sache. chacun a ses responsabilités. tout à fait normal qu elle en a marre.
eh qu elle a poussé son.coup de gueule. ayez un peu de bon sens s il vous plait
C la réalité
Où sont les experts judiciaires qui aiment taper sur la particuliers. Comme par hasard dans ce genre de circonstance il minimisent les effets et conséquence. Une vrai bande de rapaces quand il ne faut pas et toujours à permettre de taper sur les plus démunis.
Nous aussi 2 enfants asthmatique et ça fait 3 ans qu’on vit comme ça même avec les certificats médicaux les relances …. Semac st joseph et les gens qui croient quon peut déménager comme ça c’est pas facile de partir comme ça avec les moyens qu’on a !!
Bonjour à vous merci pour les soutien comme les critiques. Je vais faire cour … dans mon ancien logement de la semac que j’ai vécu 5 ans j’avais peu d’ouverture et mon bébé n’était pas sous ventoline arriver dans cette appartement neuve en février premier crise en avril dégradation de la maison dans le mem temps j’ai relancer shlmr depuis mai pour venir voir ont ma dit ta pas urgence pou un relogement entre-temps 2 crise et le 3ème sévères perte de connaissances entrainant une crise épilepsie. Croyez vous que je bouge pas pour nous sortir de cette situation croyez vous que pour la santé de mes enfants et la mienne cette appartement est convenable. Un travail une autre maison croyez vous que c chose facile à trouver comme sa . Oui free dom c une façon de se faire entendre .. mais un coute peinture croyez vous que sa améliorer la santé de mon fils .leur appartement (livré en décembre2020) sont male fait c sa la réalité comme beaucoup d’autres sur toute l’île….
Merci free dom de faire entendre les petits gens comme nous