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Cantinière rouée de coups à St-Benoît : entretien depuis sa chambre d’hôpital (PODCAST)

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Vous allez entendre le témoignage de son mari… L’agression s’est produite à la pause méridienne, lorsque les enfants de l’école étaient de la cantine… On n’a pas toutes informations, mais la victime a été hospitalisée, lèvre tuméfiée, bleus et bosses un peu partout sur le corps… Et hier soir, un peu avant 19h, son mari attendait toujours devant le GHER dans l’attente de nouvelles.

PODCAST : 

Deux jours après cette agression, notre reporter Charles Luylier est allé à la rencontre de la victime et de ses proches :

27 Commentaires

  1. Quand zot y cone pas cossa la passer mettre a zot en veilleuse nena la loi pour enqueter arrete meyte de l huile dans feu mi cone madame la mais mi cone pas cossa la arriver .
    Maintenant le jhon y cose inutile la tout le monde y cone qui sa la tape aller chercher ou.va trouver arrete fais le blabla mo fort si papier
    Bon retablissement madame et vivre en paix zot tout.

  2. Na telman do moun lo sang le cho i arive pi kozer i koné ienke beze taba da guel…ou bien trape sabe..te kreol sanze in pé te nou en 2021..arete de honte nout band…koze tape pa.nz zistiss pou sa……bon guérison madam

  3. Ti Mme la lé très connu dan st Benoît elle i aide in tas demoune… Très actif ds les associations… Un moune le dcd elle i viens la veillée tte… kan Ti fille la été enlevé a bras fusil la c elle la parti réconfort la famille la passe dan tv tte mm le jour paque la fe un reportage sur elle dan tv…. Mi pense elle a du répondre band femme la cantine Bana la entouré a elle. Band cantinière i ve pa serve zenfan 2 fois la cantine seulement zot tante lé plein manger kan i sorte travail voilà la réalité. Bon rétablissement Mme.

  4. Encore et encore des mensonges pas possible sa mi t présent au moment des faits i empêche pas donné la bouche mais Nicole dit bana cest ou la parti rejoindre l’autre femme en premier pour demande des explications apres ou la vole dessu elle kan elle té a table les agents la séparer la première fois et ou lai revenu une deuxième fois pour rebataille mi en doute pas que ou aide les gens dans st benoit mai arrive à un moment donner arrête fai passe a ou pour la victime ou lavais poin a jette a ou su madame la pou rale son cheveux a la limite a attend d’être a l’extérieur de lecole pour regle out problème mai pa a l’intérieur et pourtant ou lai médiatrice mi comprend pas

    • aie aie aie aie aie eh bien comment elle çava explique sa elle la, si c’est elle la commencer donc le départ de feu i commence par madame nicole,
      et la dame en fasse de elle i sava pas garde a elle non plus ce qui est normal , elle la défend a elle , mais n’aurait du esquinte madame nicole comme ça .
      dés fois aussi faut se méfier des personne en face de ou que ou crois ou sava pouvoir corriger et finalement c’est ou i gagne le coup .
      fait honte seulement pour des adultes .

  5. Des sauvageons.
    En même temps, quand on voit leur métier, on sait que ce sont des « emplois politiques ».
    Des gens n’ayant ni les compétences ni les comportements pour s’occuper d’enfants qui sont placés là par les équipes municipales d’hier et aujourd’hui.
    Lamentable et illustratif du clientélisme politique à la Réunion.

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