Depuis quelques mois, un père métropolitain s’est installé avec sa famille sur l’île, apportant avec lui des attentes et des valeurs éducatives profondément ancrées dans le système scolaire métropolitain. Cependant, après quelques semaines seulement, il est perplexe et inquiet face à l’organisation de la scolarité de ses enfants. En effet, la situation qu’il observe au quotidien l’interroge fortement.
Son fils, en classe de CM2, a déjà manqué de nombreuses heures de cours depuis la rentrée. Son professeur principal est régulièrement absent pour raisons de santé, et le remplaçant désigné peine également à être présent en continu. Devant cette absence fréquente de continuité pédagogique, le père, soucieux de ne pas voir son enfant stagner, a suggéré une solution temporaire : intégrer son fils dans une autre classe pendant les absences de son enseignant principal. Cependant, la solution adoptée s’est révélée pour le moins surprenante : le jeune élève de CM2 se retrouve dans une classe de CP, où, au lieu de suivre un enseignement adapté, il passe son temps à faire des dessins.
La situation n’est guère plus encourageante pour ses filles, scolarisées au collège. Elles aussi subissent régulièrement les aléas des absences de leurs professeurs, laissant leurs heures de cours incomplètes et leur apprentissage morcelé.
Le père se demande alors si ce niveau d’absentéisme est généralisé et si la situation est comparable à celle de la métropole. Est-il courant de faire face à une telle pénurie d’enseignants et à une récurrence d’absences ? De plus, la question de l’envoi de jeunes professeurs formés en métropole, souvent peu habitués aux réalités locales et à l’éloignement, semble également se poser. Cette méthode est-elle réellement efficace pour assurer la continuité pédagogique et la stabilité des équipes éducatives ?
Des comparatifs précis sur le taux d’absentéisme entre les établissements à La Réunion et ceux de la métropole, s’ils existent, pourraient peut-être aider à comprendre si la situation est propre à l’île ou bien si elle fait partie d’une problématique plus large. De plus, d’autres parents sont-ils également confrontés à cette réalité dans les écoles locales ? Ce père, comme beaucoup d’autres, espère avant tout trouver des réponses et une solution pérenne pour assurer à ses enfants une scolarité stable et de qualité.
Il a raison, la réunion c’est nul. Il faut retourner en métropole !
les profs sont tous des paresseux et des assistés
vie chère+vacances d’hiver+vacances d’été+congé maladie+congé longue maladie+dépression et le plus important ensachage voyage pour les petits morveux.
profitez bien Macron va supprimer 4000 postes et on va bien rigoler bande de trou de cul
Une seule qolution monsieur
Inscrivez vous comme contractuel pr assurer les remplacements et vs verrez si les conditions subies ne vous apportent pas les reponses des absences que vs observez
N hesitezvpaq a postuler les people l education nationale manque de monde la preuve
Bienvenue dans la réalité de notre société, après pour un résultat de présence et de suivi mettez les dans le privé, ici ç est ouvert à tout le monde riches pauvres noir blanc zarabes et sauf une chose qu’il faut pas oublier quand même, ce n ‘est pas parce que on met nos enfants dans ce genre d’ établissement qu’on fera d ‘un âne un cheval de courses