La semaine dernière, une auditrice a perdu son mari, emporté par une maladie grave. C’est avec une profonde indignation qu’elle témoigne aujourd’hui, non seulement de la douleur de la perte, mais aussi des conditions dans lesquelles son mari et elle auraient été traités dans les derniers jours de sa vie.
Après une première hémorragie, son mari aurait été transporté en urgence au CHU, où il aurait été temporairement stabilisé avant de pouvoir rentrer chez lui. Quelques jours plus tard, une nouvelle hémorragie aurait exigé son retour précipité aux urgences.
À son arrivée à l’hôpital, cette femme dévastée aurait souhaité voir son époux. Elle affirme alors avoir été confrontée à des paroles glaçantes de la part d’un médecin :
« Monsieur voudrait rentrer chez lui, et de toute façon, ce serait fini pour lui. » Selon elle, aucune empathie, pas de douceur, juste une annonce brutale qui l’aurait laissée sous le choc et dans un profond désarroi.
Elle ne comprend pas qu’une nouvelle aussi difficile puisse être annoncée de façon aussi déshumanisée.
Ce manque de tact aurait eu des conséquences désastreuses, non seulement pour elle, mais surtout pour son mari. Informé de manière abrupte qu’il n’y aurait plus rien à faire, il se serait retrouvé dans un état de désespoir dont il ne se serait jamais remis. Elle raconte qu’après cette annonce, il aurait été envahi par des crises d’angoisse et un chagrin immense, incapable de retrouver un peu de paix.
Elle serait bien consciente des défis auxquels le personnel médical fait face chaque jour. Cependant, elle s’interrogeait : le respect et la compassion ne devraient-ils pas être des fondements essentiels de l’accompagnement, même dans les situations les plus difficiles ? Pour elle, l’hôpital aurait manqué cruellement d’humanité, ajoutant de la souffrance à une épreuve déjà insoutenable.
comprend pas pourquoi ce malade, n’était pas suivi par un spécialiste…
je viens de me faire opérer de mes deux genoux, en deux séjours dans une clinique, par un chirurgien spécialiste, et avec succès !!!
pas eu besoin de passer par les urgences.
pour les urgences, ma sœur vient de passer par là, car déclenchement soudain d’une maladie pénible à supporter.
elle y a été très bien traitée.
si votre radio arrêtait de faire de l’audimat en prenant toutes les plaintes sans preuves, ce serait enfin une vraie radio…
Pauvre sermon d’hypocrite ! La carte vitale d’abord ! Bien triste ce monde professionnel !
C’est pas un hôpital c’est un abattoir d’humains ! On rentre aux urgences , pensez d’appeler les pompes funèbres ! La moitié du personnel devrait changer de métier !
Je me.souviens de ma.meillzure amie, partie depuis, lzs médecins l’appelaient par son numéro de dossier. Lors de la reunion avec la famille pour la ramener chez elle pour ces derniers instants, aucun médecin autour de la table n’avaient vu son visage après 5 jours passés à l’hôpital.
une qui maltraite, insulte et humilie les personnes dans le service gastro. et elle est connue de tous (medecins, syndicats, direction, cadre) mais personne ne fait rien. Dieu s’occupera d’elle, et elle chiera dans sa culotte du matin au soir durant des années. c’est toute la Malédiction que nous lui portons.
Elle la Pokor tombe sur moin…mou noir, mi défonce a elle en parole
C’est tellement vrai ! Les médecins spécialistes ont bien changé ! Maintenant qd vous partez à l’hôpital si vous connaissez personne vous allez galèrer pour avoir un rendez-vous ! C’est scandaleux 3 mois d’attente pour voir un oncologue vous avez le temps de mourir !
Ou tire ces mêmes têtes en france ou mette la Reynion quelle différence bana y fait ? Zot y doit bien voir la différence parce na personne y totosse à zot manque à zot respect chavire zot taf. La Reynion c’est pas la france. Attende encore dei trois années pou les incivilités en milieu hospitalier. Toute façon le créole li voit bien par rapport une trentaine d’années auparavant cmt la situation la fine dégradée. Si un famille créole na point son moun qui travail dedans bun li lé mal fouti !