Une mère dénonce les repas au lycée Paul Langevin

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Quand on parle de l’alimentation des lycéens, on imagine des repas équilibrés, suffisants pour tenir une journée de cours intense. Pourtant, la réalité est bien différente. En tant que mère, j’ai été choquée de voir ce que mon ado a eu dans son assiette au lycée Paul Langevin : une portion ridicule de légumes verts et carottes, quelques petits pois égarés, une pauvre saucisse et un yaourt. Voilà de quoi nourrir un adolescent qui doit tenir toute une journée avec des cours exigeants !

Où est l’équilibre nutritionnel ? Où sont les portions adaptées à des jeunes en pleine croissance ? Comment justifier un repas aussi pauvre alors que nous parlons sans cesse de l’importance d’une alimentation saine et variée pour la concentration et la réussite scolaire ?

On nous parle de menus élaborés par des nutritionnistes, mais sur le terrain, les assiettes sont vides ou presque. Comment espérer que nos enfants restent attentifs et performants avec si peu d’énergie ? Un repas comme celui-ci n’apporte ni satiété ni plaisir à manger. Il ne fait que creuser la faim et pousser nos jeunes vers des solutions de dépannage : biscuits industriels, snacks gras et sucrés achetés à la sortie du lycée.

Il est urgent de revoir la qualité et la quantité des repas servis dans les cantines scolaires. Nos enfants méritent mieux.

13 Commentaires

  1. Mis à part l’absence d’entrée, ce repas est parfait : viande + légumes + yaourt. Quant aux quantités, rien de scandaleux. Quand on voit les ravages de l’obésité sur l’île, on devrait plutôt être rassuré par ce qui est offert dans cette cantine.

  2. Je trouv ce repas equilibre et avec une quantité suffisante en apport nutritionnel
    n’oublions pas que le gamin ne va pas courir un marathon
    ils vont en cours (enfin noramelement) leur donner plus à manger ce serait recharger en energie et après impossible de faire cour
    faut pas trop nourrir les animaux

  3. Beurk.!!! Et les politiques se permettent de critiquer les fast-foods? C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Ils peuvent faire les repas à 1 euros, s’il n’y a rien dans l’assiette, ou de la me..e,quelle avancée gastronomique? Encore de la com pour cacher leur incurie.

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