L’enjeu est la récupération de 14 millions d’euros pour des aides agricoles. Il manquerait 800 000 euros. Les planteurs souhaitent se faire entendre et exprimer leur mécontentement concernant le mode de versement de l’aide exceptionnelle de 14 millions d’euros dont bénéficient les agriculteurs.
Ils déposeront une première motion à la préfecture, puis au Conseil Départemental ce lundi matin. C’est une importante mobilisation pour soutenir les filières liées à l’agriculture que les syndicalistes lancent aujourd’hui.
Voici les explications sur les revendications signées du président de l’UPNA, le 10 février dernier à l’issue de leur dernière réunion :
Il faut songer à déplacer le bâtiment de la préfecture , car tout le temps avec ces grèves à la gomme , les intrus bloquent la circulation dans ce coin !
A qui la faute ,s ils subissent les aléas liés à leurs métiers,le contribuable passe à la caisse pour leurs attribuer des subventions ,a la fin celui qui paie subit toujours la double peine du fait que leurs produits subventionnés subissent une forte augmentation hors on devrait retrouver une baisse déduit
e les subventions,un contrôle des revenus serait nécessaire car tout les fruits de la vente se font souvent sans facture ce ‘ est que tout bénef pour eux qui a chaque catastrophe sollicite le contribuable qui ne se retrouve pas a la fin.
A qui la faute ,s ils subissent les aléas liés à leurs métiers,le contribuable passe à la caisse pour leurs attribuer des subventions ,a la fin celui qui paie subit toujours la double peine du fait que leurs produits subventionnés subissent une forte augmentation hors on devrait retrouver une baisse déduit
e les subventions,un contrôle des revenus serait nécessaire car tout les fruits de la vente se font souvent sans facture ce ‘ est que tout bénef pour eux qui a chaque catastrophe sollicite le contribuable qui ne se retrouve pas a la fin.