Vu dans Cash Investigation : Nassimah Dindar vote pour la taxation des vins arômatisés

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Hier soir, sur Réunion 1ère, était diffusé le dernier numéro de Cash Investigation porté la journaliste Elise Lucet. Celui-ci était intitulé « Alcool : les stratégies pour nous faire boire ».

L’émission s’intéressait aux stratégies mises en place par les fabricants et distributeurs de vins et spiritueux pour conquérir de nouveaux clients. Une séquence nous a tapé dans l’oeil : le vote à l’Assemblée Nationale de la taxation des vins arômatisés. On a pu y voir la députée Nassimah Dindar voter en faveur de cette taxation. Le but : décourager la consommation d’alcool chez les jeunes, cœur de cible de ces mélanges sucrés.

Boisson préférée des Français, le vin se trouve être le moins taxé des alcools. Et pour cause, Cash Investigation a dévoilé les appuis politiques dont disposent les alcooliers à l’Assemblée nationale. On vous laisse avec la bande-annonce de l’émission :

5 Commentaires

  1. Nassimah DINDAR n’est pas députée mais sénatrice, me semble t-il à moins qu’elle soit cumularde.
    Quant à son éventuel vote pour une taxation des alcools faits de mélanges sucrées, ce n’est pas très clair.
    Si elle a fait allusion aux vins produits par nos viticulteurs français dans nos régions, elle se trompe totalement
    car les vins de grande qualité bus avec modération pendant un repas par des jeunes adultes ou des plus âgés
    ne nuisent point à la santé. J’ai 72 ans, je vis dans une région viticole en Métropole, j’ai toujours dégusté des bons vins depuis l’âge de 22 ans en accompagnement d’un repas et je n’ai eu jamais aucun soucis.
    Madame DINDAR devrait plutôt se préoccuper des jeunes de son île qui boivent du rhum à 49 degrés et fument du zamal, un mélange très détonnant qui engendre toutes sortes de drames.

    • Tu ne sais pas que nos jeunes délaissent de plus en plus le 49° pour le whisky, vodka, Desperado, mélangé à des cachets, le zamal est lui aussi remplacée par des produits plus modernes et dévastateurs, coke, MDMA, rivotril etc.
      Les taxes n’ont jamais fait baissées les consommations, mais remplissent les caisses de l’État.
      Celui qui ne peut pas se payer sa dose violentera pour avoir les moyens.

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