Kozman derrière la cuisine : Civet coq et carri camarons

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Bien que le temps soit mi-figue mi-raisin dans l’Est aujourd’hui, ce ne sont pas les fruits qui seront à l’honneur dans ce KDC, mais le coq et les camarons.

Olivia Rahéri nous emmène chez Lyna, dans un quartier résidentiel situé près du centre-ville de Saint-André pour un civet coq, le plat préféré de son fils Laurent. Accompagné d’un carri camarons, les grains jaunes et le riz accompagneront parfaitement ce plat.

Lyna nous invite à entrer, et c’est dans sa cuisine extérieure que notre cheffe du jour va préparer son premier plat : le civet coq façon Lyna.

Les journées de Lyna sont réglées comme du papier à musique. Entre s’occuper de la maison et de son fils Laurent, tout est chronométré, comme pour le déjeuner qui doit être prêt à midi.

Astuce pour ne pas perdre de temps, Lyna a précuit un peu plus tôt dans la matinée son civet coq. Ainsi, elle a déjà fait revenir la volaille avec les épices, et en fin de cuisson, elle a rajouté presque un litre de vin.

Pour le civet coq nous aurons besoin d’ail, de 2 tomates, de poivre en grain, de sel, de gingembre, de noix muscade, et de vin rouge.

Même si le civet est précuit, il est tout de même préparé classiquement avec toutes ses étapes, comme dorer la viande, piler les épices, rajouter les tomates et ensuite le vin.

Quand vous aurez écouté ce podcast vous adopterez peut-être la méthode du gain de temps de Lyna.

Pendant que le civet coq mijote tranquillement à feu doux, Lyna s’occupe de son carri camarons, son deuxième plat qui, lui, se prépare très vite, et c’est dans sa cuisine intérieure que notre cheffe va opérer.

Pour la première étape, les gros camarons sont poêlés sans les épices, ainsi, ils ne seront pas trop durs. Dans le cas contraire, ils seraient caoutchouteux, et donc difficile à mâcher.

Notre cheffe a sa méthode pour voir si les camarons sont bien cuits.

Pour la deuxième étape, dès que les camarons sont prêts, Lyna rajoute les épices classiques et du combava, un agrume très parfumé – quelques zestes de combava suffiront pour les camarons.
La plupart du temps, le combava est un allié pour vos poissons, mais rien n’est gravé dans le marbre et votre imagination peut l’incorporer dans les plats aussi bien salés que sucrés.

Si vous n’avez pas de combava, écoutez Lyna qui nous donne une astuce.

Le civet coq, le carry camarons, les grains jaunes, le riz et la salade sont posés sur la table. Il est midi !
Il ne reste plus qu’à déguster ce repas dominical en famille.

Bon appétit !!!

 

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