Une victime de violence conjugale et malade se retrouve sans abri : une solution temporaire a été trouvée

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Aurélien Centon et la victime ont rappelé la radio en fin de matinée pour annoncer la mise en place d’une solution temporaire, en attendant une réponse plus durable. Ils expriment leur gratitude envers les auditeurs et toutes les personnes touchées par la situation de cette dame.

 

Ce matin, une voix tremblante a traversé nos ondes, celle d’une auditrice anonyme confrontée à un destin tragique. Victime de violence conjugale, en proie à la maladie et désormais sans domicile fixe, elle a courageusement partagé son histoire avec nous, dévoilant la détresse palpable qui l’accable.

La nuit dernière, cette femme a trouvé refuge à l’hôpital, mais son séjour a été écourté, contrainte de quitter les lieux car son état de santé ne justifiait plus son hospitalisation. Aurélien Centon, Élu Délégué en charge de l’Accompagnement d’Urgence, a exprimé son indignation quant à la situation de cette dame en contactant notre station de radio. Il a lancé un appel  à la solidarité et au soutien des autorités et de la communauté pour sortir cette femme de sa situation alarmante.

Au cœur de cette tragédie, réside le récit poignant d’une femme brisée par la violence infligée par son conjoint. Actuellement, elle se prépare à affronter son mari devant la justice lundi, poursuivant ainsi un combat pour obtenir justice et sécurité.

Face à ce cri de détresse, nous lançons un appel à tous nos auditeurs et à toute personne touchée par cette histoire : il est temps d’agir. Si vous souhaitez réagir ou apporter votre aide à cette dame, nous vous invitons à contacter notre station de radio sans plus tarder au  0262 99 12 00

Cette histoire est un rappel brutal de la réalité insoutenable que vivent trop de personnes chaque jour, prises au piège de relations abusives et de circonstances difficiles. C’est également un appel à la mobilisation collective, à l’empathie et à la solidarité envers ceux qui en ont le plus besoin.

 

 

 

 



4 Commentaires

  1. Triste réalité de bcp de femmes à la Reunion, hélas! Pour qu’elle raison que se soit elle de quitter le domicile conjugal? Foutez ce malotru hors de chez lui puisqu’il est la cause du désarroi de cette femme ! Et l’association de « papa momon lé là » ? Trop saturée ???

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