Le directeur de LADOM, Saïd Ahamada, est actuellement à La Réunion pour discuter du futur plan « Retour au pays » avec les acteurs locaux. Ce plan, qui pourrait être lancé en septembre prochain, représente une première pour l’agence et marque un changement d’ADN important. Saïd Ahamada, natif de La Réunion, souhaite aider les Ultramarins installés en métropole à revenir dans leur département d’origine, une initiative inédite dans l’histoire de la République.
Ce projet ambitieux vise à offrir un soutien aux Ultramarins souhaitant retourner dans leur terre d’origine en proposant une aide à la mobilité, à l’installation et un accompagnement pour faciliter leur intégration sociale et économique. Saïd Ahamada insiste sur l’importance de co-construire ce dispositif avec les territoires pour offrir un accueil chaleureux aux personnes souhaitant revenir. Le directeur de LADOM prévoit que le plan « Passeport pour le retour » soit voté durant l’été parisien en vue d’une mise en œuvre dès septembre.
en espérant que le créole sera prioritaire car ce n’est pas le cas bien souvent.
Et parlons de ceux qui reviennent du Canada avec beaucoup de force, d’énergie, du vouloir travailler mais qui se font claquer la porte au nez arrivé à la réunion dans leur recherche d’emploi. Le problème est que lorsqu’on est jeune on part se former et lorsqu’on décide de venir profiter de notre belle île et de retourner y vivre bien on a trop de diplôme, on ne veut pas nous prendre !!!lorsque l’on désire s’ouvrir notre propre structure car le marché du travail est une déception, l’administration est long à n’en plus finir, et qu’on se fait répondre par une administration régionale : « enlève le petard sous out fesse car ici y marche pas comme ça tout y prend du temps madame ». Et lorsqu’on va a France travail on voit un groupe de 6 jeunes employés à être payer en train de parler de ce qu’ils ont fait hier soir, ou de comment telle personne est habillée,de se tourner les pousse à ne rien faire et d’avoir la flemme de se lever pour répondre au demandeur d’emploi qui entrent. Cela nous donne encore un coup de masse car nous on a envie de travailler mais il y a pas d’ouverture et mais que eux ils sont payé pour faire !
On est bloqué de partout, on a qu’une envie c’est de retourner en temps qu’immigrants ailleurs car notre propre pays c’est trop compliqué, compliqué de travailler, d’être payé! Il y a de quoi se demander où on va!