Ce lundi 17 juin, Éricka Bareigts, Maire de Saint-Denis, accompagnée de Guillaume Kichenama, élu délégué à la lutte contre les discriminations, Jean-Max Boyer, élu de La Source, et David Belda, élu de Bellepierre, a inauguré le centre LGBTQIA+ de l’Océan Indien.

Après une première ouverture en 2021, le centre avait été incendié et vandalisé en 2023. La ville de Saint-Denis a rapidement réagi en réhabilitant le centre, affirmant ainsi son soutien indéfectible à toutes les communautés.

Saint-Denis, fidèle à ses valeurs de fraternité, condamne fermement ces actes inhumains perpétrés par une minorité. La municipalité réaffirme son engagement à assurer la sécurité et l’inclusion de tous ses habitants.

Vidéo-Photos Harold Montrat : 

Le centre LGBTQIA+ de Saint-Denis renaît de ses cendres

Un an après sa destruction par les flammes, le centre LGBTQIA+ est rénové et prêt à accueillir de nouveau les associations. A l’occasion de sa réouverture, l’heure était venue de réaffirmer l’engagement de la ville dans sa lutte contre les discriminations.

Inauguré pour la première fois en 2021, le centre LGBTQIA+ a été victime en 2023 d’un incendie volontaire et brutal. Après avoir relogé les associations qui y résidaient, Saint-Denis, ville fraternelle, a mis tout en oeuvre pour reconstruire les locaux. 155
000 euros ont été nécessaires pour rénover le bâtiment. Plus d’un an après, le centre renaît de ses cendres, remis à neuf et
réaménagé pour l’occasion.

En tant que premier et seul centre LGBTQIA+ de l’Océan Indien, cette véritable maison sert à la fois de refuge, de lieu de rencontre et d’accompagnement à l’ensemble des communautés de l’île.

Doté d’un fonds documentaire et accueillant les associations LGBTQIA+ de la ville de Saint-Denis, le centre est une Safe Place
placé sous le signe de l’unité, de la bienveillance, de l’inclusivité et de la fraternité.

Ericka Bareigts, maire de Saint-Denis :

“Aujourd’hui, nous célébrons la réouverture du centre, mais aussi notre résilience et notre détermination. L’incendie et le vandalisme ont été un coup dur, mais nous avons refusé de nous laisser abattre. Nous avons décidé de rebâtir : plus fort.es, et plus uni.es. Ce centre est, non seulement, rouvert, mais surtout prêt à accueillir toutes les personnes qui en ont besoin.”