Envolée des prix des carburants, colère d’une auditrice vivant dans l’Eure(PHOTOS)

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Marie vit dans le département de l’Eure en Normandie, nous a fait parvenir les photos pour exprimer sa colère dans le groupe privé de radio Free Dom.

Le litre d’essence ou de gazole est à plus de 2 euros en Métropole.

« D’ici la fin de la semaine les prix des carburants doivent rebaisser. D’abord parce que les cours du brut s’effondrent là et ensuite parce qu’il a pris une grosse décote aussi parce que l’euro monte face au dollar. Je pense qu’on aura à partir de vendredi une baisse de 14-15 centimes au litre. Ce qu’on pouvait faire c’était de vendre à prix coûtant mais on s’est pris en une semaine 20 centimes de hausse. Le prix moyen doit être entre 2,15 et 2,22 euros le litre. Je trouve qu’il n’y a pas de rationalité sur ce marché. Il y a du stock, il n’y a pas moins de pétrole aujourd’hui, même les Russes vendent encore du gasoil. Il n’y avait pas de raison objective que ça flambe, les marchés spéculent. », assure sur BFMTV, Michel-Edouard Leclerc, le patron des centres E. Leclerc.

2 Commentaires

  1. @Goute le bouton.. À force de raconter des conneries, vous ne serez même plus
    capable de les croire vous-même. Gazole à 5 € + tyrannie sanitaire + épidémie
    bidon + la baguette et le sachet de riz à 50 €… On voit bien que vous travaillez
    pas ou que vous êtes dans une secte, avec gourou « patenté » pour dire cela.

  2. On verra le gazole à 5 euros le litre.
    Quand il fallait se bouger contre la tyrannie sanitaire, il n’y avait personne.
    Ce sont les conséquences de la destruction de l’économie par le covidisme.
    Aujourd’hui, la guerre ukraine-russie a bon dos alors que c’est le résultat de la destruction systématique des économies nationales à cause d’une épidémie bidon.

    Ce n’est que le début. La baguette de pain à 5 euros, ça viendra aussi. Le sachet de riz à 50 également.

    A la Réunion, c’est encore pire. Presque personne n’a manifesté contre la tyrannie sanitaire. Et pourtant, ça fait deux ans que les contestataires alertent sur les conséquences. Aujourd’hui, c’est trop tard pour être en colère. Il ne reste plus qu’une solution : fermer sa grande gueule comme vous l’avez fait pendant deux ans et surtout passer à la caisse.

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