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La Ville de Saint-Denis interpelle la MDPH sur le sort des enfants en situation de handicap

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La Ville de Saint-Denis était en rendez-vous ce matin avec la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH), mettant ainsi en lumière la situation critique des enfants en situation de handicap dans les écoles dyonisiennes.

Madame la maire avait réclamé depuis un certain temps cette réunion pour évaluer la situation à Saint-Denis, caractérisée par des délais administratifs trop longs, allant jusqu’à 18 mois pour obtenir une place adaptée. Certains enfants se retrouvent même livrés à eux-mêmes dans les écoles, sans le soutien nécessaire, ce qui engendre une souffrance tant pour eux que pour leurs enseignants.

Ericka Bareigts avait sollicité cette rencontre dans l’espoir de trouver des solutions concrètes pour mieux accompagner les parents. Cependant, les résultats de cette réunion semblent avoir été décevants :

Il est rappelé que la mission de la MDPH est d’accueillir les personnes en situation de handicap et leurs familles, de les écouter et de les accompagner dans la formulation de leur projet de vie ainsi que dans leur demande de compensation du handicap. Pourtant, selon l’expérience de Karine Robert, une mère de deux enfants en situation de handicap, les démarches administratives restent ardues, avec trop de prestataires impliqués :

Malgré les difficultés, la maire reste déterminée à défendre le sort de ces familles vulnérables. Elle insiste sur la nécessité d’une collaboration entre la MDPH et le rectorat, ainsi que sur la mobilisation des familles et des partenaires sociaux.

En réponse à ces préoccupations, le directeur de la MDPH, Déva Radakichenin, a tenu à déclarer :



1 Commentaire

  1. la mdph i do ne k les notification et ils mettent koi en place exactement en mode pédagogique ou les outils de travail c’est malheureux et pou le transport un aller et un retour et si les ils ont cours 2h temp pui ils sont les transport ne viennent pa les prendre à revoir leur mode de notre les zenfants réunionaïs souffre et il disent k ils fon des chose pour la réussite de ces jeunes i fo revoir leur méthode quand il tel azot c’est un combat du combattan

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