L’information officielle est formulée de la façon suivante via un arrêté du cabinet du ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargé des outre-mer. Article 1er : « il est mis fin à compter du 4 février 2023, aux fonctions de conseiller spécial exercées par Maxime Dubois ». Article 2 : « Le présent arrêté sera publié au Journal Officiel de la République Française ». Ça c’est pour le côté officiel, c’est-à-dire la version politiquement correct, histoire de sortir par la grande porte.
Mais la réalité est toute autre. En fait, Maxime Dubois, que tout le monde appelle Max (comme la chanson, « il est libre Max » – c’est d’ailleurs le cas à présent) s’est fait virer. Il a été « dégagé », après 7 mois d’exercice, du cabinet ministériel par les producteurs de sucre et de bananes antillais qui en avaient ras-le-bol de se faire « bananer » ou « casser du sucre » sur le dos par ce conseiller spécial du ministre des Outre-mer. Lequel Dubois, avant d’être nommé en juillet 2022 par son copain Jean-François Carenco, exerçait comme consultant, lobbyiste et patron d’une boîte de consulting. En clair, selon de nombreuses sources, il avait bossé (ou bossait encore indirectement) pour des chefs d’entreprise des régions ultramarines alors qu’il était censé être d’une neutralité exemplaire vis-à-vis de tous les acteurs économiques ultramarins.
Nombreux sont ceux en effet, notamment des grands patrons antillais, qui lui reprochaient un rôle pas toujours très « neutre » dans le cadre de ses fonctions au cabinet ministériel. Ces derniers avaient, à de multiples reprises, attiré l’attention du ministre sur cette ambiguïté. Pas plus tard qu’en janvier dernier, les producteurs de bananes de la Martinique ont écrit noir sur blanc ce qu’ils avaient sur le cœur. Il faut dire en effet qu’ils en avaient gros sur la patate. Voir courrier ci-dessous qu’ils ont adressé au ministre délégué Carenco; Courrier de trois pages que nous avons pu nous procurer et qui prouve bien que Max Dubois, ce conseiller dont je vous en avais parlé dans un de mes « Ti Kozman » (éditos), fin de l’année dernier, a bel et bien été « dégagé » du cabinet ministériel. Les sucriers et producteurs de bananes antillais lui ont « coupé » la tête. Jean-François Carenco ne pouvait plus rien pour protéger son camarade.
camarade didier robert, encore un tordu qui marche avec un tordu mdr
au moin les antillais ont les c……. de se faire entrendre c’est pas comme le creole qui fait du bruit et dès que y hausse le ton y cour dans la kaz pou cachete.
A ou aussi i fait la promotion bande zantillais ??? Bello sort de ce corps !!!
Aux Antilles , c’est nous les « gros blanc » qui commandent. Voilà encre un exemple .
« Il est libre Max »!