Ville d’hyper-proximité, Saint-Denis met en place des actions de verdissement sur ces différents secteurs en adéquation avec les problématiques environnementales actuelles dont fait partie la sécheresse.
Parmi ces actions, l’enlèvement de palmiers royaux sur le boulevard sud au profit de la plantation d’espèces végétales adaptées au territoire ou encore la plantation de nombreux arbres avec le dispositif « Une naissance, un arbre ».
Après un premier enlèvement le mois dernier, 23 nouveaux palmiers royaux vont être retirés pour laisser place à 16 palmiers madagascariensis.
L’opération aura lieu sur le boulevard sud de l’espace Candin jusqu’à la rue Marcel Pagnol
De 20h30 à 5h du matin, le jeudi 23 novembre
Boulevard Sud à St-Denis : retrait des palmiers royaux malades du 27 octobre
En tant que cité fortement orientée vers la proximité, Saint-Denis déploie des initiatives de reverdissement dans ses divers quartiers, en réponse aux préoccupations environnementales actuelles, notamment la question de la sécheresse. Ces mesures incluent le remplacement de palmiers royaux par des espèces végétales mieux adaptées à la région le long du boulevard sud, ainsi que la plantation d’un grand nombre d’arbres dans le cadre du programme « Une naissance, un arbre ».
RETRAIT DE PALMIERS ROYAUX MALADES SUR LE BOULEVARD SUD
Écologie, environnement et biodiversité sont autant de sujets qui se doivent d’être pris en compte par les politiques publiques. Elles se doivent de faire face aux mutations urbaines et aux enjeux environnementaux.
C’est pourquoi la ville de Saint-Denis poursuit sa transformation vers une ville verte et durable.
Suite à un diagnostic environnemental, des experts ont repéré 60 palmiers royaux malades et fragilisés sur différentes portions du boulevard sud. La Ville a donc pris la décision de retirer ces végétaux. Ces arbres sont
malades et ne sont pas adaptés à un axe de circulation. En effet, au-delà d’être extrêmement lourds, ces derniers peuvent atteindre les 15 mètres de hauteur et peuvent faire des dégâts en cas de chute. Les palmiers royaux sont également très demandeurs en eau.
Mais la Ville ne fait pas qu’enlever ces arbres malades. Afin de continuer sa politique de verdissement, Saint-Denis replante dans le même temps des arbres beaucoup plus adaptés. Il s’agit des palmiers madagascariensis. Malgré une croissance rapide, ces derniers ne montent pas plus haut qu’1,60m. Ils sont également moins demandeurs en eau et donc plus écologiques. En effet, l’eau est une ressource précieuse.
L’enlèvement sera réalisé en 3 phases donc 3 nuits (octobre 2023 / novembre 2023 / janvier 2024) de 20h00 à 05h00, afin d’’impacter le moins possible la circulation. 20 premiers palmiers royaux ont été retirés ce jeudi 26 octobre et 30 palmiers madagascariensis ont d’ores et déjà été replantés, mesurant déjà 1,20m. Chaque arbre sera ensuite remplacé par la plantation d’une autre espèce.
Saint-Denis est engagée dans un tournant écologique pour faire du chef-lieu un territoire plus apaisé, plus vert et plus respirable. Au-delà de cette action avec les palmiers, la Ville a également mis en place diverses opérations, comme « Une naissance, un arbre », ou encore la forêt urbaine du front de mer dionysien. À terme, ce sont plusieurs milliers d’arbres qui naitront sur notre territoire.
Ces âlmiers son tjustes magnifiques. La Maire est devenue folle. Un palmier de cette taille n’a pas de prix et elle elle les coupe pour des conneries. Elle aurait pu attendre ou en planter d’autres.
Ces âlmiers son tjustes magnifiques. La Maire est devenue f…. Un palmier de cette taille n’a pas de prix et elle elle les coupe pour des co….ries. Elle aurait pu attendre ou en planter d’autres.
Marie Joseph. Jamais ces petits palmiers la moque plantés vont rivaliser avec la majesté des palmiers qu’elle découpe dans scrupule. Quelqu’un qui aime la nature ne ferait jamais ça.
Si vous voulez rendre un endroit moche, n’hésitez pas à envoyer une demande à Ericka BAREIGTS. C’est laid laid laid ce qu’elle nous pond là. En est-elle consciente ???
Zot i prefer i tombe sur zot loto ! I di lé malade ! Tant ki replante le zaffair lé bon !
Bravo Mme la maire !
Zot i lire un peu le reportage avant commente n’importe kwé ter la ? L’a dit le bande palmier lé MALADE , i pourri sur place et n’a un risque tombe si loto !!
Donc HEUREUSEMENT BAREIGTS i prend les devants et y enlève band zarbre pourris et sec sur place pou rien
Créole te lire avant déverse zot haine ter la, zot i passe pou band inutile
et surtout on ne dit pas qui a pris les choux . dans le reportage Antenne il y a eu une élue de la mairie , on ne sait pas ce qu on a fait avec.
Lors de la création du Boulevard Sud, à laquelle j’ai participé en tant qu’entreprise de travaux, toutes les études été faites par des bureaux d’études de métropole, y compris les études paysagistes ou de plantations.
Il existe dans les BET paysagistes des catalogues de végétaux « pour zone tropicale » indifférenciés, comme si tous les végétaux qui y sont indiqués étaient adaptés à chaque emplacement.
Lors de réunions de chantier, il a été évoqué à plusieurs reprises l’inadaptation des plantations au contexte d’un boulevard urbain, pas seulement les palmiers royaux dont les « zempones » de plus de 10kg tombent régulièrement de plus de 10m de haut sur le terre plein central ou la chaussée s’il y a du vent, mais également les badamiers de chine plantés dans l’espace séparant la chaussée du trottoir qui perdent leurs feuilles et leurs fruits sur la chaussée et le trottoir rendant la circulation dangereuse pour les véhicules et les piétons.
La mairie de l’époque, dirigée par Gilbert Annette s’est totalement opposée au remplacement de ces plantations dangereuses par des plantation locales, il ne fallait surtout pas remettre en cause ce qui avait été décidé à Paris par des BET qui finançaient le Parti Socialiste. Il y a même eu des menaces de mort proférées aux entrepreneurs et au maître d’œuvre (la DDE) qui avaient l’outrecuidance de proposer des changements pour mettre des solutions plus adaptées.
L’actuelle destruction de ce qui a été réalisé n’est que la suite logique de cette incohérence des années 1995.
Quand à la justification par la quantité d’eau nécessaire à ces végétaux, elle ne tiens pas, les palmiers royaux ne sont pas irrigués mais arrosés par la pluie abondante à la Réunion et de toute façon le besoin en eau d’un arbre est proportionnel à son, volume, c’est a dire qu’il faudra planter 30 ou 40 autres variétés de palmiers pour obtenir le même volume qu’un palmier royal, et ça, ca ne se fera pas, on vas donc diminuer le volume de végétaux en zone urbaine.