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Reportage de Charles Luylier : attaque à main armée dans un salon de coiffure

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Incroyable à La Plaine St-Paul, une commerçante vient de nous informer qu’un jeune individu, le visage dissimulé derrière une cagoule, vient tout juste de braquer son salon de coiffure. Le malfaiteur a exigé la caisse, mais n’ayant pas réussi à l’obtenir, il a finalement dérobé le sac à main d’une cliente avant de s’enfuir à bord d’une Seat Ibiza blanche, apparemment armé d’une arme qu’elle soupçonne d’être factice.

Écoutez les propos de la victime dans ce Podcast :

Charles Luylier s’est rendu sur place, voici son reportage : 

©Charles Luylier

10 Commentaires

  1. La nouvelle génération n’accepte plus ces tuteurs corrompus mauvais exemple de votre part il faut que vous prenez conscience sinon c’est un chaudron qui vous attend . On vit sur une île où le micro Sous toutes ses formes est omnipresent .continuez votre pari de poker voleur .

  2. Ha ha je ris quand j entend la patronne du salon elle a pas eu peur après à la fin elle a eu peur, si elle s’écoute de nouveau elle va paraître comme un vrai conne, ôté n’a des gens ridicule oui après elle s’en fout la pas prit son sac si l’avait pris sa caisse elle aurait été comme une furie

  3. Ha ha je ris quand j entend la patronne du salon elle a pas eu peur après à la fin elle a eu peur, si elle s’écoute de nouveau elle va paraître comme un vrai conne, ôté n’a des gens ridicule oui après elle s’en fout la pas prit son sac si l’avait pris sa caisse elle aurait été comme une furie

  4. Ha ha je ris quand j entend la patronne du salon elle a pas eu peur après à la fin elle a eu peur, si elle s’écoute de nouveau elle va paraître comme un vrai conne, ôté n’a des gens ridicule oui après elle s’en fout la pas prit son sac si l’avait pris sa caisse elle aurait été comme une furie

    • Au contraire sa réaction est d’autant plus crédible lorsque l’on connaît les réactions à un stress aigu. En effet, il arrive souvent que les personnes face à une situation de grand danger se dissocie. En gros, c’est un peu comme si le cerveau disjonctait tellement c’est insupportable. C’est poir cela que très souvent, cela s’observe des personnes qui, après avoir frôlé la mort, parle de l’événement de façon hyper détachée, neutre. Comme si cela ne les avait pas affecté. Alors qu’au final c’est un signe de plus grand risque de développer un trouble de type trouble de stress post-traumatique par la suite.

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