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Bello-Bareigts : après la guerre des cheffes, l’amour lé doux !

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Laissons un instant de côté nos guéguerres politiciennes et autres querelles de chapelles, pour parler de guerre ou plutôt de ces actes de sauvagerie perpétrés, le samedi 7 octobre dernier, par le Hamas contre des civils israéliens innocents. La guerre n’est pas le bon mot en effet car, qui dit guerre, dit bataille entre deux armées, entre des militaires. Or, là il s’agit d’actes barbares, d’une violence qui dépasse l’entendement ; Des femmes et des enfants égorgés, des familles entières sans défense massacrées par des terroristes fanatiques. Personne ne peut justifier de pareilles tueries.

Quant au fond de ce conflit historique israélo-palestinien qui perdure, c’est un autre débat, très complexe. Tant qu’Israël ne daignera pas encourager à la création d’un véritable état palestinien tout en reconnaissant officiellement ce peuple, conformément à l’engagement qu’il a pris sous l’égide de l’ONU, ce conflit n’aura pas d’autre issue que de s’éterniser. Je ne suis pas un spécialiste de la question, mais je n’ai pas l’impression que l’actuel Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, qui s’est fait élire avec l’aide des colons, des partis d’extrême droite et ultraorthodoxes anti-palestiniens, se soit inscrit dans un processus de recherche de paix et de reconnaissance du peuple palestinien.

En clair, ce sont deux pays qui se battent jusqu’au sang pour un bout de terre. L’Etat d’Israël estime que c’est à lui, que ça lui appartient qu’il a le droit de le grignoter comme un fromage et que les Palestiniens doivent dégager. Et la communauté internationale a tendance à applaudir des deux mains la posture d’Israël. Personne, depuis bientôt 75 ans, n’a pu trouver une solution à ce conflit. Voilà où ils en sont : s’entretuer pour un bout de terre.

Cette même terre dans laquelle nous serons enterrés, 6 pieds plus bas, une fois que nous aurons achevé notre passage… terrestre. Au cas où cela vous aurait échappé, personne n’est éternel. Nous sommes de passage. Personne ne pourra emmener dans son cercueil un morceau de cette terre, à l’origine de combats mondiaux et familiaux. Il y a en effet des états qui se font la guerre pour des terrains, mais il y a aussi des familles partout ailleurs, et évidemment ici chez nous, des frères et sœurs qui se fâchent, se font du mal, s’étripent, s’entredéchirent pour des questions d’héritage. Le monde est fou !

Souffrance et maltraitance au travail : une avalanche de messages

On passe à un tout autre sujet à présent. je vous avais longuement relaté dans le précédent « Ti Kozman », intitulé « Souffrance et maltraitance au travail… », le « malaise » qui subsiste manifestement au sein du Département au niveau notamment d’une partie du personnel, plus précisément au pôle social. Mais depuis la publication de mes écrits, vendredi dernier, vous ne pouvez pas imaginer le nombre d’appels, de SMS, de sollicitations sur Messenger que j’ai reçus de la part des agents du Département se disant « en souffrance », en arrêt pour beaucoup d’entre eux ou encore en contentieux (devant le tribunal administratif) suite à des problèmes avec leur hiérarchie ; Des chefs et cheffes qui s’adressent à eux, à elles, comme s’ils/elles étaient des animaux, sans aucun respect de l’être humain.

D’après mes infos, ce malaise ne concernerait pas uniquement le pôle social mais bien d’autres services de la collectivité départementale, y compris celui de la communication où les agents ont été récemment entendus dans le cadre d’un audit. Cela dit, entendons-nous bien, je ne suis pas en train de vous dire que rien ne va plus au Département qui, faut-il le rappeler, emploie tout de même plus de 5000 personnes. Je ne suis pas non plus en train de vous dire que dans toutes les autres collectivités ou sociétés privées tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Loin de là !

Je ne suis pas dupe à ce point. Mais je pense, à mon humble avis, que toutes ces alertes émanant des agents, et là je reviens au Département, devraient quand même être prises très au sérieux par le service de RH (Ressources humaines) ou encore par la direction générale, par le cabinet et par la médecine du Travail. Pour revenir à l’ASE (Action sociale à l’enfance) de l’Est (Saint-Benoit), je devais, paraît-il, suite à mon « Ti Kozman » de vendredi dernier, recevoir un droit de réponse de la part du responsable hiérarchique visé par un groupe d’agents « en souffrance », mais comme sœur Anne, j’attends toujours et je ne vois rien venir. Le droit de réponse n’est jamais arrivé. Arrivera-t-il un jour ?

Fermeture de la cuisine centrale, intoxication alimentaire… des parents d’élèves vont déposer une plainte contre le maire… qui cherche un bouc émissaire « au plus haut niveau »

Je vous l’ai dit, je ne suis pas dupe. Tout n’est pas rose non plus dans les autres collectivités. Je vous en cite une, au hasard : Sainte-Marie. Le maire et la direction générale des services ne le savent peut-être pas encore, mais un groupe de parents d’élèves va bientôt déposer plainte auprès de la Procureure de la République contre la municipalité pour « négligences, mise en danger de la vie d’autrui, maltraitance… ». La plainte est actuellement en préparation dans un cabinet d’avocats. Cela, suite aux cas d’intoxication alimentaire survenus à l’école de Duparc, la semaine dernière. Sans compter l’arrêté préfectoral, le 3 octobre dernier, qui ordonnait la fermeture administrative de la cuisine centrale de Beauséjour. Depuis, c’est l’affolement dans le camp du maire et de la direction générale.

A la télé, je ne vous cache pas que ça m’a fait rigoler, le maire Richard Nirlo n’a cessé de marteler qu’il allait chercher le responsable de ce fiasco « au plus haut niveau ». Sous-entendu « au plus haut niveau » de la mairie.

J’ai réfléchi un instant et, selon moi, « au plus haut niveau » d’une mairie il y a, politiquement, le maire et, administrativement, le DGS. Je ne vois pas qui serait « au plus haut niveau » à l’échelle de l’organisation municipale ! Mais connaissant un peu les deux bonhommes, à savoir le maire et son DGS, je sais qu’ils se sont auto-dédouanés et qu’ils cherchent un bouc émissaire, un coupable, quelqu’un ou quelqu’une qu’ils vont jeter à la vindicte populaire pour se laver les mains.

D’après les infos que j’ai pu glaner ici et là au sein de la mairie, auprès de certains employés, mon petit doigt me dit que le maire et son DGS ne vont pas tarder à tomber comme un seul homme sur la DGA aux Services à la population. Pour la petite histoire, il faut savoir que l’arrêté préfectoral annonçant la fermeture administrative de la cuisine centrale est arrivé le mardi 3 octobre. Le mercredi 4 octobre, la décision est prise en mairie de faire appel à une société privée, « Régal des îles » pour ne pas la nommer, pour la livraison de 4 500 repas aux scolaires des écoles élémentaires et maternelles de la commune le jeudi 5 et le vendredi 6 octobre. Repas étant un bien grand mot.

Cette décision est donc prise le mercredi 4 octobre par le DGS qui informe le maire. A noter que ce jour là, la DGA aux services à la population est absente et qu’elle n’a été ni associée ni informée de ladite décision prise « au plus haut niveau » pour reprendre l’expression du maire après le bèsement. Le bèsement en question, c’est que des cas d’intoxication alimentaire surviennent le jeudi 5 octobre dans certaines écoles de la ville dont celle de Duparc. En pétard, les parents déboulent le vendredi 6 octobre, à la mairie. Ils vont voir le DGS et le maire qui, courage fuyons, les orientent vers le bureau de la DGA. Laquelle, au passage, se prend un « totochement » verbal de la part des parents en colère. Les gendarmes ont dû intervenir dans la cour de la mairie.

Pour rappel, concernant cette affaire de cuisine centrale, les services de l’Etat avaient adressé une lettre de mise en demeure à la mairie depuis le 23 avril dernier. Une lettre qui bizarrement disparu. Mieux encore, un audit avait été réalisé en mai 2021 à la connaissance du maire. La DGA n’avait pas encore été nommée à ce poste en 2021. Des signalements relatifs à l’état de dégradation de la cuisine centrale avaient également été faits depuis 2019 (sous l’ancienne municipalité). Enfin, notons que la Chambre régionale des comptes (CRC) avait, dans son rapport daté de mars 2023, relevé plusieurs irrégularités au niveau de la cuisine centrale de Sainte-Marie. Il n’y a pas de doute, le « plus haut niveau » était parfaitement conscient du problème mais n’a pas réagi. Aujourd’hui, pour sauver leur peau, le maire et son DGS doivent trouver un fusible. La technique est bien connue : pour pas que ça monte trop haut, on fait péter plus bas et on coupe le circuit.

Il leur faudra toutefois trouver des preuves tangibles à fournir devant le CDG (Centre de gestion) s’ils veulent couper la tête à la DGS aux services à la population. Tout cela pour vous dire qu’à la mairie de Sainte-Marie, ça touche le fond, mais ils continuent de fouiller. A cette cadence, ils vont finir par trouver de l’eau, qu’ils pourront envoyer à Mayotte ! Le conseil municipal de ce soir, vendredi 13 octobre, risque d’être animé. Le directeur de cabinet Pascal Renaudière de Vaux est arrêt maladie depuis 3 mois. Quant au collaborateur de cabinet Eddy Bardeur, il n’a plus de tâche précise. Tout passe par le DGS qui, depuis la divulgation de l’affaire de la vraie-fausse signature d’une lettre de démission d’une élue, a pris la décision de « border » Dominique B. l’employé du service courrier. Lequel s’est mis en arrêt. C’est le secrétariat du DGS qui gère à présent le courrier. La ligne de défense du DGS et du maire dans tout ce bèsement touchant la cuisine centrale : « on était pas au courant ». Ben voyons !

Florilèges : certains forains pas contents des placiers; Le maire rentre dans le bal

Je n’avais pas eu l’occasion de le faire jusqu’ici et je m’en excuse auprès de lui. Je veux parler de Paul Junot, ce syndicaliste de la CFTC qui s’est toujours battu pour les autres et qui a besoin aujourd’hui de notre aide car visé « injustement » par un licenciement « plus que douteux » par son employeur la BNP-Paribas qui veut le faire taire, comme l’ont relevé en début de semaine lors d’une conférence de presse de soutien ses autres camarades syndicalistes parmi lesquels Pascal Valiamin de Solidaires Finances Publiques 974. « Un licenciement pour des motifs fallacieux », dénoncent le syndicat ainsi que toutes les autres personnes de la société civile, des ex salariés de l’ARAST qui avaient fait le déplacement à Saint-Denis pour soutenir « cet homme d’honneur » qu’est Paul Junot, lanceur d’alerte au sein de sa boîte.

Paul Junot (chemise verte) entouré de ses camarades syndicalistes et en compagnie de Salim Moussajee.

D’où la procédure de licenciement engagée que sa hiérarchie a engagée contre cet homme qui, pourtant, au-delà du fait de dénoncer des injustices et de dire la vérité, n’a jamais fait de mal à personne, même pas à une mouche. « Nous devons tous soutenir ce combat d’intérêt général et nous devons tous nous insurger contre les abus du monde de la finance », écrit pour sa part Salim Moussajee qui a été victime de ces « abus de la finance ». De tout cœur avec toi Paul ! Une affaire à suivre…

Après Saint-Denis, un petit tour au Tampon, pour vous parler des Florilèges, cette belle fête qui démarre ce vendredi et pour laquelle le maire en personne a dû intervenir pour calmer des forains en colère contre les placiers qui, selon eux, donnaient dans le favoritisme en échange de « graissage de pattes », si vous voyez ce que je veux dire. En clair, contre petits cadeaux en dessous de table, des forains obtenaient plusieurs places au détriment d’autres forains. Lesquels, en début de semaine, ont vidé leur sac lors d’une réunion voulue par le maire André Thien-Ah-Koon qui a su gérer le problème, mais qui a encouragé malgré tout les forains mécontents à déposer plainte s’ils détenaient les preuves de ce qu’ils avancent concernant les placiers. Au cas contraire, ce sera considéré comme de simples ragots !

Je profite de l’occasion pour vous rappeler cette grogne des petits patrons de PME-PMI, artisans, commerçants, agriculteurs, auto-entrepreneurs ou encore professionnels libéraux. Lesquels sont en colère non pas contre le maire du Tampon mais contre « les mesures gouvernementales qui mettent en péril les petites entreprises et favorisent les plus grandes ». Le CSAPR appelle toutes ces professions citées ci-dessus à une manifestation devant la préfecture ce mercredi 18 octobre à partir de 8 heures. Le CSAPR qui interpelle le gouvernement et, plus précisément, le ministre de l’Outre-mer Philippe Vigier, en leur demandant « l’arrêt immédiat des poursuites, l’effacement de toutes les dettes, la refonte du mode de calcul des cotisations SSI (RSI), CARPIMKO, CIPAV, CGSS ». Ajoutez à cela que les transporteurs également sont en colère et ont, pour leur, part interpellé le préfet de la Réunion face à l’augmentation du prix des carburants. L’été réunionnais sera chaud !

Dans le même registre, celui de la revendication, à noter aujourd’hui, vendredi 13, journée de grève prévue en France et dans ses régions ultramarines, y compris bien entendu à la Réunion. Une nouvelle grève à l’appel de l’intersyndicale pour protester « contre l’austérité » et pour manifester « pour l’augmentation des salaires et l’égalité femmes-hommes ». Quelques perturbations sont attendues localement au sein des services publics (cantines, crèches…), mais sans plus !

Photo d’archives. Pas de bises vendredi dernier 6 octobre. Mme Bello était grippée.

J’en arrive maintenant au titre de ce « Ti Kozman ». Comme je vous l’avais déjà annoncé, en dépit de la guéguerre que se s’étaient livrés les deux camps, celui de Bello et celui de Bareigts, durant la campagne électorale des sénatoriales, les deux cheffes de la gauche locale ne se sont pas pour autant crêpées le chignon après ce scrutin. Je précise que les attaques émanaient notamment du camp d’Huguette Bello via notamment son 1er vice-président Patrick Lebreton, sur le ton de la plaisanterie. Rappelez-vous « la vraie gauche, c’est nous », avait dit Mme Bello. Rappelez-vous encore du fameux « axe Bareigts-Fontaine » qu’avait sorti Lebreton. Les résultats sont là : une sénatrice pour chaque camp. Ericka Bareigts a réussi son pari. Les deux cheffes se sont retrouvées pour la première fois depuis les séantoriales vendredi dernier, 6 octobre, lors de la commission permanente de la Région. Pas de bises car Mme Bello était grippée. Elles ont « checké » tout en se faisant des sourires tranche de papayes. Patrick Lebreton, qui arrivait le matin même de Paris, n’a pas assisté à la commission permanente. L’ambiance était très bon enfant. La guéguerre des sénatoriales ? Oubliée ! Les petites piques de la campagne électorale ? Aux vestiaires ! C’était vraiment l’ambiance l’amour lé doux entre les deux leaders féminins de la gauche locale. Tous les dossiers figurant à l’ordre du jour sont passés comme une lettre à la Poste. C’est pas beau ça ? Prochain rendez-vous : les orientations budgétaires de la Région le 3 novembre prochain. Faites l’amour, pas la guerre !

Une transition toute trouvée pour vous parler d’amour en vous rappelant que l’ordination épiscopale du nouvel évêque de la Réunion, Pascal Chane Teng, aura lieu ce dimanche 15 octobre sur l’esplanade de l’église du Chaudron à Saint-Denis où des milliers de fidèles sont attendus. Et n’oubliez pas que ce dimanche, exceptionnellement, il n’y aura pas de marché forain au Chaudron. Sur ce, je vous souhaite de passer une bonne semaine en vous donnant rendez-vous non pas à vendredi prochain, le 20 octobre, mais au vendredi suivant, le 27. Bonnes vacances aux élèves et aux enseignants !

Y.M.

([email protected])

 

 

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

23 Commentaires

  1. Méfiez- vous de Lebreton . Comme l’autre un peu plus loin à l’est , aucune envergure politique au delà de leurs communes respectifs . Il est aussi sournois . Faire très attention à cette homme qui croit être au dessus de tous.

  2. Sylvie Billaud l’élue toujours à la manœuvre ! Mais quelle tristesse. Absente plus de 3 mois juin juillet août pour une élue déléguée au scolaire ça fait tache ! Madame l’élue nous ne sommes pas vos élèves, changez de ton pour commencer. Vivement 2026 pour passer à autre chose. Passez mes salutations à monsieur Lagourgue au passage. Pauvre Nirlo

  3. Billaud encore et encore élue depuis presque 30 ans et elle a le don de toujours « découvrir » les choses. Laissez moi rire, assumez donc madame, arrêtez de prendre les parents pour vos élèves. J’ai l’ai croisé récemment au RH en mairie, je n’en dis pas plus pour le moment.

  4. J’espère que la plainte contre ma mairie et le maire pour mise en danger de la vie d’autrui vise personnellement Billaud et surtout Jatob et Le chat respectivement médecin et pharmacien qui ont vu la dégradation de la cuisine centrale de Sainte Marie, qui connaissent le problème et ont laissé faire.

  5. DRH du département : Afzal patel : pas celui qui disait amen à tous ce que corine beaulieu SERY Peyron robert et Mickaël legros ( SOFÈR à 5000€ net mensuel + multiples avantages) lui demandaient d’exécuter. celui la même qui aujourd’hui salit robert en disant ce n’est pas moi au Enqueteur!
    le département a récupéré le pire des pires , comment voulez vous que ce mec imbus de sa « petite »personne reçoive un agent en souffrance. à la region il évitait de recevoir les agents et si une personne était reçue, il l’humiliait. un affair pou di à ou gars: ou sa payer , bondié va okip out cas et ou va rampes 4 pattes pou sek ou la fé – mi prie pou ou lundi à dimanche, bondié i dort pas pou domoune comme où

  6. Monsieur yves ou la bien dit famille il déchire pour l’argent , l’argent i vole, mais i prospere pas , bondié i ramasse zot marmailles l’accident, i crève si la route , i finit mal ek la maladie, paralysée. ou croit i vo la peine! pouvoir, l’argent i dure pas! en Israël i montre à ou l’exemple koi zarabe i vo: i tuer pou un bout la terre! après tout tuer toute , le monde entier rigole de leur spectacle de cadavres et observe de loin.

  7. Je m’étonne que le conflit interne de la NUPES à Paris n’engage pas de commentaires à la Réunion ? Nos députés LFI, fièrement élus n’ont t’ils rien à dire sur ce qui se passe entre chefs de la NUPES à propos des tweets de JL Melenchon et du discours de Mathilde Panot sur la guerre Israelo-Hamas ? pourtant d’actualité brulante !!
    Si prompt à dégainer un communiqué sur tout et rien (pourvu que cela fasse le buzz) le député de l’Est est muet. Ce problème le dépasse surement intellectuellement … Et l’autre guitariste au chignon … pas le niveau pour commenter ? ou prendre position. Lui qui pourtant a un avis sur tout. Je termine par le Gaillard (dans les deux sens) nana rien pou di ? En fait une implosion de la NUPES risque de menacer leur politique locale. Déjà vide …

  8. Votre niveau de commentaire dans la 1ère partie de votre paragraphe 4 m’a déçu, par rapport à votre intelligence.
    Quel rapport avec la réalité du terrain?
    Pourquoi se soucier d’un bout de terre sous terre si on n’a pas une vie sur cette terre, ce qui est la réalité des Palestiniens.

  9. La cuisine centrale de Ste Marie est pourtant récente et la toute dernière de l’île a avoir été mise en fonction. Pourquoi un tel dysfonctionnement et quels sont les reproches des services sanitaires de l’Etat pour un bâtiment neuf ? C’est une gabegie financière ! Et surtout un manque de management sur le fonctionnement de l’équipement. La commune doit a tout pris changer d’équipe et d’organisation politique et administrative pour relever la barre.

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