L’humoriste Tahnee à La Réunion pour une stand-up engagé anti-racisme et anti-LGBTphobies

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Dans un élan de rire et de réflexion, Tahnee, comédienne et humoriste reconnue pour sa verve et son engagement, montera sur la scène du Chat Blanc à Saint-Denis ce dimanche 25 février pour une soirée de stand-up unique en son genre.
À travers un spectacle festif, Tahnee s’attaque avec humour et légèreté à des sujets d’importance tels que le racisme, les LGBTphobies, et l’écologie. Elle nous invite à redécouvrir le monde qui nous entoure, à questionner nos préjugés et à célébrer la diversité sous toutes ses formes.

Tahnee ne se contente pas de faire rire. Elle utilise son humour comme un outil de dialogue et de sensibilisation, invitant son public à rediscuter de tout, à adopter un regard neuf et décalé sur notre société contemporaine. Un monde riche de diversités culturelles, de genres, de sexualités !

4 Commentaires

  1. La dysphorie de genre est toujours une maladie mentale bien qu’ils essaient de le cacher en la supprimant dans le nouveau DSM(Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) .

    Au lieu de traiter ces personnes dans des instituts spécialisés, ils les envoient dans les écoles pour éduquer les enfants. 

  2. Si la mairesse de Saint Denis aimait vraiment la communauté LG…. elle n’en ferai pas l’éloge. Car la dysphorie de genre est un problème mental et de plus ces personnes vont imposé leurs mal être dans les écoles. La maire de Saint Denis qui s’écoute parler et se croit doué d’intelligence et de sagesse quand elle raconte ses stupidités aux médias met beaucoup d’efforts et de moyens pour détruire la Réunion et les Créoles qu’elle n’aime pas.

  3. « PAS DE SEXUALISATION DES ENFANTS ET PAS D’ÉDUCATION SEXUELLE AVANT LA PUBERTÉ !
    Les controverses inutiles autour du terme de « sexualité infantile » n’ont pas lieu d’être et sèment la division.

    Ce que les psychanalystes, psychologues de l’enfance et pédopsys entendent par cette expression est qu’il existe une construction antérieure à la puberté, qui passe par l’imaginaire et la sensorialité, autour de ce que sera plus tard la sexualité.

    Les contes de fées par exemple ne parlent que la rencontre amoureuse entre un jeune homme (le prince) et une jeune femme (la princesse) mais s’arrêtent précisément avant le seuil de la chambre à coucher .

    Ce qu’il s’y passe doit rester un mystère et à vrai dire n’intéresse pas les enfants ! 
    Toute intrusion de la sexualité des adultes et des représentations de cette sexualité ne peuvent bien sûr qu’être lourdement traumatisantes. 

    Les controverses, basées sur une confusion dans les termes, sapent toutefois l’unité alors que tout le monde est d’accord sur l’essentiel : 

    ON FOUT LA PAIX AUX ENFANTS, 
    Ils se construisent tout seuls avec les bonnes nourritures (contes et récits, imaginaire, activités physiques, sensorielles, artistiques et scolaires) avec une curiosité qu’il faut les laisser vivre à leur manière, sans aucune intrusion d’aucune sorte.

    L’éducation sexuelle n’a de pertinence qu’à l’approche de la puberté uniquement parce que c’est à partir de cet âge de la vie que la sexualité active commence !

    Les programmes promus par l’OMS, inspirés de travaux pseudo-scientifiques d’origine pédocriminelle, doivent être interdits pour le salut de nos enfants ! »

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