Lors de la récente séance plénière du Département, un sujet a été abordé avec sérieux et préoccupation : la violence qui sévit actuellement dans notre île. Cette motion a soulevé des questions essentielles sur les racines humaines de ce problème social et a appelé à des mesures immédiates pour y remédier.
Le constat est clair : le climat actuel est empreint d’anxiété, exacerbant un phénomène déjà préoccupant. Les exemples de l’Est touchés par une violence inquiétante soulignent l’urgence de l’action. Monique Orphé a souligné la nécessité d’une mobilisation collective des 24 communes réunionnaises pour adresser ce fléau, en impliquant également l’État.
Les défis sont multiples. Les services ont alerté sur le manque de moyens pour accueillir les familles en provenance de zones affectées par la violence. Monique Orphé a particulièrement insisté sur la nécessité d’une politique de logement plus inclusive, soulignant les risques de concentration des familles dans des zones déjà tendues.
Langelier a mis en lumière le mal-être profond qui sévit chez une partie de la jeunesse, soulignant l’importance de la prévention et de la formation, notamment par l’intervention de l’IRTS. Il a également plaidé pour une approche concertée avec les jeunes afin de comprendre leurs problématiques.
Bruno Robert a renforcé l’importance de ne pas minimiser le problème, mettant en lumière des aspects moins visibles tels que le crime organisé et la prostitution. Il a exhorté à des actions immédiates et à des sanctions appropriées, tout en reconnaissant les défis liés à la prise en charge des mineurs délinquants.
La sénatrice Nassimah Dindar a souligné l’importance d’une approche collective sans distinction, mettant en garde contre tout sentiment de séparatisme. Elle a appelé à un travail commun des institutions pour adresser les injustices sociales à la base du sentiment d’insécurité.
En conclusion, la séance plénière a été marquée par une prise de conscience collective de l’urgence de la situation. Les membres du Département ont unanimement appelé à des actions concertées, à la fois immédiates et à long terme, pour lutter contre la violence.
Réaction de Cyrille Melchior à l’adoption unanime de la motion par l’Assemblée départementale ce matin :
C’est tout , mettre toute dans un l’avion retour case départ, c’est le revers de la médaille pour vous les politicien, c’est vous tous qui être responsable de cette société mal foutu d’aujourd’hui
Le département cest faute du département de cette immigration moin g dis de faire les contrôles des apts de vérifier leur livret de famille et les personnes n’ont inscrit dan les livret cest de les mettre à la porte ou les donner une grosse amende
C’est en grande partie à la nouvelle génération de politiciens surtout à st Benoît, jouer avec les sentiments des citoyens de st Benoit.