En première instance, il avait écopé de 12 ans de réclusion criminelle, comme le coaccusé, Ludovic P. Tous deux avaient fait appel de la décision. Le dernier s’est finalement désisté. Mickaël Tamou a finalement été condamné à 9 ans de réclusion criminelle
Les faits datent du 22 février 2018 au Tampon. La victime écume les bars avec ses amis. Mickael T. lui propose alors un « after » chez Ludovic P., en compagnie d’autres fêtards, mais refuse que ses deux amis l’accompagnent. Sur place, la jeune femme va prendre de l’alcool et deux cachets d’ecstasy. Elle assure avoir perdu connaissance. Quand elle aurait repris ses esprits, elle était allongée sur le ventre, sur un lit, dans une chambre à l’étage. Elle avait en effet, des lésions au niveau des organes génitaux.
L’accusé lui, conteste le viol et dit n’avoir aucun souvenir de la soirée. Cette version n’a pas été retenue.
Fallait magine le « before » avant. Parce là après… c’est l’écran noir. Enfin ! Li nora toussa là pou calquilé derrière baro la geôle. Est ce que té vaut le coup abuse d’un tantine que té pou noye son mal être dan l’alcool ? Ou la besoin d’une partie fine, paye. Néna y vive de zot charme. Mais non… gratos lé mieux. Allez assise astaire…