« Ce qu’on l’on jette sur terre finit en mer… » : un Instagrameur souhaite sensibiliser sur la pollution de l’Océan (Vidéo)

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« C’est encore plus flagrant en saison des pluies. ». Un Instagrameur nommé _sebmtn_ souhaite lancer l’alerte.

Ce jeudi 9 février, sur le site du Cap La Houssaye, il a de nouveau eu l’occasion de ramasser, comme bien souvent lors de ses plongés, un tas de détritus dans l’Océan.

A travers une vidéo diffusée initialement en story Instagram, il tente ainsi de sensibiliser la population à cette situation :

« Il n’y a pas de petit geste, le mieux reste de jeter les déchets dès le départ à la poubelle. »

10 Commentaires

  1. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  2. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  3. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  4. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  5. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  6. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  7. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
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  8. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
    Un terrien

  9. Incontestablement il y a un lien direct avec certains pêcheurs irrespectueux. Je suis moi-même pêcheur et quand je vois des pêcheurs emmaillotter les galet dans un sac plastique en guise de plomb, je vous laisse deviner la suite des conséquences. les perruques de tresse qui jonchent les spots de pêche, là encore le constat est désolant. Les canettes de soda, de bière, « les piles plates », les bouteilles de toutes sortes sans oublier les feux sauvage pour réchauffer la gamelle, encore un spectacle de désolation. Alors mon cher Monsieur Instagrameur, la tâche s’avère compliquée pour ces mentalités réfractaires à toutes formes de respect. La seule formule de respect prononcée sur FB : « merci Madame la mer » et en prime une photo des dizaines de poissons juvéniles non maillés.
    Pour information, ne me traitez pas de zoreil « rent out caz si lé pa kontan ».
    Je suis juste un autochtone de 62 ans qui voudrait laisser les bords de mer tels que j’ai pû les connaître dans mon plus jeune âge. Nous avions aussi quelques fois des pratiques et attitudes peu recommandables, mais nous étions tout juste 400000 habitants ce qui n’excuse en rien certains comportements de l’époque.
    Dans 25 ans la population de l’ile aura passée le million d’habitants, il est encore temps de changer nos attitudes envers la nature avant que la répression s’organise : arrêter de jeter nos détritus sur les chemins de randonnée, les bords de mer, à la montagne ou à travers des fenêtres de voiture, de pratiquer une pêche et chasse responsable, d’enfouir les mégots de cigarette sous le sable des plages….
    C’est ainsi que les futures générations pourront nous remercier.
    Alors M. l’intagrameur, organisez des ateliers de réflexions et entourez vous de bonnes personnes car votre projet mérite aboutissement.
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  10. En tout cas, ça y est, la ravine qui passe entre les supérettes à La Providence est à nouveau propre, 1 mètre cube de cannettes , bouteilles et autres plastiques ont encore disparu juste après les pluies… C’est grave, il va falloir mettre des filets de récupération à l’estuaire de toutes ces ravines polluées….

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