Crise de l’eau à Mayotte : le ministre Vigier en visite sur l’île annonce de nouvelles mesures

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Philippe VIGIER, ministre délégué chargé des Outre-mer est à Mayotte ce samedi 2 septembre afin de veiller à la bonne mise en place du plan d’urgence de lutte contre la crise de l’eau que traverse le territoire et mobiliser tous les acteurs.

A la demande du Président de la République, de la Première ministre et de Gérald DARMANIN, ministre de l’Interieur et des Outre-mer, il a annoncé dès son arrivée sur le territoire les décisions suivantes  :

  • La prise en charge par l’État du coût de l’osmoseur et de son installation.
  • La distribution de bouteilles d’eau aux personnes vulnérables a raison de 2 litres par jour et par bénéficiaire. 30.000 bénéficiaires sont déjà identifiés par l’ARS.
  • Une aide pour les entreprises afin de compenser leurs coûts fixes sera mise en œuvre par la direction des finances publiques de Mayotte. Celle-ci concernera les entreprises dont l’activité est significativement empêchée ou dont l’activité est complètement arrêtée en raison des coupures d’eau. Les services de l’État sont en cours d’élaboration de l’arrêté ministériel qui précisera les modalités d’application dans les jours à venir.
  • Les rampes ne seront pas ouvertes 24h/24 à la demande des élus locaux.
  • Le suivi de la qualité de l’eau sera significativement renforcé (x2), et les résultats seront systématiquement communiqués dans chaque mairie à la demande du ministre.
  • Point sur la méthode : ces mesures ainsi que celles du contrat de progrès signé en 2022 feront l’objet d’un suivi minutieux et très régulier par les ministres. Les élus locaux seront étroitement associés au suivi.

1 Commentaire

  1. Ils préparent la nouvelle PLANDÉMIE, mais pour cela il va falloir nous censurer.

    L’ONU, cette organisation intergouvernementale non élue, qui exerce une influence significative sur ses 193 États membres, a récemment publié le projet final de sa déclaration politique sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies.

    Le projet final contient plusieurs engagements de la part des dirigeants à réprimer les discours licites. En outre, les dirigeants se sont engagés à soutenir deux instruments qui donneraient à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) davantage de pouvoirs pour lutter contre la « désinformation » et étendre ses réseaux de surveillance.

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