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Elle escroque sa sœur mourante de 54 000 euros : que fait la justice ?

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D’habitude, je commence par la politique mais cette affaire qui m’a été racontée il y a quelques jours et qui fait l’objet d’une plainte auprès du commissariat de police de Saint-André depuis plus d’un an ainsi que d’une plainte, plus récente, avec constitution de partie civile, auprès d’un juge d’instruction du tribunal de Saint-Denis, n’est tout juste pas croyable. Elle est carrément choquante. Certes, je sais qu’on ne vit pas dans le monde de bisounours, que l’homme peut parfois être un loup pour l’homme, qu’il peut y avoir des êtres mesquins, mais là, ça dépasse les bornes. C’est une affaire dont on aurait dû connaître tous les tenants et les aboutissants depuis longtemps mais le temps judiciaire n’a rien à voir avec le temps ordinaire. Pour l’heure,  la justice n’a pas encore eu (ou pris) le temps de mener des investigations, ni de confronter l’ escroc présumée (au féminin) et les victimes, à savoir un papa qui a perdu sa femme, décédée subitement.

C’est l’histoire d’un couple, un homme et une femme, parents d’un petit garçon. Un couple sans problème. Le mari est chef d’entreprise. La petite famille qui gagne bien sa vie réside à Saint-Paul. La dame est originaire de Saint-André. En 2022, elle tombe gravement. Elle est hospitalisée. Un problème au niveau du foie. Son état de santé se dégrade très rapidement. Aussi, l 30 mars, après quelques jours passés au service de réanimation, elle décède. Durant son hospitalisation, son mari, complètement déstabilisé, a fait une totale confiance à sa jeune belle-sœur, qui habite à Saint-André, en lui confiant le sac de son épouse avec, à l’intérieur, toutes les affaires de celle-ci, y compris tous ses papiers et son téléphone. Le mari est occupé à préparer les funérailles les obsèques de son épouse, tout en essayant de trouver les mots appropriés pour tenter de consoler le jeune garçon qui vient de perdre sa maman. Un véritable drame pour ce couple qui, avant la maladie subite de l’épouse, menait une vie des plus sereines.

Quelques jours après l’enterrement de son épouse, le mari a la désagréable surprise de s’apercevoir que des virements ont été effectués depuis le compte. Il faut dire que pendant l’hospitalisation de sa femme et durant le décès qu’il a fallu gérer, il n’avait pas la tête à ça. Mais la vie reprend malgré tout son cours et il faut également s’occuper de toute la paperasserie dont celle relative aux finances. D’où son étonnement de voir que deux grosses sommes d’argent ont été débitées du compte de son épouse. Après une rapide recherche, il se rend compte qu’une première somme de 20 000 € a été virée sur le compte de la fille mineure de sa belle-sœur le 28 mars 2022. Une deuxième somme, de 34 000 € cette fois, a été virée par la suite sur le compte de ladite belle-sœur le 30 mars 2022. Deux virements effectués depuis le smartphone de la dame hospitalisée et inconsciente puisque se trouvant dans le coma.

En effet, celle-ci a été hospitalisée le 15 mars 2022. Le 26 mars, elle a été admise au service de réanimation et aussitôt placée dans le coma. Le premier virement a été réalisé le 28 mars alors que l’épouse se trouvait dans le coma, au service de réanimation. Quant au deuxième virement, il a été effectué le jour même de la mort de celle-ci.

L’époux s’est interrogé de savoir comment de tels ordres de virements ont pu être réalisés depuis le smartphone de son épouse alors qu’elle était en réanimation ? Comment sa jeune belle-sœur et maman d’une petite fille a-t-elle pu effectuer ses virements ? A-t-elle bénéficié d’une complicité auprès de la banque où se trouvaient le compte de son épouse ? D’après nos informations, il s’agit d’une banque située à Saint-André au sein de laquelle travaille toujours une cousine de ladite belle-sœur… L’enquête devrait pouvoir le dire, à condition que la justice décide de la déclencher. Pour l’instant, ce n’est pas encore le cas.

Toujours d’après nos informations, outre les deux virements, ladite belle-sœur, accompagnée de sa maman (qui est aussi la maman de la dame décédée) ont fait main basse sur tous les bijoux de la personne décédée, ainsi que sur ceux du jeune garçon, le soir même de la veillée mortuaire. Depuis, le chef d’entreprise et le petit garçon, aujourd’hui âgé de 11 ans, n’ont plus de nouvelles de sa tatie et de sa grand-mère.

A noter également que le smartphone duquel avaient été effectués les deux virements distincts représentant la somme globale de 54 000 euros, a disparu depuis, évaporé dans la nature. Le papa veuf a essayé de prendre contact avec sa belle-sœur pour avoir une explication mais il se serait fait « jeter » et « insulter » par la jeune dame, qui ne veut rien entendre. Le chef d’entreprise a saisi le cabinet de Me Sylvie Moutoucomorapoulé afin de porter l’affaire devant la justice. Une mise en demeure de rembourser la somme de 54 000 euros a été adressée le 17 octobre 2023 à la belle-sœur qui, depuis, a manifestement disparu des écrans radars. L’avocate a décidé d’engager contre elle des poursuites pénales. Pour l’instant, face au silence de la justice, le mari ne sait plus à quel saint se vouer. Il espère que le juge d’instruction va se montrer sensible, en faisant preuve d’humanisme face à « une telle escroquerie », en ayant une pensée pour ce jeune garçon qui, non seulement a perdu sa maman, mais qui, en plus, s’est fait dépouiller de ses biens car cet argent – les 54 000 € – devait lui revenir. C’était l’argent de sa maman. Le papa, déjà meurtri par la disparition de son épouse, ne demande qu’une chose depuis fin 2002 : que justice soit faite « car on ne rackette pas, on n’escroque pas sa propre sœur, qui plus est sur son lit de mort ». A suivre !

Paul Vergès avait raison… Camille Sudre aussi

Revenons à la politique à présent, pour vous parler du… train ou, plus exactement du tram-train ou encore, si vous préférez, du ferroviaire. Dans le cadre des Etats généraux des mobilités organisés par la Région et ses partenaires en 2023 sous l’égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), des consultations citoyennes avaient été réalisées afin de laisser s’exprimer de façon la plus large possible la population sur les enjeux de déplacements à la Réunion.

Cette mobilisation sans précédent des Réunionnaises et des Réunionnais a abouti à une série d’enseignements qui doit alimenter les décisions et projets des collectivités de notre île. De ces consultations citoyennes, j’ai retenu deux chiffres : 66% et 77%. Dans une île du « tout voiture », 66% de la population réunionnaise se disent aujourd’hui prêts à prendre des transports en commun mais à condition qu’ils soient de qualité et à l’heure. 77% veulent la création d’un train reliant les villes du département entre elles.

Ces consultations citoyennes confirment donc que feu Paul Vergès avait raison avec son projet tram-train qui a été enterré par Didier Robert mais aussi par une majorité de Réunionnais en 2010 lors des élections régionales où le choix proposé était le suivant : la NRL (Nouvelle Route du Littoral) et les 2000 bus de Didier Robert (le candidat de la droite) ou le tram-train de Paul Vergès (PCR/Gauche).

Le peuple avait tranché en faveur d’une route. Laquelle route, lancé fin 2014 (un peu avant les régionales de 2015) par Robert n’est toujours pas terminée10 ans plus tard. Laquelle route ne verra pas le jour avant 4 à 5 ans et qui coûtera sans doute au final près de 3 milliards (si l’on prend en compte les contentieux avec les multinationales).

Huguette Bello entourée des représentants des présidents d’EPCI.

Huguette Bello, la présidente de Région depuis 2021, qui a tenu une conférence de presse mardi dernier, 13 février, pour la restitution des Etats généraux des mobilités, a plus d’une fois appelé tous les élus « à travers ensemble » pour trouver des solutions à ce « coma circulatoire » à la Réunion. Elle a réuni autour d’une table tous les représentants des intercommunalités (Cinor, TO, Civis, Casud et Cirest) ainsi que l’Ile de la Réunion des Mobilités présidée par le vice-président de Région Patrice Boulevart, sans compter le représentant de l’Etat pour signer « une feuille de route collective » dans laquelle toutes et tous prennent l’engagement de concrétiser les 5 priorités identifiées et votées par l’Assemblée citoyenne des Mobilités  comme, par exemple : « repenser l’aménagement du territoire pour rendre accessible tous les services de base à moins de 15 minutes, associés à des pôles d’accès multimodaux », « réaliser des projets structurants et innovants de transports collectifs et de marchandises »… Une belle initiative de la part de la Région et de sa présidente Huguette Bello mais force est de constater qu’aucun des présidents des intercommunalités n’a pu se déplacer ce mardi 13 février jusqu’à la Région pour parapher cette « feuille de route collective ». Ces derniers ont bien entendu envoyé leur digne représentant, élus eux aussi. « C’est vraiment dommage que les présidents n’aient pu se libérer », a regretté à haute voix Huguette Bello.

Les présidents des intercommunalités se libèrent pour Bareigts

Curieusement, certains de ces présidents d’EPCI ont pu se libérer, le lendemain, mercredi 14 février (fête des amoureux) pour se retrouver autour d’Ericka Bareigts pour une conférence de presse à Saint-Denis, salle Bourbon à l’hôtel « Le Radisson » pour parler politique et, plus précisément, des élections européennes. En effet, Maurice Gironcel (CINOR), Patrice Selly (CIREST) ont entouré la maire socialiste de Saint-Denis et vice-présidente de Région, à l’occasion de la conférence de presse donnée par la plateforme également composée d’Olivier Hoarau (maire du Port et vice-président de TO), de Jacques Técher (maire de Cilaos et vice-président de la Région/Civis) et Geneviève Payet (EELV Réunion).

Ericka Bareigts entourée, entre autres, de Maurice Gironcel (président de la Cinor) et de Patrice Selly (président de la Cirest).

D’où ma déduction somme toute basique : c’est pas demain la veille que les élus, que tous les élus vont « travailler ensemble » sur les projets structurants de l’île. C’est un vœu pieux. La politique politicienne finit toujours par reprendre le dessus, hélas !

1992 : Camille Sudre, President de Région avec Pierre Lagourgue (Le Quotidien)
1990 : Télé riposte avec Camille Sudre, Aude Palant Vergoz et Paul Verges (Témoignages)

Quand je dis que Camille Sudre aussi avait raison, c’est parce qu’il avait donné de vrais gages de cette volonté de « travailler ensemble ». Dès son élection à la présidence de la Région le 27 mars 1992, il avait mis en place un triumvirat Sudre/Vergès/Lagourgue. Pour gérer la collectivité en dehors de toute considération politicienne, il n’avait pas hésité à faire appel au communiste Paul Vergès et au centriste Pierre Lagourgue. Les trois avaient été reçus le 17 juin 1992 par le Président de la République François Mitterrand. L’égalité sociale a été obtenue au cours de cette même année. Mais son élection a été annulée suite à « une erreur de calcul » de la Commission de contrôle des comptes de campagne électorale qui n’était qu’en fait qu’un gros magouillage de ladite Commission pour éliminer Camille Sudre de la scène politique.

Je vous le disais plus haut, Ericka Bareigts a donc réuni à ses côtés Maurice Gironcel, Patrice Selly et les autres pour parler des Européennes qui auront lieu le 9 juin prochain et, comme vous avez pu l’entendre, la maire de Saint-Denis, qui vise aussi la présidence de la Région en 2028, laquelle Région gère les fonds européens, a déclaré « qu’il était crucial d’aller voter le 9 juin ». Libre à vous de l’écouter ou pas. C’est bien connu, les électrices et les électeurs n’en font qu’à leur tête. La preuve, en 2010 ils ont voté pour la NRL, rejetant ainsi le tram-train. En 2023, 77% des Réunionnais veulent un train. Comprenne qui pourra !

Johnny Payet, l’homme libre du Rassemblement National

Pour revenir aux Européennes, il en sera également beaucoup question ce samedi 17 février à la Plaine-des-Palmistes où se réunira le bureau du Rassemblement National dont le secrétaire général n’est autre que Johnny Payet, le maire de la Plaine. Lequel Johnny Payet était présent à Bras-Fusil, il y a deux semaines, aux côtés de son ami le député de La France Insoumise, Jean-Hugues Ratenon. Lequel Johnny Payet vote souvent avec la majorité régionale d’Huguette Bello. Lequel Johnny Payet avait soutenu au premier tour des législatives de 2022 Stéphane Fouassin dans la 5ème circonscription avant de voler au secours de son ami Ratenon, au second tour, dans cette même circonscription. Lequel Johnny Payet a été avec Jean-Jacques Morel lors des sénatoriales de septembre de 2023. Payet, l’homme politique libre. Trop libre ? C’est là que ça pose problème.

De gauche à droite : Jean-Hugues Ratenon et Johnny Payet (photo d’archives)

C’est ce que devraient lui dire demain certains membres du bureau du RN, à moins qu’ils rentrent toutes et tous sous la table, le jour J. Autre sujet qui fâche au RN Réunion, c’est le choix de Joseph Rivière comme candidat sur la liste RN, « Joseph Rivière qui a fait campagne pour André Thien-Ah-Koon dans la 3ème circonscription contre Didier Hoareau, le candidat investi RN », note un militant. Vous l’aurez compris, si tout cela est mis sur la table, la réunion de demain à la Plaine, pourrait être animée. Je dis bien « pourrait » car la plupart du temps, il est plus facile de causer derrière, dans le dos, qu’en présence des personnes concernées.

Encore un petit mot de politique pour vous dire que j’ai reçu copie d’un courrier anonyme qui a été adressé au préfet. Courrier écrit manifestement par une personne qui, manifestement, ne porte pas Ericka Bareigts dans son cœur. Cette personne a signalé au préfet qu’au sein du conseil municipal de Saint-Denis, quelques élus ne siègent plus. « Ibrahim Dindar, 7ème adjoint au maire, habite maintenant en métropole depuis plus d’un an ; Aurélie Médéa, conseillère municipale, est au Canada depuis bientôt 3 ans ; François Javel, en désaccord avec la maire, a démissionné de toutes ses délégations ; Stéphane Persée, 15e adjoint, délégué aux sports, a démissionné et repris son poste de directeur de magasin ; Karel Magamootoo, adjointe de la Montagne, a déménagé en métropole pour rejoindre son compagnon ». Il est dit aussi qu’au niveau de son cabinet et même de certaines directions, la dynamique et hyper active maire de Saint-Denis, « a viré » pas mal d’anciens qui appartenaient à l’équipe de Gilbert Annette. Info ou intox ? J’avoue que je n’ai pas eu le temps de vérifier, mais je le ferai sans faute la semaine prochaine car d’ici là, il va sans dire que j’aurai déjà reçu une multitude de coups de fil de l’actuel cabinet et du service Com’, hyper actif également, à l’image de la maire du chef lieu.

Enfin, je voudrais finir avec une affaire d’injustice flagrante, une affaire complexe, une affaire qui dure depuis 17 ans, c’est celle des frères Moussajee. Une affaire tellement complexe que même Gilbert Aubry, l’ancien évêque de la Réunion, a tenu à y mettre son grain de sel en accompagnant, mercredi dernier, Salim Moussajee, lors d’une conférence de presse, aux côtés d’autres personnalités de l’île. Je vous renvoie au long courrier que les frères Moussajee viennent d’adresser au ministre de la Justice (voir article ci-contre). « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », écrivait jadis La Fontaine dans « Les animaux malades de la peste ». A la semaine prochaine !

Y.M

([email protected])

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

15 Commentaires

  1. Monsieur MontRouge, bientôt nous allons vous montrer que des morts signent des actes notariés sur un lit d’hôpital! Famille zarabe i déchirent pou lo pognon, i vole, i baise zot famille, sans cœur, sans pitié. Sauf qu’un jour la vérité qui dérange pete au grand jour. Famille zarabe lé en train d’éclater de partout, frères i volent zot sœurs, zot racines, zot sang . Après entre nous, Dieu les defigure et s’okip d’eux. Maladie i totoche lo peu, si nou expos’ zot vie au grand jour, i fé pitie, pitie, pitie.

    • Et ben ziska zot ??? Té crois qui fallait prendre à zot en exemple rapport à l’entraide etc zot z’ancêtre y doit retourne dan zot linceul! Leçon à retenir là ou na l’pognon na aucune solidarité. L’argent na qu’un maitre. Qui dit maitre maitrise par une sorte de subterfuge li subtilise out pognon en toute légalité attention correcte c’est pas un voleur toussa pou largue dan le firmament. Que nous contemple que lé zoli toute diamants qui scintillent par un clair de lune. Transforme papier en diamants. Qui observe voit la pluie d’étoile…

  2. Incroyable mais vrai, cette histoire d’escroquerie de famille… la justice divine fera son œuvre.
    Quand à Selly et Gironcel… Est-ce une référence ? Balaie devant votre porte après on verra. Ces politiciens d’aujourd’hui travaillent pour leur propre poche et non pour la population.
    Une remarque, c’est seulement la que l’on voit que la Réunion c’est tout pour la voiture…

    • Sincèrement qu’à ton à foutre de cette famille et ses comptes bancaires? Cela se passe dans toutes les familles , de nos jours, les grandes familles ne font qu’arnaquer leur prochain. S’il fallait mettre dans les journaux, ce sera des dizaines de cas par jour. Qu’elle assume son karma, son histoire nous importe peu.

  3. Camille SUDRE et VERGES avaient raison !!!! aucun des deux n’a été foutu de trouver une solution pour la route du littoral. Verges avec sa sr 21 qui a enrichi ti pierre camille Sudre premier vice président qui ne faisait que de la présence à la Région….. le ferroviaire ne se fera pas ici il est trop tard… Ou alors dans 50 ans en attendant les sans dents rongent leur frein dans les embouteillages

    • Honteux encore cette prise de position de Mont Rouge !
      A croire que l’édito c’est le principe de faire de la politique fiction… Ils se sont associés uniquement pour gagner, non pas pour construire des projets ensemble … La preuve quel projet a émergé de Camille Sudre et de Paul Vergès ??? Route des Tamarins ? c’est un projet de Pierre Lagourgue !

      et faire le parallèle avec Ericka Bareigts c’est le comble ! Plateforme de Gauche qui s’est déchiré et éparpillé et maintenant se retrouve pour un seul objectif, mettre à mal Mamie ZinZin GuéGuette !

  4. tribunal devrait mettre caméra avec tous sa i rentre avec lo sort, aiguille, la poudre Cimetiere dans zot poche, charbon, de l’eau la malpropreté,
    mettre caméra devant, sur le côté, partout, n’a deux trois va être déconcerté.

  5. Enoncer des pourcentages de vote c’est facile mais il faut aussi indiquer le taux de participation pour savoir à quoi ça correspond. Si sur 100 votants, il y en a 10 qui vont voter et qui votent oui ça fait bien 100% de oui mais tout le monde n’a pas voté …

  6. Concernant les démissions des élus dionysiens, il était plus que temps que cela soit annoncé à la population… Espérons que ces élus ne continuent pas à toucher leurs indemnités pour ceux qui sont hors département.
    Pas de cohésion dans cette équipe. Juste une maire avec le syndrome de l’hubris et qui dans sa toute puissance n’en a pas assez à faire avec la mairie de Saint-Denis mais veut depuis son élection devenir présidente de région. Elle a les dents qui rayent le parquet la petite dame.

  7. Bien mal acquis y profite jamais. Pendant ce temps là cabri y manz salade…. la justice c’est pas les « zirzence » et encore la d’su ou na lo tps mort si brancard (la oublie aou) mais cmt y peut tire autant d’pognon en dei fois sans que la bcq y prévient la personne? Faut tourne contre la bcq alors et avec sa faut fait à zot confiance. Connait pas que beau frère bel sère c’est pièce rapportés ? C’est qd ou lé ds un position de faiblesse qui achève aou. Aucune ampathie. D’où ce qui li sorte (surtout par ces tps de vache maigre) l’argent lé bon à prendre. Famille y pèse lourd en écus y sar déterre zot propre mort pou vole le collier ! Z’enfant que ou la nourri soigné dorlotés (mes pti z’amours) dés qui rentre dan l’adolescence, y zigouille lo momon lo papa et à « ns la belle vie » ! Mes z’amis, l’argent y fait bouffe à ou les pissenlits par la racine en un temps record. Qd madame rap toussala y passe, l’arzent y pousse pi. En l’occurence son belle-sère. Lé triste solment !

  8. pler lo sang, pler mon maman, mon soeur, mon frère, mon matante, mon tonton, mon cousin, mon derrière, c’est seulement le retour de la médaille, d’une personne infecte. quand l’a dit bondié i pinit pa lo roche. mdr

  9. Habitant Saint-Bernard, je m’étais permis, début janvier, et après une longue période d’interrogation, de demander poliment par mail des nouvelles de Mme Magamootoo, élue du quartier, afin de savoir si elle était toujours en exercice. Etrangement, il est apparu que j’avais du appuyer à l’endroit où ça fait mal car, dès le lendemain, je recevais de sa part une volée de bois vert, suite à mon « torchon » en raison aussi de ma « façon de procéder toujours détournée, sournoise et traitre », etc, etc… Mais aucune réponse à la question que j’avais posée. Dans ces circonstances, merci, M. Mont-Rouge, d’avoir, dans ce fénoir administratif, un peu éclairé ma lanterne.

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