A cette question, Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et des Outre-mer, a été on ne peut plus clair : « il n’y a pas de séparation de la Corse avec la République », a-t-il insisté. En fait, comme on peut le lire dans la presse nationale, les élus de l’île de Beauté et le gouvernement de Gabriel Attal sont tombés d’accord sur le fait que des lois et règlements pourront faire l’objet d’adaptation en Corse. « Nous avançons vers l’autonomie, mais il n’y a pas de séparation de la Corse avec la République », a-t-il dit.
Dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, le gouvernement et les élus de la Corse se sont mis d’accord pour un projet « d’écriture constitutionnelle ». Laquelle prévoit notamment « la reconnaissance d’un statut d’autonomie » de la Corse « au sein de la République » qui tient compte des intérêts propres de l’île; Intérêts qui sont liés à son insularité méditerranéenne, à sa communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre », indique le premier alinéa. Une écriture qui fait consensus en Corse, représentée par Gilles Simeoni (président autonomiste du conseil exécutif de Corse) et Laurent Marcangeli (député de Corse-du-Sud et président du groupe Horizons à l’Assemblée nationale) ainsi qu’au sein du gouvernement représenté par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Ce projet tendant vers l’autonomie de la Corse au sein de la République française sera soumis à l’Assemblée de Corse avant d’être repris par le Président de la République « qui engagera, quand il voudra, la réforme constitutionnelle », a noté le ministre. Un projet qui devra être adopté par le Parlement (Assemblée nationale et Sénat) avant d’être présenté au Congrès où il devra être validé à la majorité des trois cinquièmes.
Rappelons que lors d’un déplacement en Corse, fin 2023, Emmanuel Macron, évoquant « un moment historique » avait évoqué pour la première fois un changement de statut politique de l’île de Beauté. « Ayons l’audace de bâtir une économie à la Corse dans la République », avait-il dit devant les élus de l’Assemblée de Corse à majorité nationaliste. Cela dit, comme l’avait rappelé le chef de l’Etat, « être autonome, cela ne veut pas dire être indépendant ». En clair, l’île pourrait fixer ses propres règles dans plusieurs domaines comme le logement, la santé, l’éducation mais, pour autant, la Corse appartiendra toujours à la France. L’Etat conservera ses compétences dans les domaines régaliens comme la police, la justice….
Notons également que ce statut est déjà en vigueur dans certains territoires d’Outre-mer mais que les changements attendus par les élus pro-autonomie ne sont pas très significatifs.
Bientôt la reunion ,cours de guitare obligatoire, deboulonnage du matin au soir ,et toute sak lé blanc cœur kilote dan la main ….
La Corse indépendante ???
Laissez moi rire …
Sans la France elle n existe plus!
Indépendance et autonomie n’ont pas le même sens. Je peux être « indépendant »
par mon salaire par rapport à mon épouse, mais je ne suis peut-être pas « autonome »
pour m’occuper de ma famille – car je ne suis pas le seul.
la république….
il aurait pu dire la « France », mais l’unité nationale cela emmerde les adeptes de notre cretin aspirant Napoleon qui ne se fixe pas de limites et qui se voit au sommet de l’Europe…
les détraqué de le Macronie devront payer pour leurs crimes
les donneurs de leçons mondialistes vont se prendre une grosse baffe, l’argent de nos impots devrait servir et profiter à l’économie française car les temps vont devenir très durs :
« Les Houthis ont déclaré avoir réussi à frapper ce matin un autre navire marchand américain au large des côtes du Yémen avec un missile balistique anti-navire. L’étendue des dégâts est encore inconnue.
De plus, avec l’aide d’un important groupe de drones, 2 destroyers américains ont été attaqués. On ne sait pas s’il y a eu des coups sûrs.
L’attaque elle-même est une confirmation des déclarations faites hier par le leader Houthi selon lequel il n’aura pas peur et ne reculera pas dans ses attaques contre les États-Unis, la Grande-Bretagne et Israël. Le garçon l’a dit, le garçon l’a fait.
L’opération Guardian of Prosperity est un échec complet. »
votre maladie des commentaires à coté de la plaque se soigne ?
Ça va donner des « idées macabres » à certains de nos politiciens péi pour avoir l’autonomie de la Réunion pour la gouverner à leurs façons comme des dictateurs … qui règnent par la force des kalachnikovs …
De toute façon ce gouvernement comme ses prédécesseurs des qu on parle de la corse, des juifs, maintenant aussi de l Ukraine ils sont prêt à baisser leur froc
La Réunion est trop laxiste
Quel vivre ensemble, plutôt chacun pour sa gueule
Ici mahorais y impose
Zoreils y décident
Créoles y mangent zot cul comme poule rouge
zoreil y donne pleins d’argent et grace à la France, l’europe y donne aussi plein d’argent à nou
Pourquoi cette hargne contre l’autonomie ? Plusieurs pays européens ont des régions
autonomes, par exemple l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, le Portugal.. et cela ne pose
pas de problème pour l’unité nationale, ni pour la République. Alors, essayons et
donnons à nos élus la possibilité de MONTRER LEUR CAPACITÉ À GÉRER une
région, et à ÊTRE RESPONSABLE EN CAS D’ECHEC.