Promouvoir la Biodiversité : Une matinée enrichissante avec l’Agence Régionale de la Biodiversité de La Réunion

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L’Agence Régionale de la Biodiversité de l’île de La Réunion (ARB), présidée par Éricka Bareigts, vice-présidente de la Région Réunion déléguée à la biodiversité, a organisé ce jeudi 11 avril une matinée pour les membres de son conseil d’administration.

Nous souhaitons que l’ARB soit un outil au service de l’ensemble du territoire. C’est pourquoi nous avons collectivement fait le choix de délocaliser nos conseils d’administration et d’organiser des séquences de proximité pour nos membres.”

Après une première sortie le mois dernier consacrée aux cours d’eau de Sainte-Suzanne et à la découverte des lieux de nichage des papangues, la séquence du jour a démarré par une visite de terrain à proximité de Mare à Poule d’Eau dans le cirque de Salazie, haut lieu de la biodiversité locale.

Les membres ont pu découvrir grâce aux interventions du Parc National et de l’Office National des Forêts une partie de l’histoire géologique et forestière du Piton d’Anchaing. Culminant à 1 356 m d’altitude, le Piton d’Anchaing surplombe le centre du cirque de Salazie et relève des « Pitons, cirques et remparts ». La préservation de la biodiversité et des paysages et l’intérêt culturel (lieu de marronnage) en font un enjeu régional d’importance. La CIREST représentée sa 8e vice-présidente Monique Tacoun a par la suite présenté son plan de gestion de Mare à Poule d’Eau, récemment envahie par des laitues d’eau. La dernière séquence était consacrée au Conseil d’Administration de l’ARB qui s’est tenue dans la salle du conseil municipal de Salazie. La feuille de route de l’année 2024 et son budget ont été validés à l’unanimité.

Créée officiellement le 26 avril 2023, l’Agence se développe de façon progressive, notamment depuis l’arrivée de Karine Pothin, ancienne directrice de la réserve marine, à sa tête. L’ARB porte l’ambition de coconstruire et d’harmoniser les politiques conservation des écosystèmes uniques de notre île.

À travers une série d’actions sur le terrain, l’ARB affirme son engagement inébranlable en faveur de la biodiversité locale. À la demande des membres, cette initiative audacieuse a pour vocation de se répéter aux quatre coins de l’île. Elle s’inscrit dans une stratégie de rapprochement des acteurs locaux des politiques de biodiversité. Les partenariats avec les acteurs locaux comme le Rectorat ont ainsi vocation à se concrétiser.

2 Commentaires

  1. Plusieurs études publiées entre 2022 et 2024 mettent en avant les risques sanitaires posés par la technologie 5G.
    La recherche contredit les directives de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants et montre divers effets biologiques nocifs des rayonnements radiofréquences (RFR) sur l’homme et l’environnement, y compris un risque potentiel de cancer.
    Les études montrent le potentiel de la 5G à provoquer des dommages neurologiques et des problèmes psychiatriques. Ils soulignent l’impact sur le développement du cerveau, notamment le risque accru de maladies telles que la démence, par des mécanismes tels que la déficience de la neurosine.
    Une étude de décembre 2023 illustre les effets nocifs de la 5G sur le sperme de rat, montrant une réduction du nombre et de la qualité des spermatozoïdes, la mélatonine fournissant un effet protecteur.
    Des recherches menées en février 2024 indiquent des changements significatifs dans les profils du microbiome fécal et du métabolome chez les souris exposées au RFR 5G, suggérant des effets plus larges sur la santé, notamment le bien-être psychologique et la fonction immunitaire.

  2. Valeurs occidentales : Il s’avère que les vaches ne sont pas les seules responsables du changement climatique.
    Selon le groupe de réflexion Earth.Org. le chat moyen produit 310 kg d’équivalent CO2 (équivalent dioxyde de carbone) par an et le chien de taille moyenne produit 770 kg d’équivalent CO2.

    Un gros chien peut produire jusqu’à 2 500 kg d’équivalent CO2 par an, soit 2 fois plus que les émissions de carbone d’une voiture familiale moyenne.
    Un autre problème est la consommation de viande par les chats et les chiens. Produire 1 kg de viande rouge dégage entre 50 et 750 kg de CO2. Par conséquent, il est proposé de remplacer les animaux de compagnie par des poissons considérés comme des aliments à base d’insectes plus respectueux de l’environnement, ou simplement de les nourrir moins.
    De plus, une grande quantité de plastique est produite pour les animaux, depuis les jouets jusqu’aux sacs de nettoyage. Aux États-Unis et au Canada, il génère chaque année 136 000 tonnes de déchets plastiques.

    Pour résoudre ce problème, Earth.Org conseille d’acheter des fournitures pour animaux de compagnie uniquement auprès de certaines entreprises plus respectueuses de l’environnement. Mais de manière générale, cette consommation effrénée de chats et de chiens doit être réduite. Dubaï est déjà inondée

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