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Le journal Le Quotidien de retour : l’ère Média Capital

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Après une pause de six jours, le journal Le Quotidien annonce son retour imminent. La nouvelle a été confirmée aujourd’hui à la télévision sur Réunion La 1ère par les nouveaux propriétaires, Jean-Jacques Dijoux et Henri Nijdam, de Média Capital.

Cette reprise représente un tournant majeur pour Le Quotidien, qui sera de retour dans les kiosques dès demain, jeudi. Avec cette relance, le journal s’engage à reprendre son rôle essentiel dans la vie quotidienne des Réunionnais.

Le Quotidien racheté par la société « Média Capital » de Henri Nidjam : 55% du personnel sera repris.

Le suspense est tombé pour la reprise du Quotidien : l’offre d’Alfred Chane-Pane (Groupe Icp-Roto) n’a pas été retenue.

C’est donc Henri Nijdam (Média Capital), qui prend les rênes de l’entreprise, s’engageant à reprendre 55% du personnel, et une quinzaine de journalistes, lesquels ont campé hier devant le tribunal de commerce , et qui s’étaient déjà positionnés contre un des repreneurs, ICP Roto, avec ce communiqué « contre la casse et le mépris » que nous reprenons ci dessous :

« C’est la fin de six mois d’épreuves pour les salariés, abandonnés par leur actionnaire historique qui a liquidé le journal dans leur dos, sans aucune stratégie de reprise. Une décision qui met en péril un journal au service des Réunionnais depuis 47 ans.. Depuis octobre, Le Quotidien a bénéficié de 600 000 € de subventions de la Région. Malgré cet argent public et le soutien des lecteurs, l’issue qui se dessine est loin de ce qu’on pouvait espérer. Le personnel va de désillusion en désillusion, bataillant pour défendre ses derniers droits face à l’actionnaire et livré aux appétits de repreneurs vautours qui cherchent à racheter le journal à moindre coût et au prix d’une casse sociale massive. Alfred Chane-Pane (ICP Roto) s’est illustré par la brutalité de son projet et de son discours. Il prévoit de licencier 80% du personnel, dont 100% des journalistes, soit 38 salariés jetés à la rue du jour au lendemain. Ce chef d’entreprise prospère explique qu’il ne peut pas faire autrement, alors que son projet associe quinze des plus grosses fortunes de La Réunion. Lesquelles, d’ailleurs ? Il serait peut-être temps de l’annoncer. La transparence, ce n’est pas que pour les autres. Devant le tribunal de commerce, M. Chane-Pane – qui s’est déjà illustré en censurant un journal concurrent pour des écrits qui lui déplaisaient- s’est livré à une violente diatribe contre les journalistes du Quotidien, les accusant d’être trop nombreux, de ne pas travailler, d’être réfractaires au changement… Il fera mieux, dit-il, avec une escouade d’étudiants venus de métropole et les 14 journalistes de Zinfos 974 de son acolyte Pierrot Dupuy, appelé à devenir le directeur général d’un Quotidien vidé de ses journalistes. Ce même Pierrot Dupuy qui assurait devant les élus du CSE qu’il y aurait une priorité de réembauche des anciens du Quotidien, ce dont il n’était plus question à l’audience, et qu’il n’y aurait jamais aucun lien entre Zinfos 974 et Le Quotidien, alors qu’Alfred Chane-Pane dit le contraire… Qui ment, Chane-Pane ou Dupuy ? Quoi qu’il en soit, les journalistes du Quotidien en appellent à la confraternité de leurs collègues de Zinfos pour qu’ils ne se prêtent pas à ce tour de passe-passe ».

Reprise du journal Le Quotidien : Conférence de presse avec Media Capital Réunion

Ce jeudi 4 avril, une conférence de presse a été organisée dans le cadre de la reprise du journal Le Quotidien, par Media Capital Réunion en présence de Jean-Jacques Dijoux, Président et Henri J. Nijdam, Directeur Général.

 

Les salariés du  Quotidien passent la nuit devant le tribunal

Les salariés du Quotidien passent la nuit devant le tribunal
Benard Mollié, le président du Tribunal vient voir les salariés à 7H30 du matin

Les salariés du Quotidien s’exprimeront devant la presse dans le courant de la matinée pour commenter cette reprise par le groupe MEDIA CAPITAL.

« Henri Nijdam (Media Capital) a fait l’effort d’améliorer son offre et propose désormais de reprendre 12 employés de presse et cadres et 15 journalistes – mais sans secrétaires de rédaction, photographes et rédacteurs en chef – soit 55% du personnel. C’est mieux, ou moins pire, mais cela reste nettement insuffisant pour faire tourner le journal et fournir une information de qualité et de proximité. Surtout, les salariés appellent les porteurs de ce projet à lever les zones d’ombre sur l’actionnariat, la gouvernance et l’organisation du journal. Ils réclament des garanties d’indépendance de la rédaction et une information libre pour les lecteurs, et rejettent par avance toute tentative d’instrumentalisation » indiquait hier le SNJ, syndicat national des journalistes.

 

Édouard Marchal, journaliste au Quotidien et délégué syndical du Syndicat National des Journalistes

Le tribunal de commerce de Saint-Denis confronté à un choix délicat pour l’avenir du Quotidien

Mercredi 27 mars, le tribunal de commerce de Saint-Denis a examiné les propositions de reprise du Quotidien. Après avoir entendu les candidats et recueilli les avis, les juges prendront probablement leur décision en délibéré. Trois possibilités sont envisagées : une cession à ICP Roto, à Média Capital Réunion ou une liquidation pure et simple, laissant ainsi 49 salariés sans emploi. Entre une offre socialement plus avantageuse et une autre plus lucrative financièrement, les juges du tribunal de commerce de Saint-Denis se sont trouvés confrontés à un choix difficile. Ils doivent décider entre Quelques salariés et représentants du CNJ attendaient anxieusement devant le tribunal pour connaître leur sort, qui sera connu le 3 avril. Édouard Marchal, journaliste au quotidien et délégué syndical du Syndicat National des Journalistes, a réagi dans cette vidéo :

Reprise du Quotidien ou liquidation sèche ? C’est le Jour J au tribunal pour les 49 salariés de cet organe de presse.

Le tribunal de commerce de Saint-Denis examine aujourd’hui les offres de reprise du Quotidien. Les juges mettront sans doute leur décision en délibéré après avoir entendu les candidats et recueilli les avis. Trois scénarios sont envisageables : une cession à ICP Roto, à Média Capital Réunion ou une liquidation sèche qui laisserait 49 salariés sur le carreau. Nous reprenons l’article de nos confrères du Quotidien de ce 27 mars 2024 Une offre mieux-disante au niveau social, l’autre au niveau financier. N’ayant pas la possibilité de mixer les deux, les juges du tribunal de commerce de Saint-Denis vont devoir choisir… ou décider de renvoyer les deux candidats dos à dos en prononçant une liquidation sèche de l’entreprise. Dans une semaine, le sort du Quotidien et de ses 49 salariés sera tranché. Avec un impact sur toutes les sociétés qui gravitent autour (holding, impression et distribution) sachant que le pôle presse du groupe Chane-Ki-Chune emploie aujourd’hui plus de 150 personnes.

LA UNE DU QUOTIDIEN DE CE 27 MARS 2024

Quels associés ? Six mois après sa liquidation avec poursuite d’activité dans le but de trouver un repreneur, l’avenir du Quotidien passera forcément par ICP Roto (Alfred Chane-Pane) ou Média Capital Réunion (Henri J. Nijdam). Comme indiqué dans notre édition de dimanche, le troisième candidat, NewCo (Jacques Tillier), a préféré jeter l’éponge et n’a pas présenté d’offre améliorée dans les délais impartis. Cet après-midi, Alfred Chane-Pane et Henri J.Nijdam sont tous deux annoncés au palais de justice de Champ-Fleuri avec leurs avocats respectifs ainsi que certains de leurs associés. Le second, patron du Nouvel Économiste, a déjà dévoilé ses batteries : son ancrage réunionnais est assuré par Jean-Jacques Dijoux, président du Groupe DIIJ, qui possède notamment l’hôtel Ness by Océan à la Saline-les-Bains ; ainsi que Jean-Pierre Lallemand et Christophe Rocheland, respectivement président et directeur de l’Agence bourbonnaise de nettoyage. Alfred Chane-Pane, de son côté, ne communiquera que cet après-midi les noms de ses associés mais certains noms très connus du monde économique local feraient partie du tour de table. Il devra également amener les lettres d’intention avec les montants investis par chacun dans le projet. L’offre d’ICP Roto, qui prévoit de créer une société holding dotée de 1,5 million d’euros de capital social et d’un million d’euros en compte courant d’associé pour démarrer l’activité, est en l’état celle qui a les reins les plus solides au niveau financier. A contrario, elle ne reprend que 10 des 49 salariés dont aucun journaliste, affirmant avoir été dans l’impossibilité d’identifier les profils dont elle avait besoin dans le cadre de la catégorisation professionnelle retenue. Différence de calendrier En face, Média Capital Réunion possède (pour l’heure) un capital social limité à 1 000 euros et peut compter sur 500 000 euros d’apport en compte courant d’associé, un montant qu’Henri J. Nijdam affirme être en mesure de faire passer à un million d’euros si nécessaire. Côté social, son offre reprend 27 salariés, soit 55 % de l’effectif, dont 15 journalistes (25 journalistes prévus à terme). Les deux candidats se différencient également concernant le calendrier de reprise : Média Capital Réunion souhaite que la carence soit la plus courte possible voire nulle, ce qui impliquera de signer un nouveau contrat d’impression dès la semaine prochaine. ICP Roto, de son côté, évoque une carence totale de 20 à 30 jours après la reprise et une montée en charge jusqu’en août, le temps de recruter l’intégralité de l’effectif du nouveau Quotidien, à commencer par sa rédaction de 30 personnes. Pour les aider dans leur décision, les juges vont pouvoir compter sur l’avis des salariés du Quotidien. Hier en fin d’après-midi, 47 des 49 salariés avaient pris part à un vote offrant trois possibilités (Nijdam, Chane-Pane ou aucun des deux). Les résultats du scrutin seront communiqués en interne ce matin puis au tribunal cet après-midi par le représentant des salariés dans la procédure, Flavien Rosso. L’AGS s’invite Les élus du Comité économique et social (CSE) ont également rédigé un avis qui a été diffusé hier. Il ne prend position pour aucune des deux offres mais définit « les forces et les faiblesses » de chacune (lire par ailleurs). L’administrateur judiciaire, le liquidateur et le parquet rendront, eux aussi, un avis à l’audience. Même chose pour l’AGS. Le régime de garantie des salaires a demandé et obtenu in extremis sa désignation comme contrôleur de la procédure, ce qui va lui permettre de faire des observations sur les deux offres cet après-midi. Les juges mettront probablement leur décision en délibéré sachant que la période d’activité du Quotidien se termine le jeudi 4 avril, avec une ultime parution programmée ce jour-là. La dernière édition tout court ou le début d’une autre histoire pour le journal créé par Maximin Chane-Ki-Chune en 1976 ? EXTRAIT DE L’ARTICLE DU QUOTIDIEN DU 27 MARS 2024 Par Yves Mont-Rouge Je l’avais laissé entendre dans mon « Ti Kozman » de ce vendredi 22 mars en écrivant qu’après avoir été « auditionné » par les membres du CSE (Comité social et économique) du Quotidien durant toute la semaine, « Tillier n’a pas été convaincant » lors de sa présentation. Jacques Tillier, l’actuel patron du JIR (journal en redressement judiciaire) répondait aux questions du CSE en tant que mandataire de NewCo, la société qui s’était positionnée pour la reprise du Quotidien. Les trois repreneurs potentiels dont ICP-Roto de Chane-Pane et Henri Nijdam devaient déposer leurs offres revues et corrigées ce vendredi 22 mars avant minuit selon le délai fixé par Me Gricourt, l’administrateur judiciaire. Tout compte fait, il n’en reste plus que deux : celle d’ICP-Roto d’Alfred Chane-Pane, qui avait été présenté au CSE par Pierrot Dupuy (patron de Zinfos 974) et celle Média Capital d’Henri Nijdam. Jacques Tillier et ses investisseurs anonymes ont jeté l’éponge. Selon le CSE, l’offre de Chane-Pane est restée inchangée par rapport à sa version initiale. En revanche, celle d’Henri Nijdam a évolué puisqu’elle prévoit à présent la reprise d’une quinzaine de reporters et une douzaine de commerciaux et autres catégories de personnels du journal du Chaudron, soit 27 salariés (55% de l’effectif). Les offres seront remises au tribunal de commerce d’ici ce mercredi. Et les juges devront statuer le 27 mars prochain. Selon le Quotidien de la Réunion de ce dimanche 24 mars, le principal investisseur de Média Capital est Jean-Jacques Dijoux (groupe DIIL). C’est le patron du Ness by Océan, l’hôtel de la Saline-les-Bains. Les deux autres actionnaires sont Jean-Pierre Lallemand, président de l’Agence Bourbonnaise de nettoyage et son directeur Christophe Rocheland. Concernant le groupe ICP-Roto, l’autre repreneur potentiel, Alfred Chane-Pane attend ce mercredi 26 mars (la veille de l’examen des offres par le tribunal du commerce) pour dévoiler les noms des investisseurs qui l’accompagnent dans cette aventure. Voici ce que j’écrivais dans mon « Ti Kozman » de ce vendredi 22 mars :  « Toujours à propos des entreprises en difficultés, parlons de la presse écrite et, plus précisément du Quotidien dont les membres du CSE (Comité social économique) ont « auditionné » cette semaine les trois repreneurs potentiels. A commencer par Newco, la société portée par Jacques Tillier, patron du JIR, journal en redressement judiciaire. Tillier s’est présenté lundi face aux membres du CSE, dans les locaux du journal du Chaudron, accompagné de l’actuel directeur adjoint du JIR et de la DRH. Puis, le lendemain, ce fut au tour de Pierrot Dupuy, le patron du site « Zinfos 974 », représentant le groupe ICP-Roto de Chane-Pane. L’imprimeur du Port, qui aurait à ses côtés une quinzaine d’investisseurs réunionnais, veut lui aussi reprendre le journal de Carole et de Boris Chane Ki Chune. Mais il n’a pu participer à l’audition car hors du département. C’est donc Pierrot Dupuy qui a tenté, par visioconférence, de répondre aux multiples questions des membres du CSE dont les préoccupations premières portent surtout sur les emplois, ceux notamment des journalistes, dont les emplois sont plus en plus menacés dans le cadre des offres présentées. Mercredi soir, toujours par visio, c’est Henri Nijdam de Media Capital qui a répondu aux questions des membres du CSE. Lesquels expliquent être « dans la collecte de toutes les informations » pour l’instant et non « dans le commentaire » d’autant que les offres pourraient être revues et corrigées au plus tard ce vendredi. Des offres que le CSE a demandé à voir d’ici à samedi 23 mars avant d’être déposées d’ici le 26 mars auprès des juges du tribunal de commerce. Lesquels devraient rendre leur verdict le lendemain, 27 mars. Le CSE ne commente pas, mais d’après mes infos, Tillier « n’a pas été convaincant », Pierrot Dupuy « a été plutôt décevant » en répétant à chaque fois qu’il devra consulter Chane-Pane pour certaines questions qui lui ont été posées. Quant à Nijdam, il aurait fait des progrès, me dit-on, depuis sa première offre et semble, contrairement au tout début, avoir captivé un peu plus l’attention de Carole Chane ki Chune. J’ai bien dit l’attention de Carole CKC qui a tout suivi, par visio, depuis son bureau qui se trouve dans le même bâtiment que celui du CSE. Le CSE, qui doit donner un avis, n’est pas encore en mesure de « juger ». On me dit aussi que le patron du JIR, représentant de Newco, n’a pas trop apprécié que le CSE lui rappelle certains souvenirs, ceux précisément du temps où il traitait la déléguée syndicale du SNJ/JIR de « Bécassine ». Il a failli s’énerver. Mais la DRH du JIR lui a doucereusement tapoté l’avant-bras qui s’est retenu, tant bien que mal. Chassez le naturel, il revient au galop ? « … Que s’est-il passé ? Pourquoi ce retrait dans la toute dernière ligne droite de la procédure ? D’après mes informations, le porteur de l’offre de Newco invoquerait « un manque de confiance » avec les élus du CSE du Quotidien » et il n’aurait pas apprécié que certains éléments se retrouvent dans le « Ti Kozman » du vendredi 22 mars. Un peu léger quand même comme justificatif. D’aucuns pensent surtout qu’il n’a pas pu boucler son tour de table. A moins que cette offre était tout simplement un gros coup de bluff ?

Yves Mont-Rouge

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Téléphone : 0692 85 39 64

23 Commentaires

    • Bonjour, je n’avais pas compris pourquoi TILLIER déversait autant de merde. C’est MESRINE qui m’a confirmé qu’à l’époque il lui avait fait plusieurs trous de balle en plus et que c’était pour ça que le père tillier était en diarrhées verbales permanentes. Il paraît que même la gueule pue!

  1. Tillier casse toi de mon pays ! Vous avez apporter la haine !!!! Vous avez rêver d être sénateur pour etre intouchable ? Retourner chez vous ailleurs et oubliez nous ! Que votre bile vous péte en pleine figure ,de grâce allez vous en ….

  2. Bonjour, je n’avais pas compris pourquoi TILLIER déversait autant de merde. C’est MESRINE qui m’a confirmé qu’à l’époque il lui avait fait plusieurs trous de balle en plus et que c’était pour ça que le père tillier était en diarrhées verbales permanentes. Il paraît que même la gueule pue!

  3. Tout était calculé depuis bien longtemps, la création de proto, les difficultés financières du quotidien, journal de l’île tout est planifié, le monopole de la presse une seule liberté d’ expression, la démocratie locale est bafoué, bientôt ce sera le tour d’air austral

  4. Ce Monsieur Tillier est un gros parano!!! je me presente aux senatoriales et: je me dégonfle ! je veux acheter le quotidien et : je me dégonfle !
    soit comme on dit chez nous , ou lé un gros capon, ou soit na rien que de la gueulle !
    arrét ek ça, rentre out case, boire un tisane et dors …

  5. Ce Monsieur Tillier est un gros parano!!! je me presente aux senatoriales et: je me dégonfle ! je veux acheter le quotidien et : je me dégonfle !
    soit comme on dit chez nous , ou lé un gros capon, ou soit na rien que de la gueulle !
    arrét ek ça, rentre out case, boire un tisane et dors …

  6. MAM tu me fais rire !
    « Tillier : pourquoi il déverse autant de merde ? parce que depuis l’affaire Mesrine il a plusieurs trous de balle » ah ah ah ah ah ah ah …
    Mam : tu as beaucoup d’esprit … chapeau !

  7. Je crois que malheureusement c’est cuit…
    Un quotidien ça coûte très très cher à produire à imprimer et à distribuer… Malheureusement c’est comme pour les diligences , la presse va disparaître pour un monde tout numérique

  8. La justice sous les cocotiers, peut être  » Qu’un magistrat soit syndiqué pose déjà un problème au regard de la neutralité dont il se doit de faire preuve … “ Certes, on est toujours le con de quelqu’un “

    Un challenge formidable pour M. Pierrot DUPUIS, ancien journaliste de le Quotidien de 1977 à … ???

  9. Cela faisait un moment qu’il ne lisait plus le Quotidien.

    Une page se tourne, les tractations de dernières minutes au fond d’une cuisine ne sont pas bonnes, ne croit pas en l’équipe de l’offre d’Henri Nijdam et Média Capital.

    Son 1,20 €uros restera à jamais dans sa poche ….

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