Hommage à Joe Dassin le 20 août, à 13h, sur Free Dom 2

2 min de lecture

L’été indien, Et si tu n’existait pas… Le petit pain au chocolat …A toi, autant de belles chansons à mettre au crédit de cet immense chanteur qu’était Joe Dassin. Nous lui rendons un hommage pendant 2h sur Free Dom 2, ce 20 août de 13H à 15H. Deux heures de tubes non stop de Joe Dassin, soyez au RDV !

Sa bio ?

Séducteur raffiné, d’une élégance nonchalante, Joe Dassin a marqué les années 70 avec une série de tubes qui traversent le temps.
Malgré la disparition aussi subite que brutale du chanteur, son public lui reste fidèle et garde, à jamais, l’image souriante de cet homme au parcours exemplAIRe.
Si « L’Amérique » fut l’un de ses grands succès, c’est bel et bien dans ce pays qu’il vit le jour. Fils du grand réalisateur d’origine juive russe Jules Dassin, ses premières années se passent dans une insouciance toute hollywoodienne.

Rencontre avec Bob Dylan

Victime du maccarthysme, son père se voit contraint de déménager. Paris sera sa terre d’asile dans les années 50. A 18 ans, Joe retourne dans son pays natal pour étudier tout en se frottant aux rudesses de la vie active, histoire de payer ses cours d’ethnologie. Un temps disc-jokey, il rencontreBob Dylan , alors à ses tous débuts.

Peu à peu la chanson française l’intéresse puis le captive. De retour en France, une boutade va décider de sa vie… Une amie travaillant pour CBS, label alors quasi inconnu ici, propose, pour rire, de lui fAIRe enregistrer un disque destiné à sa femme. Le staf f de la maison de disque, impressionné par le résultat, tente de convaincre Joe Dassin de son potentiel de chanteur.
Tout d’abord réticent, le jeune homme se laisse convaincre et enregistre alors un véritable 45 tours. Malgré le bide total, le jeune hom me de 26 ans sent cette fois qu’il est fait pour ce métier et décide de persévérer.

Fier de ses origines yankees

En 1966, le titre « Bip Bip » lui confère le statut de vedette. Son image de séducteur tranquille et sa belle voix ample séduisent un public essentiellement féminin.
En digne héritier du perfectionnisme américain, Joe Dassin ne laissera plus rien au h Asa rd. Sa route est désormais ponctuée de grands succès, que ce soit sur disque ou sur scène. « Les Dalton » fait allusion avec un certain humour et à la bande dessinée Lucky Luke et à ses origines yankees.

Très vite il reçoit le Grand Prix de l’Académie Charles Cros et croule littéralement sous les récompenses. Les années 60 s’achèvent à peine que le chanteur triomphe avec « Les Champs-Elysées« .
Impossible désormais de remonter la plus belle avenue du monde sans penser aux paroles adaptées d’un hit américain « Waterloo road » par Pierre Delanoë et qui sera lui-même traduit dans diverses langues, assurant à ce titre un succès planétAIRe.
Malgré une première alerte de santé avec un infarctus en 69, l’artiste refuse de s’apitoyer sur son sort et poursuit ses tournées de plus belle.

Les pochettes de tous les singles de Joe Dassin, entre 1968 et 1972, ont pour point commun original de past Cher des affiches de western. En 1975, nombreux sont les couples qui se sont formés grâce au slow langoureux « L’Eté indien« .
Boby Lapointe, devenu son ami, lui permet de rencontrer Georges Brassens , son idole. Loin du show biz, ce simple dîner restera gravé dans la mémoire du chanteur. Les années suivantes l’image du séducteur au costume blanc continue de séduire avec : « Ça va pas changer le monde« , « A toi ».

Une santé chancelante

En 1979, l’artiste ignore qu’il monte pour la dernière fois sur les planches de l’Olympia, tandis que sort son ultime 45 tours : « The guitar don’t lie« .
Joe Dassin, affaibli, par les attaques cardiaques, contraint Joe Dassin à se reposer sur une île acquise des années auparavant. Un ultime infarctus le terrasse en plein été 80, le 20 août.

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