À La Réunion, en 2020, près de 35 000 logements sont vacants, soit 8,9 % de l’ensemble des logements de l’île, une part proche du niveau national. Suite au plan national de lutte contre les logements vacants de 2021, les zones tendues sont redéfinies. Dans ces zones, les propriétaires de logements vacants sont soumis à une taxe. Neuf communes de l’île sont concernées, dont les trois plus peuplées (Saint-Denis, Saint-Paul, Saint-Pierre). La part de logements vacants y est un peu supérieure à la moyenne régionale. Toutefois, elle est plus élevée encore dans les communes des cirques (Cilaos et Salazie), dans les communes du Sud-Est (Sainte-Rose et Saint-Philippe), à Saint-Benoît et Trois-Bassins.
Entre 2014 et 2020, la part de logements vacants augmente de 8,3 % à 8,9 %. Cette hausse est deux fois plus marquée qu’au niveau national. Elle est plus prononcée dans les communes de l’île où la population baisse ou augmente peu par rapport à la dynamique des logements.
Pour en savoir plus :
« À La Réunion, près de 35 000 logements sont vacants en 2020», Insee Flash La Réunion n° 267, février 2024.
Mi prefere laisse vide et paie la taxe que loué bande macotece et assister de creole
Ah, ou reconnais que les creols sont aussi des makots,mal éduquer, et enplus i rale
pour payer,nous ont n’a nos défauts mais on paye notre loyer.