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Département : les élus débattent du prochain budget de 1,3 milliard d’euros (VIDEOS)

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La session plénière qui se tient depuis 9 heures, en ce mercredi 15 novembre, se déroule au palais de la Source à St-Denis. A l’ordre du jour de la séance figurent plusieurs dossiers dont les orientations budgétaires pour l’année 2024, un avant-goût du prochain budget de la collectivité. Budget qui s’élèvera à 1,3 milliard d’euros. La séance présidée par Cyrille Melchior a débuté par une minute de silence eu égard aux guerres dans le monde.

Le président Melchior a ensuite présenté la nouvelle conseillère départementale qui remplace la socialiste Audrey Bélem, élue sénatrice de la Réunion le 24 septembre dernier.

La nouvelle conseillère départementale s’appelle Alexandra Clain (notre photo ci-dessus). Le président Melchior lit actuellement son discours qui présente la feuille de route de la collectivité pour 2024. Cyrille Melchior a également félicité Sidoleine Papaya, la nouvelle maire de Salazie, qui a pris le relais de Stéphane Fouassin, lui aussi élu sénateur le 24 septembre dernier.

Le budget du Département pour 2024 sera de 1,3 milliard d’euros avec une augmentation de plus de 250 millions d’euros par rapport à cette année. Comme l’a souligné Jeannick Atchapa, vice-président délégué aux finances, « cela est dû à la recentralisation du RSA depuis 2020 ». Jeannick Atchapa a également insisté sur le fait que « le Département est bien géré, la collectivité est peu endettée ».

Quelles sont les grandes lignes de ces orientations budgétaires. Yves Mont-Rouge a posé la question au président du Département, Cyrille Melchior. Ecoutez sa réponse :


Voici la présentation des orientations budgétaires 2024 faite par le président Cyrille Melchior à travers son discours. « Les orientations budgétaires seront un marqueur fort de notre mandature puisqu’elles correspondent à la période de mi-mandat.
C’est l’occasion pour moi de vous remercier toutes et tous, élus et administratifs, pour la qualité du travail mené depuis notre installation.
Nous avons su garder intacte cette philosophie qui a toujours gouverné notre assemblée, celle du bien travailler ensemble dans le respect des paroles et des points de vue de chacun, sans invective et surtout, dans une démarche collégiale exemplaire qui nous permet d’avoir des débats riches et constructifs autour de ces orientations budgétaires.
Ce que nous pouvons retenir de ces orientations, c’est d’abord qu’elles s’inscrivent dans un contexte financier particulier. Après trois années de hausses successives, liées notamment à la recentralisation du RSA en 2020, nous atteignons aujourd’hui un point d’équilibre. Cela nécessite une gestion maîtrisée de nos finances compte tenu de la hausse continue des dépenses relatives aux allocations individuelles de solidarité, APA et PCH notamment.
Le vieillissement de la population et l’augmentation des publics en situation de handicap impactent en effet directement nos capacités financières.
J’ai déjà alerté au niveau national sur l’inadéquation des recettes départementales au regard de nos compétences. Je plaide notamment pour un meilleur financement par la CNSA des dépenses en faveur des personnes âgées et en situation de handicap, aujourd’hui compensées de manière inéquitable pour l’Outre-mer.

C’est un sujet que j’ai d’ailleurs eu l’occasion d’évoquer avec le Président de la République lors d’une réunion organisée à l’Elysée le 20 octobre dernier. La mobilisation semble porter ses fruits puisque j’ai reçu récemment la confirmation du ministère des Solidarités et des Familles d’une réforme du mode de financement en 2025. Mais dès 2024, un coup de pouce exceptionnel sera accordé aux Départements en situation de fragilité. Nous serons donc attentifs à ce que les prochaines lois de financement de la sécurité sociale soient porteuses de ces avancées.
Finalement, le budget 2024 nous incite à avoir une gestion rigoureuse et responsable des deniers publics tout en marquant une nouvelle fois un niveau d’intervention élevé du Département pour notre île. Notre Collectivité s’attachera ainsi à continuer à coconstruire un territoire solidaire, en mettant au cœur de ses politiques publiques l’humanité réunionnaise et une certaine vision du développement harmonieux et ambitieux du territoire.
À commencer par la proximité renforcée qui constitue un des axes majeurs de notre mandature en rénovant et en innovant dans notre action au plus près des territoires.
La Caravane d’accès aux droits et à l’information illustre parfaitement cette volonté d’« aller vers » les populations de chaque microrégion, et surtout des zones les plus reculées. Il s’agit de donner à chaque citoyen toutes les possibilités de bénéficier de services adaptés à ses besoins.
Cette démarche innovante a permis la mise en circulation de 3 caravanes en 2023. Nous amplifierons cette dynamique en 2024 en renforçant le maillage territorial par la création de « villages de caravanes multi partenariales ». Ceux-ci offriront l’écoute et l’accompagnement le plus large possible aux Réunionnais, sur les thématiques sociales, l’aide alimentaire ou encore la lutte contre les addictions et les violences.
Cet engagement sera couplé à d’autres mesures de proximité initiées par le Département, notamment la mobilisation des dalons de quartiers et des éducateurs de rue.
Le plan départemental de prévention et de lutte contre les violences intrafamiliales, qui sera déployé en 2024, sera aussi un des fers de lance de l’action publique départementale.
Il intégrera lui aussi un volet partenarial de proximité, afin que nous puissions agir au plus près des familles réunionnaises, et prévenir toutes les formes de violences.
2024 sera également la première année de pleine mise en œuvre du cadre rénové d’aide au transfert sanitaire et au rapatriement des défunts. Sujet faisant partie des priorités de la mandature, nous proposons un dispositif adapté, faisant intervenir tous les partenaires
de manière collaborative et intelligente afin d’offrir le meilleur accompagnement aux familles.
La solidarité départementale envers les familles réunionnaises est d’ailleurs au cœur même de notre action, à travers l’aide à l’amélioration de l’habitat avec l’objectif d’amplifier encore nos livraisons de chantiers l’année prochaine. C’est aussi et surtout une politique renforcée en faveur des personnes âgées ou en situation de handicap, avec la mise en œuvre du Plan Départemental d’évolution de l’offre visant à augmenter qualitativement et quantitativement les structures d’accueil adaptées.
Sur ce point, je rappelle que j’avais signé il y a un an avec l’ancienne ministre Geneviève Darrieussecq un protocole engageant une nouvelle dynamique dans l’accompagnement des Réunionnais en situation de handicap, « pour une société plus inclusive ». Ce protocole prévoyait notamment de faciliter l’accès aux droits à travers la MDPH, la transformation de l’offre médico-sociale, le soutien à un habitat plus inclusif et à une école inclusive, l’aide à l’insertion des Réunionnais en situation de handicap, l’accompagnement des proches aidants, et un volet spécifique relatif aux enfants de l’ASE.
En mai dernier, la Première Ministre Elisabeth Borne en visite à La Réunion a notamment annoncé le soutien de l’Etat par l’accompagnement financier dans la construction de 5 nouveaux EHPAD. L’Etat vient également de nous assurer de son soutien dans le cadre
d’un plan de rattrapage pour l’accueil des personnes porteuses de
handicap. J’ai signé une déclaration d’intention en ce sens, vendredi dernier, avec la Ministre déléguée Fadila Khattabi, qui permettra d’amplifier nos actions sur plusieurs volets, notamment :
– Le renforcement de l’accès au diagnostic et à la prise en charge précoce des déficiences avec notamment la mobilisation de nos PMI dans le travail de repérage à domicile et dans ses centres, ainsi que l’orientation des enfants de moins de 6 ans pour lesquels une situation de handicap est détectée ;
– L’accompagnement à l’autonomie des adultes vivant avec un handicap et le vieillissement des personnes à travers le financement de places de MAS, de FAM, de SAMSAH, de
SAVS, et de FAO, en intégrant une stratégie de développement hors les murs. Au titre de l’habitat inclusif, le Département s’engage à ouvrir 65 nouvelles mesures dont 25 au titre du handicap sur la période 2024 – 2028 ;
– Un des volets porte aussi sur la santé des personnes vivant avec un handicap avec des avancées significatives sur un dossier important pour nous, à savoir la prise en charge spécifique des enfants de l’ASE atteints d’un handicap, notamment en matière
de pédopsychiatrie.

Pour y parvenir, ce plan prévoit un effort conjoint sans précédent, grâce à une dotation nationale de 47 millions d’euros, 37 millions d’euros en fonctionnement, et 10 millions d’euros en investissement, et un engagement financier du Département à hauteur de 29 millions d’euros, pour la création de places nouvelles.
Rendez-vous compte que cette aide de l’État constitue le tiers de l’enveloppe de 150 millions d’euros consacrée par le CIOM en faveur du handicap dans les Outre-mer.
Je me félicite de cette avancée significative qui s’inscrit dans un travail au long cours qui va bien évidemment se poursuivre avec le Gouvernement, le Préfet et l’ARS dans le cadre la mise en œuvre du Projet régional de santé 2023 – 2033. Ce dernier confirme la volonté
territoriale d’accentuer les efforts en matière d’inclusion et de prise en charge du handicap et matérialisée par l’organisation récente d’un Conseil national de la refondation consacrée au handicap. Je saisis cette occasion pour me faire l’écho d’une préoccupation importante qui a émergé des débats de ce CNR durant lesquels il a beaucoup été question de la problématique des déplacements des personnes en situation de handicap au quotidien.
Aussi, je lance un appel aux Collectivités en charge des déplacements afin que cette question soit prise en compte et des solutions adaptées rapidement apportées.
Pour en revenir aux orientations budgétaires, la petite enfance demeure aussi une priorité avec le travail qui se poursuivra au sein de l’Observatoire départemental de la petite enfance et la finalisation des travaux de réhabilitation du foyer de l’enfance de Terre rouge.
Ce qui me permet d’évoquer le sujet de la jeunesse réunionnaise, une jeunesse qui a besoin de visibilité, d’accompagnement et de soutien sur un territoire au contexte socio-économique hors norme. Le Département continuera à accompagner les collèges dans le
déploiement du numérique et la réussite des collégiens.

« La Réunion accueillera le 12 juin 2024 la Flamme Olympique »

Il s’agit surtout pour notre Collectivité d’offrir à la jeunesse les leviers lui permettant une réelle insertion. L’Académie des Dalons poursuivra son travail d’accompagnement exemplaire et nous irons plus loin, conformément au plan départemental en faveur de la réussite des jeunes, en amplifiant les actions dans le sud et l’est de l’île en 2024.
Ce plan prévoit aussi de mettre l’accent sur l’éducation populaire en offrant à nos jeunes une autre manière de s’impliquer dans la vie de leur quartier. Parce que le jeune d’aujourd’hui est le citoyen de demain, le Département créera en 2024 l’Institut citoyen
d’apprentissage à la vie publique (ICAP), outil au service d’une jeunesse éclairée.
Eclairer les Réunionnais, c’est éclairer notre territoire, en faisant connaître notre histoire, en diffusant notre culture, et en soutenant l’excellence sportive locale.
Sur ces trois axes, le Département sera particulièrement impliqué avec la poursuite du chantier de transformation du musée de Villèle en musée de l’Habitation et de l’Esclavage, la mise en œuvre de la délégation de service public des théâtres départementaux, et la
préparation des Jeux olympiques et paralympiques 2024, à Paris.
Sur ce sujet, La Réunion accueillera le 12 juin 2024 la Flamme Olympique. Le Département souhaite faire de cet évènement un moment de partage, de rassemblement et de fête autour des valeurs du sport.
Nous honorerons le sport réunionnais dans toute sa richesse, ce qui se traduit très concrètement par un soutien accru aux sportifs à travers un nouveau cadre d’accompagnement validé en 2023. Le Département poursuivra par ailleurs la mise en œuvre de sa politique agricole, conformément aux orientations du Plan AgriPéi 2030, avec l’ambition demeurée intacte de tendre à moyen terme vers l’autonomie alimentaire, de promouvoir les circuits courts et la production réunionnaise à travers la marque « 100% La Réunion » qui accueille en fin d’année 80 adhérents.
Afin que des moyens efficaces puissent être mobilisés en faveur de cette ambition, les actions conduites dans le cadre du Plan AgriPéi 2030 feront l’objet d’une évaluation en vue d’un réajustement de l’accompagnement des agriculteurs et des filières, à l’aune de la mise
en œuvre du nouveau programme FEADER 2023 – 2027.
La politique agricole étant intimement liée à la politique hydraulique départementale, la Collectivité s’attachera à poursuivre son programme d’aménagement afin de satisfaire les besoins en eau des exploitants, notamment dans le cadre du programme PISUD, des
opérations PRODEO et du projet MEREN.
En ce qui concerne l’aménagement, le Département continuera d’investir fortement sur le territoire afin de le rendre plus résilient face aux effets du changement climatique et plus attractif pour les Réunionnais et les touristes.
L’effort sera maintenu pour aménager et sécuriser le réseau routier départemental à travers notamment le plan de suppression des radiers et de traitement des falaises.
La politique d’aménagement des grands sites naturels franchira une nouvelle étape avec la livraison du nouveau gîte du Volcan et le démarrage du réaménagement du belvédère du Maïdo.
La Collectivité maintiendra par ailleurs son soutien aux communes pour la création d’équipements de proximité grâce au Pacte de Solidarité Territoriale, apportant ainsi un soutien significatif supplémentaire au secteur du BTP.
En 2024, le Département déclinera son plan de transition écologique et solidaire, avec l’installation de nouvelles centrales photovoltaïques sur les bâtiments départementaux et de microcentrales sur les infrastructures hydrauliques, la poursuite de la mise en œuvre du plan 1 million d’arbres endémiques et indigènes, le verdissement de sa flotte automobile, et la continuation de l’expérimentation du tri des déchets de bureau. Les collèges seront bien évidemment associés à cette dynamique, à travers notamment la valorisation des biodéchets et l’installation de récupérateurs d’eau de pluies dans 12 établissements.
Nous voulons mettre l’enjeu écologique au cœur de l’agenda politique réunionnais, et au cœur des politiques d’aménagement que nous portons. Nous ne pouvons plus, et ne devons plus construire et aménager, sans prendre en compte la dimension de préservation et de
valorisation de la biodiversité.
Dans les forêts, notamment nos espaces naturels sensibles, l’ambition du Département, au travers de notre plan « 1 Million d’Arbres pour La Réunion », est d’œuvrer pour la préservation de cette biodiversité exceptionnelle de La Réunion via la lutte contre les espèces exotiques envahissantes, mais aussi avec des opérations de plantations d’espèces
indigènes dans les milieux naturels et dans les zones urbanisées.
Ainsi, le Département entend non seulement améliorer le cadre de vie des Réunionnais mais aussi favoriser la reconquête de la biodiversité jusque dans les quartiers, et participer à la renaturation tant nécessaire de La Réunion.
Cette démarche est un véritable succès. Et cela est rendu possible grâce à un environnement partenarial qui répond aux besoins du plan. Je pense bien évidemment aux 15 communes avec qui nous avons déjà conventionné, et à celles qui doivent nous rejoindre
prochainement. Je pense aussi, à notre réseau de pépiniéristes, aux acteurs tels que l’ONF, le Conservatoire botanique de Mascarin ou encore la SPL EDDEN, qui est le bras armé de notre collectivité pour atteindre nos objectifs. Le plan est aujourd’hui dans une phase d’accélération avec une multiplication des opérations de plantation. D’ici à la fin de cette
année, nous comptabiliserons plus de 210 000 plants mis en terre.

A partir de 2024, en parallèle des actions menées avec nos partenaires, avec qui nous avons d’ores et déjà conventionné pour la plantation de 600 000 arbres, le Département lancera chaque année une opération de plantation de 100 000 arbres indigènes dans nos espaces naturels sensibles, afin d’amplifier la mise en œuvre du plan et respecter nos
engagements à l’horizon 2027. Parce qu’il ne peut y avoir de développement de La Réunion sans co- développement régional, le Département s’inscrira résolument dans la
stratégie nationale de coopération indopacifique.
Nous renforcerons nos partenariats avec les pays de la zone à travers des programmes tournés vers la solidarité, la culture, le sport, l’insertion, ainsi que les aménagements hydrauliques et agricoles.
Enfin, dans le cadre de sa volonté de valoriser l’engagement citoyen, le Département lancera en 2024 la 2 ème édition du BIC (Budget d’initiative citoyenne) après le franc succès en 2023 de la première édition, avec plus de 100 projets reçus pour 55 soutenus.
En cette année des Jeux olympiques où notre île vibrera à l’unisson du monde autour des valeurs de l’olympisme, le Département s’attache à construire La Réunion d’aujourd’hui et de demain en jouant collectif, et en faisant sien cette citation du baron Pierre de Coubertin, père des JO modernes, « voir loin, parler franc, agir ferme ».

Serge Hoareau : « créér une ferme départementale… »

Place au débat à présent sur les OB. Serge Hoareau, vice-président délégué à l’agriculture a rappelé les objectifs du Département à savoir : mettre en production le foncier agricole (800 ha toujours en friche) afin d’encourager l’installation des jeunes agriculteurs; Poursuivre notre soutien à la production locale; Développement du bio; Accentuer nos efforts en faveur des circuits courts; Participer aux Plans alimentaires territoriaux. Enfin, Serge Hoareau a annoncé que le Département nourrit l’ambition de pouvoir créer une ferme départementale afin de pouvoir offrir un sas aux jeunes pour qu’ils puissent continuer à se professionnaliser.

Monique Orphé : « la gestion du Département est saine »

Après Serge Hoareau pour l’agriculture, plusieurs autres élus ont pris la parole : Fabiola Lagourde pour l’insertion; Jean-Marie Virapoullé pour le volet social (la plus grosse compétence du Département); Viviane Ben Hamida concernant également la politique sociale; Sophie Arzal pour la jeunesse; Eric Ferrère pour le développement durable; Gilles Hubert pour la politique de l’eau, Brigitte Adam pour les travailleurs sociaux , Jean-François Hoareau pour l’accompagnement des élèves en situation de handicap et pour « une vraie réforme de la MDPH », Nassimah Dindar à qui le président Melchior va confier la délégation « coopération internationale » et Monique Orphé qui a fait des propositions au Département, même si elle estime que « la gestion de la collectivité départementale est saine ». Ecoutez la conseillère départementale de Saint-Denis :

5 Commentaires

  1. Vraiment des faux culs ces oiseaux de haute augure !!! Complice avec des pseudos gestionnaire . Profitez et quand le caca est la c’est le peuple qui souffre . Ils s’en sortent la tête haute . Arrêtez de massacrer votre peuple !!!?! Vous n’êtes réellement pas des tuteurs . Dommage et j’en souffre .

  2. ces orientations confirment la volonté du Département de maintenir un haut niveau de solidarité et montrent que le Département est conscient des enjeux auxquels est confrontée la Réunion. Elles témoignent de la volonté du président Melchior de construire un département plus solidaire

  3. Quand on voit l’atmosphère qui règne au département, et la visite ministérielle de la semaine dernière, en tant que maman d’enfant porteur de handicap, j’ai envie de dire merci! Et c’est rare de voir cela à la réunion. Souvent les élus se bagarrent pour rien. Là on voit qu’on bosse pour nous. Il y a encore tant de choses à faire, mais merci pour le chemin parcouru.

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