Le mouvement de colère des policiers marseillais continue de prendre de l’ampleur. Ils protestent contre le placement en détention provisoire d’un de leurs collègues soupçonné de violences policières. Suite à l’appel de certains syndicats, des fonctionnaires, principalement des unités de voie publique, ont commencé à observer des arrêts maladie. Cependant, le mécontentement s’est rapidement propagé de manière spontanée dans toute la ville de Marseille.
Selon Eddy Sid, délégué de l’Unité SGP Police-Force ouvrière, des centaines de fonctionnaires sont actuellement en arrêt maladie, mais le nombre exact est difficile à déterminer car ce mouvement n’est pas organisé par les syndicats. Les policiers en arrêt maladie ne sortiront désormais que sur réquisition pour répondre aux appels d’urgence (17) ou lorsqu’ils sont requis par une victime nécessitant de l’aide.
Les autorités n’ont pas fourni de chiffres officiels concernant ce mouvement de protestation, mais selon les syndicats, entre 300 et 500 policiers se sont mis en arrêt maladie dans les Bouches-du-Rhône.
Cette grève a également touché les départements du Vaucluse, des Alpes-Maritimes, du Gard et du Var au cours des deux derniers jours. Les Bouches-du-Rhône comptent environ 4 200 policiers, dont près de 2 000 à Marseille.
En faisant ça (tous ces arrêts) zot y croient « déstabiliser » l’institution de la justice? » Nul n’est au dessus des lois » fait rentre ça bien dan zot coco. Y aim bien dit ça zot « c’est moin la loi mi fait la loi » c’est juste un taf. Qd ou déconne dan out taf faut bien qui applique. Paraît que nena de groupuscule la pou essaye chavire toussa.
Kiki quel groupuscule tu parles,tu nous intrigue et interesse