Le pass sanitaire est désormais imposé au travail pour 1,8 million de salariés dans les restaurants, cinémas, musées ou encore les trains des grandes lignes.
L’employeur aura l’obligation, jusqu’au 15 novembre, de vérifier la validité de ces pass « salariés » qui sont en contact avec le public.
Le pass est validé par un schéma vaccinal complet, un test négatif datant de moins de 72 heures ou une attestation de rétablissement du Covid-19.
Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a promis “une semaine de souplesse” avant d’éventuelles “sanctions” pouvant aller jusqu’à la fermeture administrative.
Les salariés dépourvus de ce sésame pourront prendre des congés, télétravailler, être affectés à un poste ne nécessitant pas de pass ou être suspendus sans solde.
“Si au bout de plusieurs semaines”, certains “ne sont toujours pas sous pass sanitaire”, l’entreprise “rentrera dans un système de suspension du contrat de travail”, ce qui est “une décision lourde”, a souligné Benoît Serre, vice-président de l’Association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH).
Tous les syndicats ne sont pas du même avis sur cette nouvelle obligation. Si la CFDT avait approuvé cet été le texte, FO a dénoncé la possible suspension des contrats de travail comme une “sanction lourde”.
Dans tes fantasmes Bolo…tu dois le kiffer à mort…
Et en plus il sera réélu en 2022
Trop fort
le torchon brule entre la population et nos injecteurs fous
Macron allez fait pique à ou
C est clair je me ferais pas vacciner,point barre ce n est pas un homme pas plus haut que trois pommes qui va m y obliger,bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondiale on se laissera pas faire ,a chacun son choix
Qu’en est-il des policiers et gendarmes qui vont nous contrôler , sont-ils vacciner ? peut-on leurs demander de présenté leur pass où test avant d’entré dans un établissement . Il semble que la loi est pour tous donc chaque citoyens doit le respecter.