« Résorption des dépôts sauvages » et « embellissement de l’environnement » : une opération menée conjointement par la municipalité de Bras-Panon avec la Cirest et la Semac. Le bailleur social lance un programme d’actions en vue de la résorption des dépôts sauvages aux abords des groupes d’habitation.
Une action a eu lieu justement ce matin à la Résidence Augustin Panon, allée des Capucines dans le quartier de la Rivière-des-Roches à Bras-Panon. Ecoutez Charles Maillot, 5e adjoint au maire de Bras-Panon, délégué à l’environnement et au développement durable et Jean-Jacques Marcély, coordonateur du CLSPD (Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance). Ils répondent aux questions d’Yves Mont-Rouge :
Auparavant, plusieurs actions avaient déjà été mises en place à Saint-André et dans d’autres communes de la Cirest, mais cette année, comme l’explique Gildas Poulaye-Lila, chargé de gestion « Maintenance et Gestion » à la Semac, les efforts seront concentrés sur Bras-Panon.
Comme l’ont souligné les divers interlocuteurs ci-dessus, le but de cette opération étant de lutter contre les dépôts sauvages aux abords des habitations, de sensibiliser les familles et leurs enfants à la protection de leur cadre de vie, de leur environnement en sachant que ces dépôts sauvages peuvent être la cause des maladies car ils attirent les moustiques et autres nuisibles (rats…).
Outre les représentants de la Semac, de la Cirest, de la police municipale de Bras-Panon, du CLSPD, des élus, Corinne Ninfort était également présente sur les lieux. Elle est chargée de coopération de la Convention territoriale globale au sein de la mairie de Bras-Panon, référente du Pacte de transition citoyenne sur le territoire panonnais et référente du Pacte de Solidarité Territoriale (PST). « Notre rôle est d’amener la population à s’exprimer avec laquelle nous travaillons sur les problématiques sociales qui peuvent survenir. Notre objectif est de donner du sens et d’apporter de la cohérence dans les actions sociales sur le territoire afin de tendre, non pas vers le vivre ensemble qui existe déjà, mais vers le mieux vivre ensemble car nous sommes tous connectés et, de par un travail sur le changement de nos comportements, de nos gestes au quotidien, nous serons en mesure de faire émerger l’essence même du territoire sur lequel nous vivons, en amenant tous les acteurs à travailler ensemble ».
