Au 08/09/2022 à 12h, 3 785 cas confirmés d’infections autochtones par le virus Monkeypox ont été recensés en France. La répartition des cas par région de résidence (ou par région de signalement lorsque la région de résidence est inconnue) est la suivante : 2 311 en Ile-de-France, 305 en Occitanie, 257 en Provence-Alpes-Côte d’Azur, 244 en Auvergne-Rhône-Alpes, 182 en Hauts-de-France, 135 en Nouvelle-Aquitaine, 92 en Grand Est, 80 en Pays de la Loire, 44 en Normandie, 37 en Centre-Val de Loire, 37 en Bretagne, 29 en Bourgogne-Franche-Comté, 7 en Martinique. Pour la Corse, la Guadeloupe, Mayotte et Saint-Martin, chacune de ces régions présentaient moins de 5 cas. 20 cas résident à l’étranger.
La très grande majorité des cas confirmés adultes recensés à ce jour sont de sexe masculin et 73 cas (1,9%) sont de sexe féminin. Neuf enfants de moins de 15 ans ont été déclarés. Les cas adultes ont un âge médian de 36 ans ; 25% des cas adultes ont moins de 29 ans et 25% ont de 43 à 81 ans.
La distribution des cas selon la date de début des symptômes (lorsque celle-ci est connue) est présentée en figure 1. Compte tenu des délais de déclaration, les données des dernières semaines ne sont pas consolidées. Les déclarations reçues ne mentionnent pas toujours la date de début des symptômes. En alternative de cette information, la distribution des cas selon leur date de signalement est présentée en figure 2.
voici un exemple de ce que Google va censurer, il s’agit pourtant d’une étude SCIENTIFIQUE qui démontre que les allégations selon lesquelles les protéines de pointe vaccinées et les nanoparticules lipidiques cationiques disparaissent après quelques jours sont fausses. « En résumé, la plate-forme de vaccin mRNA-LNP provoque des changements immunologiques inattendus à long terme qui affectent à la fois la réponse immunitaire adaptative et la protection hétérologue contre les infections. Nos études montrent clairement que d’autres recherches sont nécessaires pour déterminer l’impact réel de cette plate-forme sur la santé humaine. » Voici l’étude : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2022.03.16.484616v2
Selon les documents publiés le 31 août 2022 par le journal The Epoch Times, plus de 50 responsables de l’administration du président Biden issus d’une douzaine d’agences, ont été impliqués dans des efforts pour faire pression sur les entreprises de médias sociaux afin que celles-ci luttent contre « la désinformation » présumée. L’objectif : censurer les opinions qui vont à l’encontre du narratif selon lequel le vaccin « sûr et efficace » est la seule possibilité de venir à bout de l’épidémie de Sars-CoV-2.
Les documents ont été révélés dans le cadre d’un procès intenté contre l’État fédéral par les procureurs du Missouri et de la Louisiane qui accusent le gouvernement d’être à l’origine de la censure des Américains en désaccord avec le récit officiel sur le Covid.
La pression du président américain sur les GAFAM
rust bon toutou..