Violences « importées » de Mayotte : « ça va péter à la Réunion, tu verras ! »

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Arrêt sur images pour commencer. C’était hier matin, jeudi 28 mars, au parc du Colosse. La semaine régionale de l’emploi organisée par France Travail. Durant toute la semaine, les services de France Travail ont fait le tour de l’île, avec leurs partenaires (Mission Locale et CCIR) ainsi que les employeurs en recherche de main d’œuvre (il n’y en a pas beaucoup malheureusement) pour proposer des offres d’emplois aux chômeurs. Une belle initiative. France Travail a fait son job. La foule a été au rendez-vous aux quatre coins de l’île. Comme ce fut le cas hier au Parc du Colosse. La semaine régionale s’achève aujourd’hui, vendredi, à Bras-Panon.

Des files d’attente devant des guichets pour essayer d’obtenir un emploi. Bravo pour le succès de la semaine de l’emploi. Un succès qui cache, cependant, une triste réalité, celle de nombreux jeunes et moins jeunes, parmi lesquels des pères et des mères de famille, qui sont chômage. Des jeunes et moins jeunes souvent diplômés (Bac + 2 + 3) prêts à accepter un emploi de caissière ou autres dans une grande surface pour vivre ou survivre. Nous sommes en 2024. Notre île compte 115 000 chômeurs. Des milliards, via la France et l’Europe, y sont pourtant déversés chaque année ; Ils profitent aux entreprises, souvent aux grandes.

Malgré tout, la courbe du chômage ne fait que croître.  Le « patriotisme économique » pour voler au secours des grandes entreprises à coups de millions d’euros, c’est bien, mais à quand le « patriotisme social », pour éviter les files d’attentes interminables lors de la semaine régionale de l’emploi ou dans les agences de France Travail ?

Ce n’est pas du tout la voie que semble emprunter ce gouvernement, suite à ce que vient d’annoncer le Premier ministre Gabriel Attal, dans la cadre de son projet de réduction du déficit de la France qui s’établit aujourd’hui à 5,7% du PIB (produit intérieur brut), soit 154 milliard d’euros. Sans compter que la dette s’élève à 3200 milliards d’euros, soit presque 111% du PIB. Le gouvernement veut ramener ce déficit en dessous des 3% en traquant les chômeurs… Devinez qui va devoir davantage se serrer la ceinture ?  Sur la taxation des grands profits, du grand capital, le Premier ministre a précisé qu’il n’avait pas de position dogmatique. A vrai dire, on ne lui demande pas d’avoir une position, on lui demande d’agir.

Une cinquantaine de journalistes bientôt sur le carreau à la Réunion

C’est bizarre, mais à chaque qu’il s’agit de taxer le grand capital, les gouvernements (droite, gauche, centre) préfèrent mettre la pédale douce quand on parle des grandes entreprises qui excellent dans l’art du chantage à la délocalisation et donc à l’emploi. C’est un peu pareil chez nous, à la Réunion. Raison pour laquelle, certaines collectivités n’hésitent pas à ouvrir le porte-monnaie des contribuables, au nom du « patriotisme économique ». C’est simple, nos élus se font élire par le peuple et, une fois au pouvoir, ils se mettent au service du « système ».

En parlant d’emplois, une cinquantaine de journalistes devraient se retrouver bientôt sur le carreau. Le 3 avril, le JIR, qui a été mis en redressement judiciaire, devra présenté son plan de restructuration. Pour tenter de survivre, il lui faudra passer par la case suppression d’emplois. Une quinzaine de journalistes sont concernés. Le Quotidien, quant à lui, sera fixé sur son sort le 3 avril également, date à laquelle, le tribunal du commerce de Saint-Denis fera connaître sa décision quant à la reprise du journal.

D’après ce qui a été dit mercredi dernier lors de l’audience du tribunal du commerce, sur les deux repreneurs en lice, c’est le groupe ICP-Roto d’Alfred Chane-Pane qui semble avoir tapé dans l’œil des juges et de la subtitut du procureur. Laquelle qui, manifestement, est tombée sous le charme de la rotative toute moderne de Chane-Pane, qui paraît-il n’aurait rien à envier à celle du Figaro. Laquelle magistrate, avant même de penser aux emplois, préfère miser sur la pérennité de l’entreprise Quotidien, qui pourrait donc être reprise sans journalistes puisqu’Alfred Chane-Pane l’a dit : il reprend sans les 36 journalistes de la boîte. Un journal sans journalistes, c’est assez original !

Mais le repreneur potentiel a fait comprendre qu’il pourra s’appuyer sur les journalistes de Zinfos 974 de Pierrot Dupuy et sur des étudiants d’une école de journalisme (il n’a pas précisé laquelle), sans compter l’Intelligence artificielle pour faire un Quotidien, un journal sans « SSS » (sang, sexe et scandale). Sans trop vouloir anticiper sur la décision du tribunal de commerce prévue le 3 avril prochain, tout laisse à penser que Média Capital d’Henri Nijdam, qui avait prévu de reprendre le Quotidien et une quinzaine de journalistes, sera « bordé » au profit de Chane-Pane et de ses investisseurs parmi lesquels, on retrouverait plusieurs grands noms de l’économie locale tels qu’Isautier, Deleflie, Cadjee…

J’emploie le conditionnel car Alfred Chane-Pane garde toujours le mystère sur la composition de son tour de table, alors que Nijdam, tel Jésus qui multiplie les petits pains et les poissons, a expliqué au tribunal pouvoir mettre sur la table, comme ça, presque d’un coup de baguette magique, la quantité d’argent qu’il le faudra pour la reprise du journal de Carole Chane-Ki-Chune qui, à l’image de l’administrateur judiciaire et de la substitut du procureur, semblent avoir une préférence visible et audible pour l’imprimeur réunionnais. Lequel, si on en croît certains de ses collaborateurs, ne désespèrent pas de mettre bientôt la main sur l’autre journal, celui de Tillier, avec qui il a quelques petits comptes à régler.

Pour l’instant, ses collaborateurs et lui attendent que le JIR tombe comme un fruit avant de le ramasser. Les jours du journal seraient comptés, d’après ce qui se dit dans le microcosme des affaires. A ce propos, je note que Jacques Tillier, qui s’était positionné comme repreneur potentiel du Quotidien, s’est finalement retiré au dernier moment. C’était pareil lors des dernières sénatoriales. Le bluff, ça marche parfois mais pas tout le temps !

Violences urbaines : le préfet va interdire des interdits ?

Venons-en maintenant au sujet du jour, qui risque fort d’être d’ailleurs le sujet de l’année. Je veux parler de ces scènes de violences qui se produisent de plus en plus dans notre île reconnue jusqu’ici pour son « vivre ensemble ». Mais le préfet de la Réunion, après avoir entendu les cris poussés ces derniers jours par l’ensemble de nos élus locaux (les maires) et nationaux (certains députés comme Jean-Hugues Ratenon et Perceval Gaillard notamment) et avant même la tenue de la réunion du 3 avril prochain en préfecture, a préféré dégainer (ce n’est peut-être pas le bon verbe par les temps qui courent) quelques mesures comme l’interdiction du port et du transport d’armes ainsi que les combats de rue. Personnellement, j’étais persuadé qu’on n’avait pas le droit de se balader avec des armes, ni de se bagarrer dans les rues, mais faut croire que non ! En tout cas, force est de constater que les autorités commencent à bouger. Il était temps ! Elles vont avoir du pain sur la planche. J’avoue, d’un point de vue personnel, n’avoir pas non plus pris très au sérieux, cette montée de violence dans notre île.

Je vous dis ça parce que les récentes flambées de violences survenues dans certains quartiers de Saint-Denis et à Bras-Fusil à Saint-Benoit, m’ont rappelé ce que m’expliquait, il y a quelques mois déjà, (j’ai gardé les textos ainsi que les messages vocaux) une amie mahoraise, qui travail dans le social et qui vit entre la Réunion et Mayotte.  Elle me disait : « Les Réunionnais font l’amalgame, volontairement pour certains parce qu’il y a quand même un fond raciste, et par facilité, pour d’autres, parce qu’il leur faut trouver un bouc émissaire. C’est facile de pointer du doigt toute une communauté. Le problème ne provient pas des familles mahoraises qui, pour fuir la misère et la violence règnant à Mayotte, ont pris la direction de la Réunion, département français beaucoup plus développé que leur île. La Réunion est département depuis 1946 alors que Mayotte ne l’est que depuis 2011 seulement. Ces familles là, dans leur grande majorité, tentent autant que faire se peut de s’adapter.  Elles n’ont évidemment pas vos habitudes, pas votre culture, mais elles sont en paix à la Réunion et font tout pour s’intégrer. Sur ce plan, les Réunionnais, qui sont eux-mêmes de sang mêlé, devraient les comprendre. La Réunion est faite d’apports de plusieurs continents. Là où le bât blesse, c’est au niveau de ces enfants envoyés par les familles mahoraises chez les taties et les tontons mahorais installés à la Réunion et qui sont très nombreux à rentrer chez vous. Ces marmailles arrivent à la Réunion, mais au terme de quelques années, les tantes et oncles perdent complètement la main. Ils sont dépassés par les événements. Les mineurs sont alors placés dans des foyers. Trop de marmailles à gérer. Ces derniers grandissent alors sans les parents, sans les tuteurs légaux. Ils sont livrés à eux-mêmes, se retrouvent complètement en déshérence, souvent dans la rue car ils fuient les foyers et autres centres d’accueil. Ils deviennent ce que vous appelez des mineurs isolés. Ils n’ont plus de code, ils évoluent sans repère, ils n’ont aucune idée de l’autorité, ils sont sans foi, ni loi. Ils sont même souvent accaparés par plus grands qu’eux, les petits chefs, les caïds dans certains quartiers, pour former ainsi des bandes qui vont instaurer un climat d’insécurité dans les quartiers où ils habitent, vont organiser des trafics de drogue en recrutant de jeunes dealers et de prostitution avec des gamines de 14-15 ans, dans les sous-sols des immeubles où les bailleurs sociaux ont (volontairement ?) regroupés toutes les familles mahoraises. Ces jeunes vont développer un business malsain. Ces bandes pourraient également se transformer, au fil du temps, en gangs surtout s’ils sont pris en main par des anciens détenus, ces prisonniers de Mayotte, dits dangereux, que les autorités mahoraises envoient dans les prisons réunionnaises car les prisons sont pleines à craquer à Mayotte. Une fois qu’ils ont purgé leur peine, ces jeunes caïds, français faut-il le rappeler, sont lâchés dans la nature. Ces jeunes-là n’ont aucune idée de ce qu’est la loi, le respect d’autrui. Ils coursent sans gêne des policiers, des gendarmes, caillassent ,comme si de rien n’était des véhicules de police ou de gendarmerie. Ils n’en ont rien à cirer. Même pas peur de l’uniforme ».

Patrice Selly, maire de Saint-Benoit, discutant avec un jeune Mahorais à Bras-Fusil. (Crédit photo : Y.M)

C’est ce que m’écrivait mon amie mahoraise, il y a déjà quelques mois. Des messages que j’ai remis bout à bout. J’avoue qu’à ce moment-là, j’avais pris ses propos à la légère, pour ne pas dire à la rigolade. J’ai souvenir que ça l’énervait beaucoup. Elle insistait : « tu vas voir, écoute bien ce que je te dis là, ce qui se passe aujourd’hui à Mayotte, ces scènes d’une extrême violence que vous voyez à la télé ou sur les réseaux sociaux, ces images de jeunes torse nu qui attaquent sans raison des bus ou autres véhicules, des maisons, des familles, avec des sabres ou des galets… ce sera bientôt chez vous. Les autorités réunionnaises, les élus n’ont pas encore pris conscience de l’ampleur du phénomène, mais ça va arriver plus vite que vous ne le croyez. Et si rien n’est fait, si l’Etat ne prend pas les mesures adaptées, cette violence qui se déroule quasi quotidiennement chez nous, ces affrontements entre bandes rivales, entre Comoriens et Mahorais, eh bien, cette violence-là va vous péter à la figure à la Réunion. Oui, ça va péter à la Réunion, tu verras ! ».

Mon amie mahoraise n’avait pas tort. Tout ce qu’elle avait prédit est en train de se réaliser chez nous. Le cauchemar ne fait que commencer. Les élus semblent maintenant prendre conscience de la dégradation de la situation, surtout après ce qui s’est passé, le week-end dernier, à Bras-Fusil, à Saint-Benoit ou encore après les attaques à coups de galets ou de sabres survenues à Saint-Denis. Un jeune qui course un autre avec un sabre à canne à la main, en plein jour. Tout cela visible sur les réseaux sociaux. Un autre qui lance un gros galet sur un contrôleur de bus à Saint-Denis. Toujours en plein jour. A la vue de tous. L’exaspération commence à monter au sein de la population qui, à tort, risque de faire l’amalgame avec toute une communauté qui n’est pour rien puisqu’elle en soufre elle aussi de ces exactions commises par les délinquants issus de ladite communauté, qui n’hésitent pas à s’affronter entre eux pour des motifs parfois futiles.

« Que fait la police ? ». Où sont les gendarmes ? Ce sont les interrogations des familles réunionnaises (et même mahoraises) qui ont peur pour la sécurité de leurs enfant ; Qui ont peur que leurs gamins se fassent agresser sur le chemin de l’école ou aux abords des établissements scolaires ; Qui ont peur que les bus scolaires soient caillassés sans aucune raison ; Qui ont peur que leurs enfants, plus grands, se fassent courser dans la rue par des jeunes armés de sabre à canne, pour un oui, pour un non ; Qui redoutent de traverser certains quartiers à la nuit tombée ; Qui n’osent plus sortir le week-end par peur de voir leur maison « visitée » ; Qui ne peuvent plus garer leur voiture (souvent encore à crédit) sur le parking de l’immeuble où même le long de la rue, en craignant de le retrouver en mille morceaux au petit matin, parce que des jeunes se sont bagarrés entre eux et ont décidé de « tirer leur rage » sur les innocentes voitures…

« Que fait la police ? » « Que fait la gendarmerie ? ». « Que fait la justice ? » Nombre de familles réunionnaises ont le sentiment aujourd’hui qu’il existe une certaine mansuétude de la part de la justice envers ces délinquants venus d’ailleurs, qui ne se cachent même pas sur les réseaux sociaux, alors que pour moins que ça, quand il s’agit de Réunionnais en faute, l’Etat n’hésite pas à déployer la cavalerie. C’est ce sentiment là qu’éprouvent de plus en plus les citoyens de la Réunion dont certains commencent à s’organiser via des groupes ou des lancements de pétitions en ligne. Si rien n’est fait, la haine risque de monter d’un cran.

Le député Jean-Hugues Ratenon, en visite dans le quartier de Bras-Fusil.

Raison pour laquelle, les élus se mettent à interpeller l’Etat. Mais il faudrait carrément une union sacrée politique, comme celle qui se manifeste actuellement pour la défense de l’hypothétique réforme de l’octroi mer. La montée de la violence « importée de Mayotte » est bien réelle. Elle n’a rien d’un projet.

Huguette Bello, Cyrille Melchior, les maires, les parlementaires (députés et sénateurs) devraient parler d’une même voix. Bien avant les événements violents du week-end dernier, les députés Ratenon et Gaillard l’avaient fait. D’autres élus sont également montés au créneau : Patrice Selly, Cyrille Melchior et, à présent, l’Association des maires qui, manifestement, sont décidés à faire bloc face à l’Etat et à son représentant local pour demander plus de moyens car « la sécurité des citoyens relève de la mission régalienne ».

Les maires se veulent solidaires contre la montée de la violence. « Appelés à participer à une réunion sur cette question des violences en Préfecture le 3 avril prochain, les maires de La Réunion tiennent à rappeler qu’ils sont unis et déterminés à jouer leur rôle. Les élus que nous sommes, confrontés à la fois à cette violence mais également et surtout au désarroi des populations qui les vivent au quotidien, sommes attachés comme beaucoup de nos concitoyens au vivre ensemble réunionnais. Il est urgent de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour endiguer ces phénomènes de plus en plus récurrents.

L’ordre républicain étant un pouvoir régalien, il appelle l’union républicaine de tous les acteurs concernés de près ou de loin par les actes de violences aux biens et aux personnes. C’est la raison pour laquelle, l’AMDR demande également que soient associés à la réunion du 3 avril, le Recteur de La Réunion, un représentant de la justice et des représentants des bailleurs sociaux.

Présents quotidiennement sur le terrain, les maires se font le relais de la très nette apparition d’une nouvelle forme de violence à La Réunion, des inquiétudes et des exaspérations légitimes qu’elles génèrent dans la population. Ils attendent donc de l’État, la mise en place de tous les moyens nécessaires à une lutte farouche contre la recrudescence de la violence dans nos rues». Quelques lignes d’un communiqué signé de l’Association des maires de la Réunion (AMDR) présidé par Serge Hoareau. Cyrille Melchior, président du Département, a déjà mis son grain de sel lui aussi, en déclarant que « l’Etat doit mettre plus de moyens ». Concernant cette montée de la violence, la présidente de la Région, Huguette Bello, a déclaré, hier, lors de la session plénière «qu’il faut une prise de conscience collective qui amène une réflexion en profondeur et des mesures concrètes à tous les niveaux ». Nos élus seront-t-ils  entendus ? Réponse le 3 avril prochain, à l’issue de la réunion avec le préfet.

Mais d’ores et déjà, à l’instar d’Ericka Bareigts, se félicitent des premières mesures prises par Jérôme Filippini qui, en tant que représentant de l’Etat, découvre chaque jour qui passe la Réunion, cette belle île intense avec ses paysages grandioses, du battant des lames au sommet des montagnes, la magie de son volcan, ses musiques traditionnelles (impossible de résister à son maloya, n’est-ce pas ?), ses lieux de culte qui se côtoient (églises, temples tamouls, mosquées, pagodes etc…), sa cuisine succulente, bref son « vivre ensemble » qui risque, cependant, d’être mis à mal si l’Etat ne réagit pas face à cette « violence importée ». Ce sera tout pour aujourd’hui. Je souhaite aux Chrétiens une bonne semaine sainte et de joyeuses fêtes de Pâques, ainsi qu’un bon ramadan à la communauté musulmane.

Y.M.

([email protected])

Yves Mont-Rouge

[email protected]
Téléphone : 0692 85 39 64

33 Commentaires

  1. Quand l’étoile d’espoir s’éteint, quand notre cœur arrête de battre, quand nos rêves s’épuisent, quand notre vie devient sombre … ce sont, en fait, nos yeux qui ont cessé de voir, nos oreilles qui ont cessé d’écouter, notre raison qui ne raisonne plus, notre imagination qui a stagné, nos sentiments qui se sont dépravés, nos pensées qui se sont empoisonnées … Car l’espoir est immatériel, l’espoir est éternel, le fleuve des rêves est intarissable … Car la vie attend toujours que nous lui ajoutons des couleurs et quand notre vie ne nous plait plus, alors c’est nous qui avons cessé de vivre ! 

    Vive la fraternité ! Vive l’espoir !

    • Oubli pas dire vive macron sai lu tout sa y arive aujourd’hui dans le monde y fau vire a lu prochain présidentiel sinon sera la guerre patout tout sa lu la semé et sai nous qui récolte les fruit se bhonome la les encore un enfant la pas apri a vivre avec la misère mai avec les riches nous sai rien pou li lu les dans son monde mai sa li connaît pas la roue y tourne

  2. A Saint Benoît, c’est l’indifférence qui amène à cette situation. Depuis des années, les jeunes mahorais sautent du pont. Personne ne bouge jusqu’au décès dans l’indifférence de ces enfants. Depuis des années, des jeunes sont livrés à eux-mêmes. Il n’y a pas de loisirs pour des enfants, des jeunes. Les quartiers prioritaires perçoivent des subventions mais rien n’est fait pour aider les habitants. On croit que les populations ont besoin de matériel mais c’est de lien social dont elles ont besoin! Pour cela, il faut avoir du coeur et il n’y en a plus!
    Selly a été choisi pour ses qualités humaines et sociales. Il a été choisi parce que c’est un avocat et qu’il vient de Bras Fusil. Mais depuis quelques temps, il snobe la population. Il mène une politique de droite et agit comme un nanti. Après le cyclone, il n’est pas venu vers les plus démunis!
    Il a viré une administratrice territoriale, qui était sa DGS pour recruter une autre qui n’a jamais réussi un concours et n’a pas les diplômes. Montrouge a dû la rencontrer, elle parle bien (i tourne la langue pou cozer) mais elle n’a pas le bagage pour ce poste. Elle envisage de passer les concours à Mayotte, comme si les Mahorais seraient plus couillons que nous ici. Mais elle ignore qu’il y a des têtes bien pleine à Mayotte. Depuis 6 mois, elle est nommée et depuis, il n’y a que des faits divers… L’école de Beaufonds lé fermé, à cause produit fourmis, bèsement i pète dan Bras fusil, syndicat i dénonce la souffrance zemployés (300 à 500 arrêts maladie sur 1200 agents), zenfant i mort sous le pont des Marsouins, na pu l’éclairaze public, na le trou dan chomin, zerbe lé gran comme cannes, toute i aggrave!

  3. M. Mont-Rouge a changé de « muse », passant d’Huguette BELLO à Ericka Bareigts très récemment.

    Cela est d’autant plus troublant au regard de ses derniers éditos où il avait des informations compromettantes sur Ericka Bareigts et de l’illégalité des délibérations municipales du fait d’adjoints démissionnaires ou bien fantômes.

    Quid de la crédibilité d’Yves Mont-Rouge ?

    Sur le sujet « mahorun » il oubli de citer le fait que son mentor, Jean-Paul Virapoullé pour des raisons électoralistes a fait primer la venue de ces mahorais à La Réunion.

    Il en est de même pour Gilbert Annette ayant laissé son siège de maire à Ericka Bareigts pour des problèmes judiciaires à venir.

    Ces élus locaux qui privilégient la communauté mahoraise au détriment des réunionnais de souches et qui aujourd’hui osent se prétendre défendre les réunionnais or qu’ils sont responsables des malheurs de ces derniers. Sans doute un complexe du « pompier pyromane » de la part de ces élus locaux.

    Le préfet ne peut régler la déstabilisation de la Réunion par cette communauté mahoraise qui arrive en masse tous les jours à la Réunion pour fuir les violences et avoir de meilleures conditions de vie.

    La France veut garder une présence pour des intérêts géostratégiques à Mayotte. Il n’arrive pas à endiguer le flux migratoire des clandestins venant des Comores et des pays africains.

    Pire, les faux papiers et l’entrée sur le territoire réunionnais d’illégaux utilisant des passeports tournants (les comoriens font circuler des pièces d’identité aux caractéristiques les ressemblants physiquement) à la barbe des douaniers  locaux qui n’arrivent pas à les distinguer et ne font pas de contrôles d’empreintes.

    L’Europe dont la France voient ses immigrés illégaux comme une chance tant pour résorber la démographie déclinante qu’une main d’œuvre utile.

    Comme le dit le préfet, pas d’amalgame (lui et son maître Macron n’ont que faire des réunionnais) et ne comptez pas sur ce préfet : danseur de maloya, mangeur de samoussas et interdisant déjà des interdits pour défendre les intérêts des réunionnais.

    Enfin, au-delà des violences d’une partie de ces mahorais, c’est bel et bien toute la communauté mahoraise qui bouleverse La Réunion.

    Quelques exemples :

    Ø l’attribution des logements où ils sont prioritaires au regard de leurs nombreux enfants (certains mineurs n’étant pas leurs propres enfants) ;

    Ø l’éducation avec des salles bondés et des enfants mahorais pénalisant les autres car ne sachant ni lire ni écrire ni parler français (des mahorais de 17 ans en classe de 6ème et qui agressent les jeunes de 11 ans) ;

    Ø le transport en commun saturé et dégradé par eux sur certaines lignes de bus. Etant insolvables, c’est les contribuables qui paient leurs exactions gratuites ;

    Ø augmentation démographique de la Réunion plus rapide que prévu qui va accroitre les problèmes de circulation, …

    Bref, au-delà des violences, c’est une exclusion des réunionnais pour différentes choses (logement,…), un favoritisme des mahorais via des moyens financiers qui leurs sont majoritairement destinés.

    La solution est que les réunionnais demandent via des actions collectives et judicaires, le respect du droit international et d’attaquer la France auprès des tribunaux compétents pour le retour de Mayotte à l’union des Comores.
       

  4. monsieur MontRouge : rien sur le payeur régional qui payait les catégories B et toutes les frasques de l’ancienne mandature ? ça mérite un édito surtout que proces robert i déboule dans quelques jours. il serait tant que les juges sanctionnent toute cette gabegie ! sacré Abdallah, ou la gagne dans le baba. juste la honte à 10000000% !

    • Il faut demander à Didier Robert et sa bande de rendre les sommes indûment perçues, car ce payeur régional s’est basé sur des délibération pour payer ce qu’on lui accuse de tort, mais à quoi sert le contrôle de légalité de la préfecture qui est sensé valider les délibérations émises par les collectivités si cela n’était pas conforme? donc l’état à une grande part de responsabilité sur cette affaire. Donc arrêtons de stigmatiser les gens quand on connaît pas les affaires. Aujourd’hui c’est Robert mais bientôt ça sera le tour de Bello, elle fait pire que la bande à Robert : emploi familiaux, création de poste de directeur au profit de la famille d’ Omargee et des copains ( direction de la formation professionnelle, direction de l’innovation, direction de la recherche…) La liste est longue malheureusement que la cour régionale des comptes se réveille plus tard pour dénoncer la mauvaise gestion des collectivités. C’est nous les Réunionnais qui sont pris pour des abrutis par ces bandes de voyous d’élus ( bras cassés)

  5. La France a instauré un dysfonctionnement territorial qui inclut la Réunion. Mayotte est vidée de sa population. Les étrangers prennent possession des îles mahoraises et les Mahorais sont évacués vers la Réunion. Les Réunionnais dansent le Maloya avec le Préfet et déboulonnent des statues d’esclavagistes et tout le monde est content! Circulez, il n’y a rien à voir. Vous êtes français, alors taisez-vous! Le vivre ensemble!
    DROM = colonies

  6. c’est seulement maintenant qu’ils découvrent que la violence existe ici ? 6 communes en politique de la ville sur 24 ! 3 millions pour les quartiers prioritaires ! On voit la que c’est bien leur projet de résoudre définitivement le problème des jeunes de LA REUNION !

  7. Le préfet a repris une interdiction du mouringué par le préfet de Bretagne : des combats avaient eu lieu il y a quelques jours et ça a choqué la plèbe locale parlant de culture importée. Je dirais plutôt qu’il faut légaliser cette discipline, la codifier et la faire sortir de la clandestinité

  8. Excusez-moi,mais il y a bien quelqu’un qui touche les aides sociales pour tous ces mineurs? Quant à la lâcheté des élus, n’en parlons même pas, c’est une évidence reconnue, mais ils sont réélus, alors ,ceux qui les élisent sont complices. Enfin MAYOTTE est un scandale d’état, mais personne n’ose le dire. Ce n’est que le début et la suite va être terrible, n’en déplaise aux « bien-pensants » ( il paraît que quand on dit celà,on est d’extrême droite). Choisis ton camp camarade et attends de voir ce qui va arriver.

    • Bien parler , ces élus ne voient que leur prise de pouvoir , il s’en foutent ! Un vivre ensemble d’hypocrites a nous faire subir , des envahisseurs non conditionnés a notre culture ! Je veux bien ouvrir ma porte a l’étranger s’il est saint d’esprit ! Mais je crois que je suis déjà en Afrique noir !

  9. 2 frères qui travaillaient dans une même collectivité pdt 11 ans à des salaires à plus de 10 000€ net mensuel, qui étaient les « pots de colle » de robert & la naine , qui appliquaient à la lettre ce que ce couple leur demandait. bravo Madame Bello pour votre décision et surtout ce monsieur Abdallah doit rembourser cet argent public qui est avant tout « nos impôts » devant servir à autre chose qu’engraisser les nervis, chauffeur, garde-corps, com’ fantome de Robert, petit tamponnais.
    s’il n’est pas content, il n’a qu’à régler ses comptes avec l’ancien amateur/ gaspilleur/ profiteur . Quel
    spectacle assistons-nous de la mandature 2010/2021 ! triste & lamentable

    • et que dire de Verges et de sa maison des civilisations . sa fille était payée 10 000 euros pour un projet qui n’a jamais vu le jour. Alors Didier à coté est un enfant de choeur…. sans oublier la SR21 dont tit pierre était le président …. 2 mandatures pour un tram train qui n’a jamais vu le jour et dans la poche de qui est parti les sous….

  10.  » « Que fait la police ? » « Que fait la gendarmerie ? »  »

    Derrière un buisson avec un radar mobile à flasher les auto / motos / piétons / trottinettes en rançonnant, faire du buzz sur les réseaux sociaux sur leur prise des fins de semaine, jours fériés …

    Le reste du temps, en burn out, Allô le 17 … Allô le 17 …Allô le 17 … Oki bourrique ???

  11. Les PASSEURS sont responsables de la violence actuelle.
    1 – Les politiciens qui ont fait venir des Mahorais pour avoir leur voix, pour gagner les élections municipales, sans assurer le SAV, Service Après Vote.
    2 -Le gouvernement avec sa mauvaise gestion coloniale de Mayotte dont nous sommes les victimes collatérales. La France module le flux migratoire de Mayotte vers La Réunion avec le différentiel des prestations sociales. Si la France mettait les mêmes prestations sociales à Mayotte qu’à La Réunion, les Mahorais préfèreraient naturellement rester à Mayotte.
    Et si la France utilisait volontairement ce flux migratoire pour fragiliser notre noyau identitaire ?
    Après tous les mauvais coups que nous avons subis dans notre histoire réunionnaise, nous pouvons naturellement en douter !
    MAYOTTE est un territoire décolonisé, la mahoraise, le mahorais sont des “ français de papier “ et non le 101e département, normal que son président islamique de l’archipel des comores , li mort pou reprendre son kouzine mayotte point trait

  12. dand musée régionaux nou té travaye trankil. lu la tire manzer dand nout gozier, nou lâchera pas ou zamais dand nout invocation lo frère, ziska out fin, ziska out ventre sera vide comme à nou même. nout ventre vide va suivre à ou komcarapatte si tété bèf #moisd’avril#moinmirire#zetoiledofé#

  13. Nous avons été capable de mettre cet imam infecté, qui a sali le drapeau, en un temps. Donc, nous pouvons, faire repartir chez eux ces gens, qui n’ont rien à faire, si ce n’est que nous prendre la tête. Chacun chez soit et les vaches seront bien gardées.

  14. La dit faut pas stigmatiser ben alors… c’est que lé vrai. Que entre comore et Mayotte ce n’est plus l’entente parfaite depuis que l’ile au parfum la passe sous la coupe français. Et na un peu y dit que non. Zot boyo y serre. Parce talère à la Run nous sar vive un guerre entre ces deux communautés. Et si ou lé au milieu ou lé victime collatérale. Ca va pas ditout. Lé plus que temps na un peu y bouge zot boule. De toute communauté qui vive à la run faut croire que na que zot en ce moment pou sème le darwa. Alors faut dire les choses comme y lé. Arrêtons de faire l’autruche. Faut attendre qui arrive l’irréparable pou dire que « na lontan l’avait dit ça. Pou arrivé la arrivé » ???

  15. Décidément c’est assez mauvais comme éditorial. Dire que les mahorais font tout pour s’intégrer. Montrouge fait tout pour s’intégrer au plr et chez les socialistes voilà tout. Je ne comprends pas qu’il se positionne ainsi

  16. Il y a quelques années pas très lointaines, la presse locale avait révélé une affaire de trafique de papier et de mariage blanc de gens venant de Madagascar et de Mayotte mêlant l’élu de Ste-Clotilde et une association de goujrati. Elle a été étouffée… Plus un mot. Des voix supplémentaires ramenées sur Saint-Denis avec la bénédiction des autorités et après on nous parle de problèmes d’intégration…

  17. Quand il y a eu des manifestations syndicales ou gilets jaunes dans la rue, on sait comment calmer les débordements avec des gazs lacrymogènes ou des camions lances à eau. Et pourquoi pas le faire avec des individus qui arrivent chez nous et qui ne s’adaptent pas à notre vivre ensemble. L’armée et la gendarmerie possèdent des engins blindés pour défiler le 14 juillet au Barachois. Pour une fois utiliser les pour faire régner l’ordre dans les quartiers où règnent la violence et où les réunionnais ne peuvent plus retrouver une certaine sérénité à cause de ces délinquants. Faut être plus ferme. Les fouteurs de troubles, renvoyez les chez eux et qu’on nous foutent la paix. Et arrêter les envois des délinquants de Mayotte chez nous dans ce centre de redressement dans L’Est
    Une fois majeur, faut bien les lâcher dans la nature et c’est eux qui vont nous déloger de chez nous. Je ne suis pas raciste mais ya bcq de malgaches ici, au moins eux ils ne nous emmerdent pas.

  18. Quand il y a eu des manifestations syndicales ou gilets jaunes dans la rue, on sait comment calmer les débordements avec des gazs lacrymogènes ou des camions lances à eau. Et pourquoi pas le faire avec des individus qui arrivent chez nous et qui ne s’adaptent pas à notre vivre ensemble. L’armée et la gendarmerie possèdent des engins blindés pour défiler le 14 juillet au Barachois. Pour une fois utiliser les pour faire régner l’ordre dans les quartiers où règnent la violence et où les réunionnais ne peuvent plus retrouver une certaine sérénité à cause de ces délinquants. Faut être plus ferme. Les fouteurs de troubles, renvoyez les chez eux et qu’on nous foutent la paix. Et arrêter les envois des délinquants de Mayotte chez nous dans ce centre de redressement dans L’Est
    Une fois majeur, faut bien les lâcher dans la nature et c’est eux qui vont nous déloger de chez nous. Je ne suis pas raciste mais ya bcq de malgaches ici, au moins eux ils ne nous emmerdent pas.

  19. Nous ne sommes plus dimanche, et en mars, dieu martial…, de notre soi disant ère (je ne l’ai jamais croisé… au passage, je ne parle pas du dieu, mais de JC de Nazareth! en Palestine ou dans l’État hébreux, le sekhel existe toujours : il (le fils de la vierge? Enfin Joseph la croyait…) a traversé le jalon temporel, semble-t-il il était un Juif, sauf erreur de ma part…), mais bien un lundi (lune?), et La Révolution en Russie n’a donc pas eu lieu en octobre 1917… évidemment selon le calendrier considéré !!!
    Où sommes-nous aujourd’hui, pas seulement suivant le temps, mais au regard de l’espace terrestre? Sur un petit bout de terre insulaire qu’on nomme La Réunion, par rapport à une réunion déroulée il y a plus de plusieurs siècles dans un autre hémisphère (le nord). Une terre, on peut dire aussi un territoire ultramarin français, puisque le drapeau de La Révolution française flotte sur tous les édifices public de l’endroit où je suis né, mes parents, mes 4 grands-parents, mes huit arrières grands-parents (j’ai bien avant d’écrire ça… en tout cas sur papiers officiels, mais bien souvent il n’y a que la mère qui connaît le vrai père de son enfant… demandez aux chercheurs en maladies spécifiques made in Reunion Island…), mes 16 ascendants, mes 32… jusqu’à 128! Après, il faut aller chercher ailleurs et probablement des 4 voire 5 continents… Il n’y a jamais eu d’autochtones ici, les Aborigènes australiens sont tous morts à la Grande Chaloupe…sans laisser de descendants, ce qui n’est pas la cas de la famille Vinh San ou encore des Rifains (de la Vallée du Rif au Maroc d’aujourd’hui…mariages avec des Nourry ou Vitry de Salazie, de mémoire…).
    Tout ça pour dire que certains ont des ascendances coréennes ou péruviennes ou brésilienne ici, sans le savoir!
    Mayotte fait partie, géographiquement, de l’archipel des Comores : avec la grande île, Anjouan, Mohéli; à toutes fins utiles la langue mahoraise est évidemment bien plus proche du comorien que de l’italien ou le roumain ou encore celle parlée par le Tsiganes (berceau : Inde du Nord!!!!!!). La maîtrise d’une langue est indéniablement un vecteur d’insertion sociale, culturelle, économique, intellectuelle, artistique, sportive, ….
    Mayotte jusqu’à un très récent passé, 2011 (NS, le cheval à un tour, comme FH, mais pas le petit (taille de de Gaulle, JC, VGE, FM 14 ans 55 Faubourg St-Honoré…), n’était pas un département (sens organisation administrative) comme La Réunion, La Martinique, L’archipel de La Guadeloupe, le pays continental de l’Amérique du Sud, latine???, qu’on appelle La Guyane française, hé oui Jean (Castex), elle n’a JAMAIS été une île… »quand la délégation atterrira sur l’île…. », un énarcle qui plus est….PM de la France !!!!!!!.
    L’État français porte une très lourde responsabilité dans ce qui se passe à Mayotte et maintenant chez nous: à La Réunion, mais pas en Ardèche ou dans les quartiers nord de Marseille : là-bas, il a d’autres gangrènes à soigner….
    Jérôme, l’actuel « locataire » de l’ancien immeuble de Capagory, le 31ème je crois, après Paul Demange, c’est quand tu veux je te donne une petite piste de solution… je n’ai pas besoin d’attendre qu’un ami venu d’ailleurs m’explique ce qui se passe chez moi…
    Quant aux maires, tout spécialement celui de Bras Fusil, de Fayard (JPV…), des quartiers chauds du Port, du chef-lieu, etc., il serait temps que vous fassiez convenablement et correctement votre job!!!!!!!
    C’est un peu trop facile de dire n’importe quoi dans une campagne électorale pour les municipales et ensuite de venir crier au loup et aux voleurs… quand le voleur n’est pas toujours celui qu’on accuse… face B de la décentralisation à la Gaston Defferre.
    Primo, cessez sur-le-champ vos cumuls de mandats à la con, secundo recevez vos administrés, tertio faites une bien meilleure gestion patrimoniale de votre commune, petite, moyenne ou densément peuplées : 1 le Port 2 St-André 3 St-Denis…
    Je pourrais aisément vous y aider et vous accompagner, je dispose des compétences et des capacités fort utiles et nécessaires au vu de la médiocrité qui règne depuis 40 ans ici.
    Thucydide a dit: « Ce n’est pas l’épaisseur ou la hauteur du mur qui compte, c’est la volonté de le franchir… ».

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