Après plus de quatre heures de négociations jeudi 14 décembre, la SPL Estival a signé un protocole d’accord préservant tous les emplois, répondant à la revendication de « zéro licenciement ». Néanmoins, une cinquantaine de salariés subiront des baisses de salaires de 50 à plus de 400 euros pour pallier les difficultés financières. Malgré cet accord, une enquête judiciaire est attendue pour élucider les causes du déficit de 3 millions d’euros.
SPL Estival : « emplois sauvés mais primes sacrifiées »
Jeudi 30 novembre, les membres de l’intersyndicale ont été reçus par un conseiller du ministre des Outre-mer. Un conseiller chargé de l’emploi. La réunion s’est déroulée en présence également de la Direction du Travail (DEETS) et du sous-préfet de Saint-Benoit. Les représentants de l’intersyndicale reconnaissent unanimement que « depuis que l’Etat via le sous-préfet de Saint-Benoit Michael Mathaux a pris ce dossier en main, les choses avancent considérablement ». Une nouvelle réunion est prévue ce vendredi décembre pour signer la fin de ce conflit qui avait début il y a environ un mois.
L’on se dirige donc, comme l’a toujours réclamé l’intersyndicale, vers « le zéro licenciement ». Les syndicalistes ainsi que les salariés avaient toujours dit : « on n’a pas volé, on n’a pas merdé, on n’a pas dilapidé ». Autrement dit, les salariés n’avaient pas à payer « la mauvaise gestion et les malversations financières commises par les administrateurs et notamment par l’ancien Pdg de la SPL Estival ». Dans le PSE qui avait été présenté dès le début par le CA, il était prévu une trentaine de licenciements.
Grâce à la mobilisation de l’intersyndicale et à la réaction de l’Etat, « il n’y aura plus de suppression d’emplois », se félicitent les représentants syndicaux. Lesquels regrettent toutefois que « les salaires diminuer car des primes, dont certaines obtenues depuis 2015, vont devoir être sacrifiées ». Mais les syndicalistes gardent espoir en disant : « nous agissons étape par étape. Nous avons réussi à sauver les emplois. Place sera faite très vite, par la suite, au volet judiciaire. C’est ce que nous avons demandé à l’Etat. Face à l’Etat, les syndicalistes ont pointé plus d’une fois les dérives financières de la SPL en demandant au sous-préfet et à la DEETS « d’agir au plus vite ». Les syndicalistes ont parallèlement demandé à la Région de financer des expertises sur les comptes de la SPL Estival.
« On ne peut pas fermer les yeux sur toutes les dérives financières qu’il y a eu au sein de cette SPL. Il s’agit de l’argent public ». L’intersyndicale tient à remercier le sous-préfet de Saint-Benoit ainsi que la DEETS pour leur implication dans ce dossier. Elle n’oublie pas non plus Johan Doro, élu à la Plaine-des-Palmistes « qui a bien compris le sens de notre combat ». A suivre, maintenant, la réunion de vendredi !
« Un déficit de 3 millions d’euros »
Une réunion s’est déroulée ce lundi 27 novembre, comme prévu depuis le 15 novembre dernier, dans les locaux de la Cirest entre les différentes parties concernées par la situation de la SPL Estival. A l’ordre de cette rencontre qui a débuté à 13 heures : réunion du CSE (Comité social et économique, composition du nouveau bureau suite aux élections professionnelles du 10 novembre dernier et passation de pouvoir. A partir de 14 heures, il sera question du PSE (Plan de sauvegarde de l’emploi) qui, selon l’intersyndicale, prévoit « 30 licenciements ».
Rappelons que l’intersyndicale est contre ce PSE et qu’elle a toujours insisté sur sa principale revendication de « zéro licenciement ». A la veille de cette réunion importante, Eric Talassia, porte-parole de l’intersyndicale (UR 974, FO, CGTR, CFTC et CFDT) a adressé un courrier au préfet de la Réunion,, Jérôme Filippini dont voici, ci-dessous, le contenu : « Je suis Eric TALASSIA Représentant de l’Organisation Syndicale UR 974 et porte-parole de l’Intersyndicale UR 974,FO,CGTR,CFDT,CFTC de la SPL ESTIVAL. Je tenais à vous remercier pour votre intervention suite à mon alerte du 15 novembre 2023. Le 16 novembre 2023 à 05h30 votre représentant était sur notre piquet de grève à Bras Panon et a fait le nécessaire pour une rencontre avec Monsieur le Sous-Préfet de Saint Benoit le même jour à 17h00. Notre Intersyndicale a été « touché » par l’accueil chaleureux et l’écoute attentive de Monsieur le Sous-Préfet de Saint Benoit qui à la demande de l’Intersyndicale a organisé le 17 novembre 2023 à 10h30 la première réunion de médiation à la Direction du Travail de Saint Denis. Cette médiation a permis de faire reculer ce fameux PSE unilatéral que la Direction Générale de la SPL ESTIVAL ainsi que les élus voulaient faire passer en force . Malgré la tenue des réunions de médiation , notre rencontre avec les élus de la Région et la contribution financière exceptionnelle de 1,1 millions d’euros accordés par la CIREST à la SPL ESTIVAL , nous sommes inquiets pour l’avenir des salariés de la SPL ESTIVAL et principalement pour la sauvegarde de tous les emplois. Le déficit de la SPL ESTIVAL est à ce jour de 3 millions d’euros. Il manque ces 2 millions qui permettraient de sauver tous les emplois. Les salariés de la SPL ESTIVAL ne sont pas responsables de cette situation catastrophique , des dérives financières des élus , de ce chaos social. En conséquence , l’Intersyndicale de la SPL ESTIVAL que je représente sollicite votre intervention afin que l’Etat puisse nous aider à sauver tous les emplois de la SPL ESTIVAL en nous attribuant une aide financière permettant d’éviter les licenciements et la liquidation de la SPL ESTIVAL. Monsieur Philippe VIGIER Ministre Délégué aux Outre-Mer accompagné de 2 Ministres membres du Gouvernement seront en visite à la Réunion les 30 novembre et 1er décembre 2023 dans le cadre des Outre-Mer French Tech Days qui se dérouleront au Domaine du Moca à Saint Denis. Nous sollicitons encore une fois votre intervention afin que notre Intersyndicale de la SPL ESTIVAL puisse rencontrer Monsieur le Ministre Délégué aux Outre-Mer afin de l’informer de la plus grande casse sociale qui se prépare en 2023 à l’Ile de la Réunion. En effet la première vague du PSE prévoit la suppression de postes et le licenciement de 30 salariés. Cette première vague du PSE prévoit également la baisse des salaires et avantages sociaux de 66 salariés. Les salariés de la SPL ESTIVAL ne peuvent pas être sacrifiés et licenciés en raison de l’irresponsabilité d’élus qui ont dilapidé les deniers publics. Nous espérons rapidement que les enquêtes et instructions en cours confirmeront nos dires. Nous espérons que notre demande de rencontre avec Monsieur le Ministre délégué aux Outre-Mer recevra votre accord et une suite favorable. L’Intersyndicale vous remercie d’avance de l’attention portée à notre demande ». La réunion qui s’est déroulée à Saint-Denis ce mercredi après-midi (22 novembre) sous l’égide de la Direction du Travail (DEETS) semble avoir porté ses fruits. Les différentes parties prenantes sont parvenues à un accord : celui de la levée du piquet de grève entamé depuis le 13 novembre dernier. Le réseau de bus Estival devrait fonctionner normalement à compter de ce jeudi 23 novembre. La direction de la SPL Estival s’est félicitée de l’issue de cette réunion. Voici son communiqué :
Le fil chronologique depuis le début de la grève
Pour ce mercredi 22 novembre, voici les précisions de la direction de la SPL Estival concernant la circulation des bus :
La grève continue. Une réunion a lieu cet après-midi à la Direction du Travail (DEETS), rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis. Mardi soir, la direction s’est, via un communiqué, félicitée « du retour à un dialogue social constructif » :
Le député Jean-Hugues Ratenon écrit aux maires de la Cirest : « Patrice Boulevart désapprouve maintenant le PSE de son président Selly »
La SPL Estival reçue à la Région lundi soir
Juste après une réunion à la Direction du Travail, une délégation de l’intersyndicale de la SPL Estival a été reçue à sa demande à la Région, ce lundi 20 novembre, par Patrice Boulevart, vice-Président délégué aux mobilités durables et en présence du député et conseiller régional Jean-Hugues Ratenon. Les représentants des salariés ont exposé l’état dans lequel se trouve aujourd’hui la SPL Estival et les différentes étapes qui ont conduit à cette situation. Ils ont rappelé qu’ils sont fermement opposés à l’application du Plan de Sauvegarde de l’Entreprise tel que présenté actuellement et qui préconiserait une « trentaine » de licenciements. La Région a tenu à souligner qu’elle n’a aucune responsabilité dans cette situation. Elle considère qu’il appartient à ceux qui l’ont engendrée d’assumer leurs responsabilités.
La Région Réunion est favorable à une expertise économique, financière et sociale
La Collectivité régionale a rappelé qu’elle était antérieurement actionnaire de la SEM Estival à hauteur de 5 % et qu’elle a refusé de délibérer lors de la transformation de la SEM en SPL. Elle a indiqué que depuis juillet 2021, la nouvelle mandature régionale s’est en effet clairement prononcée contre la rémunération de Président ou de PDG dans les organismes extérieurs. Bien que ne disposant pas de pouvoirs de décision dans la SPL Estival, la Région est préoccupée par la préservation des emplois et par la continuité du service public des transports sur le territoire de l’intercommunalité. Dans cet esprit, elle souhaite que des solutions soient trouvées pour sortir de cette situation de crise et éviter tout licenciement. La Région Réunion est favorable à une expertise économique, financière et sociale afin que les acteurs concernés puissent disposer de tous les éléments nécessaires pour assurer la pérennité de l’entreprise et la préservation des emplois.
Des bus en circulation ce mardi 21 novembre
Contrairement aux jours précédents, des bus devraient circuler aujourd’hui, mardi 21 novembre. Les grévistes devraient en effet laisser sortir une dizaine de bus du dépôt de Paniandy à Bras-Panon où ils étaient réunis depuis ce matin 4 heures. Par ailleurs, les grévistes ont fait circuler depuis ce week-end un message depuis ce samedi 18 novembre sur les réseaux sociaux. « On a besoin de vous », disent-ils. (Voir message ci-dessous). La grève se poursuit. Comme nous vous le signalions depuis jeudi soir, une réunion avait eu lieu à la sous-préfecture de Saint-Benoit entre les membres de l’intersyndicale, le sous-préfet Michaël Mathaux et la Direction du Travail (DEETS). Dans le conflit en cours depuis lundi dernier 13 novembre à la SPL Estival, l’Etat a proposé une médiation, via la Direction du Travail. Une première réunion s’est déroulée, hier, vendredi 17 novembre, dans les locaux de la DEETS à Saint-Denis entre les parties concernées. Alors que le dialogue semblait être rompu après la réunion des maires de la Cirest, mercredi dernier, suite notamment au maintien du PSE qui devrait être discuté le 27 novembre prochain (annonce faite mercredi soir par Patrice Selly), l’Etat a pu mettre autour de la table les représentants de l’intersyndicale et les administrateurs de la SPL Estival pour une reprise des négociations. Les discussions avancent. Le dialogue a été renoué mais, selon Sarah Lambert (FO) qui s’exprimait après la réunion de ce vendredi à Saint-Denis, « il y a encore quelques points de blocage, notamment le maintien des salariés menacés aujourd’hui de licenciement ». L’intersyndicale se veut intransigeant sur ce point : « zéro licenciement ». Les salariés estiment qu’ils n’ont pas à payer « les pots cassés de l’ancienne direction générale et des élus du conseil d’administration ». Le dialogue reprend donc, mais la grève continue et, en attendant, tous les bus du réseau Estival restent bloqués au dépôt de Paniandy à Bras-Panon. Pas de transport en commun Estival en circulation dans les six communes de l’Est ce week-end ! D’où le communiqué, ci-dessous, de la direction de la SPL Estival :
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de la poursuite de la grève
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que les bus ne vont pas sortir du dépôt,
Les grévistes ont besoin de vous
C’est un message, un appel à la générosité qu’a lancé depuis ce samedi 18 novembre l’intersyndicale : « Chers réunionnais, chers camarades, On a besoin de vous, si chacun d’entre vous met 1€ ou 2€ ou plus, cela nous permettra d’attribuer une compensation financière aux agents grévistes qui luttent aujourd’hui pour garder leur emploi ! Petit rappel, les politiques ont mis en place un « bagagiste » aux commandes de la SPL ESTIVAL sans exercer leur devoir de contrôle, ils lui ont renouvelé leur confiance à maintes reprises, tout le monde savait ! Ils ont embauché sans compter et la masse salariale a explosé ! Résultat des courses, une SPL en faillite et aujourd’hui, ils veulent licencier ! Ils veulent couper des têtes !!!!! Ces licenciements sont injustes, abusifs ! Les dérives étaient connues et tous les administrateurs ont cautionné l’incompétence de l’ex PDG !!!! ON A BESOIN DE VOUS ! Nou la pas volé, nou la pas merdé, pas nou la dilapidé, c’est pas à nou d’être sacrifiés ! Merci à vous pour zot participation Nou tiembo , nou largue pas ! » https://www.cotizup.com/grevis
Pas de licenciement, SVP !
On doit privilégier le travail …
Les voleurs sont ou??????a la cirest !!!!
Hommes venus en politique pour s enrichir.
Oublie pas d écrire le procureur aussie….
Faudrait zot rembourser cet zot la volé
Les argents de la cirest aussie vont perde des plume dans cet bataille…..
A dieux le plan de titularisation……
Merci jeremy et Patrice…..
Zot la bien fou la merde depuis zot arrive à la cirest….vivement 2026.
L état qui intervient en tant que médiateur, c’est humiliant pour la direction SPL. Une façon de montrer que la direction n’arrive pas à faire le job.
Des incapables selly et sont l équipes bientôt autour de la mairie de st Benoît ben de guignol va
Oui bientôt le tour de Saint Benoît. Une DGS administrateur territorial remplacé par une DGS sans diplôme et sans concours qui connaît rien. On craint le pire…
Je pense que le conseil d’administration doit être viré, remplacer par des gens qui sont plus » clin ». Les élus ne doivent plus administrer, cela évitera des emplois de complaisance et éviter la bancroute. Partout où il y a des élus c’est la ….. Privatisation !!!!!
N’importe quoi allez faire votre discours en pays communiste
Ils bloquent la route des Plaines et on devrait les aider? Nous n’avons plus de bus (et les plus démunis prennent le bus et sont cloîtrés chez eux) et il faudrait les aider? Qu’ils fassent la grève en gênant les élus, l’Etat mais pas les usagers de la route ni ceux des transports en commun! Ils ont des salires de 5000 euros mais pas nous! ils ont des activités d’hôteliers mais pas nous! Aucun euro pour eux! Basta!
Quand on n’a plus d’arguments pour expliquer le fiasco Estival, alors on s’en prend à ses agents ! Pendant ce temps , on ne compte plus les millions qui se sont envolés , on demande aux syndicalistes de ne plus parler du passé car le passé fait mail , la vérité dérange et pas les cepamoa !
Ne vous trompez pas de combat, car bientôt les Impots vont augmenter de nouveau et là, ce ne sera pas de celle que vous ne dites pas le nom mais plutôt de celui qui a montré son incompétence dans la gestion des deniers publics !
Bravo à tous ces syndicats pour avoir osé dire STOP !
Pa nou la vole, pas nou la merdé, pas nou la dilapidé, pas a nou d’être sacrifiés !
appel à la générosité ??? lol les 2 grosse Mama à gauche, ca vas leur faire du bien un petit régime
Ote arrête fé le coullion. Les élus i vole et réunionnais y payé? Moin mi donne rien. Demande ça que la volé de rendre et mi crois que néna pou bouche le trou.
il y à tellement d’escrocs à la réunion, et on veut faire payer les innocents ? il faut saisir leurs biens , leurs comptes en banque , prendre où il faut, les impôts devrait s’en charger, car souvent c’est les employés qui trinque , au lieu de veiller à quelques euros chez nos petits vieux , mesdames. messieurs les impôts prenez là où il faut chez les gros voleurs . regardez les magouilles dans les grosses boîtes et c’est souvent eux les voleurs , regardez aussi tous l’argent qui quitte la réunion pour aller sur des comptes en métropole ou d’autres pays.
il y à tellement d’escrocs à la réunion, et on veut faire payer les innocents ? il faut saisir leurs biens , leurs comptes en banque , prendre où il faut, les impôts devrait s’en charger, car souvent c’est les employés qui trinque , au lieu de veiller à quelques euros chez nos petits vieux , mesdames. messieurs les impôts prenez là où il faut chez les gros voleurs . regardez les magouilles dans les grosses boîtes et c’est souvent eux les voleurs , regardez aussi tous l’argent qui quitte la réunion pour aller sur des comptes en métropole ou d’autres pays.
voir sote la prie dans le sac fé paye à zote. les grave et sérieux. Nous fé pitié nous les petits i tire toujours su nous
Mme Lambert out but a ou c’est totoche toute démoune i marche pas dans out sens, mais mette dans out tête certain i boss vraiment et la point promotion prime la cuisse comme dans out temps.
Madame la directrice du service de com, avant de réduire les salaires de personnes que vous ne n’aimez pas, pourquoi ne pas envisager de démissionner ? Recevoir un salaire pour rester chez soi comme votre collègue directeur exploit ce n’est pas très juste envers vos collègues . Peut-être devriez-vous, tous les deux, envisager de démissionner et cesser de profiter du système
super pour ces employés , maintenant il faut obligatoirement que la justice punit les personnes qui ont dilapidé tout l’argent en faisant de la fiesta et selly qui s’est fait construire sa piscine et payer par les chèques de SPL estival…
Enfin des syndicats qui bossent bravo ! Bientot la vérité sur les comptes du cse ! n a 2 3 ça gagne la fievre
oh non la coupe mon prime grossesse !
En fait zot la fépikazot !!! Comment ça pas de prime ? En attendant selly et les autres ils ont touché leurs primes eux et vont bouffer des langoustes à Noël et boudin blanc pour faire zorey!
Maintenant les forme un collectif et porte plainte contre ceux qui ont mis votre emploi en danger .
les grave Pourkoi i fé sa avec band chaufeur. Les pas normal. band contrôleur i boss. zote les dans soleil. Ou sa la passé tout sa
les grave Pourkoi i fé sa avec band chaufeur. Les pas normal. band contrôleur i boss. zote les dans soleil. Ou sa la passé tout sa .Les vrais un contrôleur la dit zote prime i sorte.
et le salaire cet i touche zindemnité la CIREST 3500€ net mensuel, jeton par ci , jeton par la, son salaire i baisse aussi! profite même sur le pauvre , profite même sur la misère humaine, après i paye, maladie i totoche a zot ek Zot marmaille
l illusion parfaite ,s est un scandale ,
saviez vous que selly est interdit de quitter le territoire
Merci à mon cousin conseiller régional de st benoit de s’etre battu pour qu’on touche pas trop à mon salaire et de me laisser me prélasser dans mon bureau au lieu d’aller en gare .